Katharine Dion
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Re: Katharine Dion
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The Dependents / Après Maida
Je ne me retrouve pas dans le premier groupe, mais j’ai beaucoup aimé. Voilà une nouvelle voix parmi les auteurs américains dont je vais suivre avec intérêt les prochaines publications.
Katharine Dion va figurer parmi ceux que je considère comme « slow writer ».
Il ne se passe pas grand-chose, faut ne pas s’attendre à beaucoup d’action.
Mais elle arrive à créer des atmosphères et images, dès les premières pages on est très près des personnages principaux et on va vivre ces cinquante ans avec eux.
Il y a beaucoup de justesse dans son portrait de cet homme âgé. On oublie très vite que la voix de l’auteur est une jeune femme mais on voit Gene devant soi, un homme de plus de soixante-dix ans.
Pour les lecteurs de Stewart O'Nan, en voilà une autre bonne piste de lecture.
The Dependents / Après Maida
Après ma lecture je suis allée jeter un œil sur des commentaires concernant ce roman. Comme d’habitude il y a ceux qui crient au chef d’œuvre et ceux qui se sont ennuyé à souhait.Présentation de l’éditeur
“Quelque chose de certain a été perdu”. Ce sont les seuls mots qui viennent à Gene pour parler de sa femme Maida après sa disparition. Quoi de plus insaisissable que le souvenir d’une personne aimée ? Gene se remémore leur rencontre, leur mariage, les étés joyeux près du lac, avec leurs amis de toujours Ed et Gayle, dans des maisons traversées de rires et d’enfants. Sur les photos, Maida est toujours radieuse. Mais étaient-ils vraiment heureux ? Quel est ce lien qui les a unis pendant près de cinquante ans de mariage ? Étonnamment, c’est parce qu’il se tourne vers le passé que surgit pour Gene une possibilité de renouveau. Mais, pour réapprendre à vivre, il lui faudra changer de regard sur ses proches et savoir saisir sa chance.
Après Maida interroