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António Lobo Antunes

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Message par kenavo Dim 4 Déc - 7:30

António Lobo Antunes  Aaaa23

António Lobo Antunes, né le 1er septembre 1942 à Benfica, Lisbonne, est un écrivain et psychiatre portugais.

Biographie
Issu de la grande bourgeoisie portugaise, il est élevé dans un milieu aimant. Il doit suivre les traces d'une éducation tout à fait classique de famille portugaise. Il fait des études de médecine et se spécialise en psychiatrie. Il exerce un temps cette discipline à l'hôpital Miguel Bombarda à Lisbonne. Depuis 1985, il se consacre exclusivement à l'écriture.

Son expérience pendant la guerre d'Angola de 1971 à 1973, en tant que médecin, lui inspire directement ses trois premiers romans : Mémoire d'éléphant, Le Cul de Judas et Connaissance de l'enfer qui le rendent immédiatement célèbre dans son pays.

Il poursuit son œuvre avec une tétralogie composée par Explication des oiseaux, Fado Alexandrino, La Farce des damnés et Le Retour des caravelles, romans dans lesquels il fait une relecture du passé du Portugal, depuis l'époque des grandes découvertes jusqu'au processus révolutionnaire d'avril 1974, mettant en avant les tics, les tares et les défauts du peuple qui, au cours des siècles, furent occultés au nom d'une vision héroïque de son histoire.

On pourrait réunir les trois romans suivants (Traité des passions de l'âme, L'Ordre naturel des choses et La Mort de Carlos Gardel) sous le titre Cycle de Benfica, car il y revisite les lieux de son enfance et de son adolescence dans ce quartier de Lisbonne : des lieux qui sont loin d'être paisibles, des lieux marqués par la perte des illusions, la fin des mythes, des lieux où les chemins se séparent.
Avec La Nébuleuse de l'insomnie, il revisite avec opacité l'histoire d'une famille d'un domaine agricole sur plusieurs générations, épousant à priori le point de vue de l'un des petits-fils, autiste, surnommé « l'idiot »


source: Wikipédia


Dernière édition par Kenavo le Lun 23 Jan - 8:03, édité 1 fois

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Message par kenavo Dim 4 Déc - 7:31

Bon, il faudrait aussi faire une place pour lui…

Si on va dire qu’il existe des « monstres » en littérature, dans le sens de ‘grand, extraordinaire, inéluctable, unique, …' - il en fait partie (à mes yeux il est le premier de cette liste, et de loin)

Je n’ai jamais fait de commentaires pour ses livres, mais j’ai retrouvé mon reportage de la rencontre en 2011 :

- samedi 29 janvier 2011 à 15h: Antonio Lobo Antunes sera l'invité de la librairie Kléber (1, rue des Francs-Bourgeois - 67000 Strasbourg) où il présentera son dernier roman paru en France, "Mon nom est légion" (traduit du portugais par Dominique Nédellec)

On a fait le chemin pour y aller. Strasbourg est une bien jolie ville et la librairie Kléber certainement un endroit où tout lecteur devrait se réjouir.

Mais on avait rendez-vous avec un homme que j'admire depuis des années pour ses livres, ses idées, sa façon d'être.. et sans vouloir donner l'air d'une adolescente qui court après ses stars, il y a pour moi vraiment des personnes qui appartiennent à une catégorie 'hors norme', qu'on voudrait voir de plus près pour croire qu'ils existent vraiment, pour simplement être près d'eux pendant quelques instants et mettre une image sur des centaines et centaines de pages de mots qu'on a lu, voir cette tête où ils ont prit l'origine, entendre cette voix que je ne connais qu'en allemand (j'ai deux livres de lui en français, tous les autres en allemand, sa traductrice est depuis les premiers livres la même, elle lui donne une sublime voix!!), et il y a tout simplement des personnes dont on aimerait dire: je l'ai vu. Après des années de visites à Saint Malo lors du festival, j'ai eu la chance de voir beaucoup d'auteurs, beaucoup de gens intéressants et j'ai certainement fait plusieures rencontres dont je suis contente.. mais aucune ne m'a émouvée et n'était si importante que ces 90 minutes que j'ai passé cet après-midi.

Il parle un peu comme dans ses livres, part d'un endroit pour en arriver à un autre, raconte du tout et du rien et surtout: il ne répondait jamais à la question de la jeune femme qui était là pour faire "l'animation". Irène Cazalas, jeune femme habitant à Lyon et qui est en train d'écrire une maîtrise sur l'oeuvre d'Antonio Lobo Antunes. Elle avait bien préparé ses questions, elle connaît vraiment à coeur (et surtout en portugais, comme je l'envie...) les livres de lui.. mais Monsieur Lobo Antunes a tout simplement pas trop envie de parler de ses livres  Wink
Un mot me vient pour décrire de ce qu'il a fait de cette rencontre: généreux! Il nous parlait d'autres auteurs.. ceux qu'il aime.. ceux qui lui font plaisir et qu'il veut aussi fair découvrir à d'autres lecteurs.

Mais quand il parlait de ses livres, de son travail d'écrivain, c'était quelque chose pour noter: Leonardo Da Vinci disait qu'une ligne est un point en mouvement, mes livres, je les éprouves comme mots en mouvement  I love you

La jeune femme était si lucide de ne pas l'interrompre et laissait le divaguer sur tout ce qu'il avait envie de nous raconter.. et c'était intéressant, amusant et j'avais par moment le sentiment qu'on était pas dans une grande salle en train de l'écouter, mais plus près, plus personnel.. on était à table avec lui, dans un petit café à Lisbonne et il se faisait un plaisir de raconter..

Et le mot final, qui faisait rire toute la salle, était son anecdote d'un de ses amis qui répondait à la question: est-ce que tu es marié? "Parfois"

Merci Monsieur Lobo Antunes d'avoir fait le chemin à Strasbourg, après des années que j'admire et adore vos romans, je suis tombée amoureuse de vous.. éperdument!

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Message par eXPie Jeu 13 Sep - 14:48

Lobo Antunes entre dans la Pléiade, semble-t-il :
https://www.rtp.pt/noticias/cultura/obra-de-lobo-antunes-na-pleiade-e-justo-e-merecido-reconhecimento_n1098641

Reste à savoir dans combien d'années le volume sera prêt...
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Message par Arabella Dim 1 Sep - 14:30

Jusqu'à ce que les pierres deviennent plus douces que l'eau

Dernier roman en date de l’auteur, annoncé par lui-même comme le dernier tout court (même si ce n’est pas la première fois, donc l’espoir reste permis à ses fans), le livre est paru en 2017 au Portugal et en 2019 en France. Un long roman de presque 600 pages : il faut savoir avant de s’embarquer que ce sera un voyage au long cours, d’autant plus que l’auteur n’est pas le plus facile ni le plus rapide à lire.

Nous sommes dans l’univers et les thématiques habituelles d’António Lobo Antunes : la guerre d’Angola et ses séquelles sur ceux qui l’ont vécue, aussi bien du côté portugais que du côté angolais. Le personnage au centre du récit, jamais nommé, a été un appelé comme tant d’autres, et il a été sous-lieutenant pendant la guerre. Il en a connu toutes les souffrances et toutes les atrocités, il en a commis sa part. Il a adopté un enfant suite à la destruction d’un village, et l’a ramené au Portugal. Nous suivons surtout les monologues intérieurs de ces deux personnages, qui racontent, se racontent, sous la forme d’une lancinante mélopée, pleine de répétitions, parfois de contradictions. Nous passons d’un sujet à l’autre, d’un personnage à l’autre, sans parfois savoir à quel moment la parole de l’un prend la place de l’autre. D’autres personnages sont également là : la femme du sous-lieutenant, et donc la mère adoptive du fils ramené d’Afrique, la fille du couple, l’épouse du fils… Mais les trois plus importants, sont le couple et le fils noir. L’issue nous est connue d’emblée, comme dans les tragédies, le fils tuera le père. C’est le cheminement vers ce meurtre qui est la trame du livre.

António Lobo Antunes nous livre, comme à son habitude, une vision très noire de la nature et de la destinée humaines. Certains actes sont irrémédiables, ils ne peuvent être effacés, ils s’incrustent définitivement, dans l’âme, ou plutôt dans la conscience, et gardent, voire augmentent leur pouvoir de nuisance tant que cette dernière fonctionne. Il n’y a pas de possibilité de pardon, ni pour les autres, ni pour soi-même. Les monologues intérieurs des personnages traduisent toute la complexité de la créature humaine : à la fois dans le présent et dans le passé, qui peut être aussi réel que le présent ; dans la permanente ambivalence : on peut par moments détester, déprécier, mépriser l’être que l’on aime le plus. Toutes les contradictions, les souffrances les plus intimes, les doutes, quelques souvenirs plus heureux s’expriment dans des bouts de phrases, qui passent d’un sujet à un autre, d’un personnage à l’autre. Et tous ces échanges intérieurs, mêmes s’ils évoquent les mêmes expériences, les mêmes faits, se croisent sans vraiment se répondre, chacun reste définitivement seul, enfermé dans son moi, que personne ne peut aider réellement. Le mari et la femme, leur histoire d’amour qui dure depuis des années, au point qu’ils ne conçoivent pas la vie l’un sans l’autre, est impitoyablement mise à nue. La façon différente dont chacun d’entre eux se souvient de ce qui s’est passé, de ce que cela signifiait, les moments pénibles, creux, la frontière infranchissables entre les êtres que ce l’on appelle amour n’abolit pas. Les relations complexes entre le père et le fils adoptif, la haine aussi bien que l’amour, l’ambivalence de l’action de sauver cet enfant, l’affection par moments, mais aussi le mépris, le pouvoir, le racisme qui est là tapi quelque part d’une façon sournoise et peut surgir à l’occasion. La maladie et la mort aussi, qui sont, quoi qu’il arrive, le lot de tous les hommes.

C’est très fort et très dense, par moments très juste d’une façon cinglante. C’est une lecture difficile à conseiller à qui que ce soit, car ce n’est pas toujours aisé à suivre et demande une certaine concentration et disponibilité chez le lecteur. C’est très sombre, sans la moindre lueur d’espoir. Il faut être prêt à affronter l’univers d’António Lobo Antunes, car c’est une expérience éprouvante, il vaut mieux choisir le bon moment pour la tenter.

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Message par kenavo Lun 2 Sep - 7:42

merci pour tes impressions... je n'ai pas encore lu celui-là mais tu me donnes envie de retrouver sa voix...

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Message par Arabella Lun 2 Sep - 10:32

Je ne sais pas si tu connais ce beau film tournés d'après ses lettres à sa femme :


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Message par kenavo Mar 3 Sep - 7:07

oh, non... je ne connaissais pas... je vais tenter de le voir, cela semble être en effet un beau film

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Message par Arabella Mar 3 Sep - 8:16

Je suis sûre que ta vas apprécier.

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Message par Arabella Dim 26 Sep - 22:33

Livre de chroniques


Antonio Lobo Antunes est considéré par un certain nombre de spécialistes et critiques comme l'un des écrivains les plus importants de la fin du XXe siècle et du début du XXIe. Mais son oeuvre n'est pas facile à pénétrer, il aborde des questions douloureuses qui peuvent mettre mal à l'aise, entre dysfonctionnements familiaux, mémoire coloniale, la violence de la guerre etc. Sans oublier une écriture exigeante, des constructions narratives complexes, nourries de recherches formelles audacieuses. Ses livres laissent donc un certain nombre de lecteurs de côté.

Mais ce Livre de chroniques est très différent et très abordable. Il s'agit d'une cinquantaine de textes courts, de quelques pages à peine. L'auteur y évoque en grande partie les souvenirs de son enfance, un monde qui n'existe plus pour une bonne partie, sauf dans son souvenir. Il se met aussi en scène dans quelque textes, en tant que vieil homme écrivain. D'une certaine manière, le vieil homme retrouve l'enfant qu'il était, l'état d'irresponsabilité ou l'insouciance de l'enfance. Ces souvenirs sont étonnement tendres et émus, même si la férocité habituelle de Lobo Antunes pointe parfois, comme dans ce texte consacré aux pauvres de ses tantes, où lorsqu'il évoque les dysfonctionnements, la solitude dans les couples. Mais une sorte de douceur prévaut, et aussi, dans presque tous les textes, un sens de l'humour, que l'on ne retrouve pas vraiment dans les romans de l'auteur, ou alors sous une forme particulièrement féroce.

Cela donne une autre image de l'homme, et permet de lire autrement ses grands romans. Ce sont en tous les cas de très beaux textes, touchants et très agréables à lire, et ils peuvent constituer une approche d'une oeuvre, sans aucun doute immense, mais pas toujours facile à pénétrer.

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Message par kenavo Lun 27 Sep - 4:42

oh comme cela fait plaisir de voir remonter son fil...
et c'est bien de parler de ses chroniques (pour l'instant il y a cinq recueils), je les adore autant que ses romans

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Message par Arabella Lun 27 Sep - 20:15

J'ai vu après coup qu'il y avait plusieurs volumes, celui-ci est le premier.

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Message par Aeriale Mar 28 Sep - 10:07

Je ne l’ai jamais lu, pour les raisons que tu cites plus haut ( lecture complexe, assez hermétique) mais je me disais qu’il me faudrait aborder un auteur portugais et ce livre pourrait davantage me correspondre, d’après ce que tu en dis, @Arabella!

Je retiens donc, merci :-)
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Message par Arabella Jeu 3 Nov - 18:56

La dernière porte avant la nuit

Publié en 2018 au Portugal et en 2022 en France, c'est le dernier ouvrage en date d'Antonio Lobo Antunes. La trame est d'une grande simplicité : cinq complices décident d'enlever et de tuer un homme pour s'approprier ses biens. L'affaire se déroule comme prévue, mais malgré l'absence de cadavre, dissout dans de l'acide, la police est aux aguets, et l'étau paraît se resserrer sur les coupables. Nous suivons, dans vingt-cinq chapitres, les cinq hommes. Chacun à son tour rumine, ressasse, au-delà des événements liés au crime, les moments clés de son existence.

Ce qui revient, ce qui obsède, c'est l'essentiel, les noeuds, noyaux, autour desquels se sont construites les personnalités, les visions du monde. Pour l'un, c'est le départ du père, un beau jour, pour suivre une femme à ombrelle. Père qu'il n'a jamais revu depuis, au point de se demander s'il le reconnaîtrait maintenant. Pour tous, une sorte d'obsession qui porte sur la soeur de l'homme assassinée, femme idéale et inaccessible, semblant échapper au temps et à toutes les formes de désagrégation. Qui en revanche ne les épargnent pas, dans les personnes familières, les parents, les épouses, et dont eux-mêmes ressentent les atteintes. Les moments de vie se télescopent, semblent simultanés ; passé, présent, futur sont là en même temps, interchangeables. Les ressassements, les répétitions les redites, semblent essayer de camoufler le vide fondamental de ces existences. L'argent de l'homme mort ne pourrait de toutes les façons pas combler ce vide, apporter une véritable satisfaction. Cette dernière paraît à jamais hors d'atteinte, elle s'est perdue quelque part en route, et chacun à sa manière, essaie de comprendre où et comment, sans y arriver.

Tout cela dans le langage et style si particulier de Lobo Antunes, sans douta pas le plus facile à lire, dans lequel il faut pénétrer, trouver une brèche qui donne accès. Mais si on la trouve, c'est une merveille de rythme, de fluidité, d'évidence.

Encore une oeuvre importante du grand auteur portugais.

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Message par domreader Ven 4 Nov - 8:18

Un auteur que je me suis promis de découvrir depuis longtemps ! Son tour viendra, c'est sûr !

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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
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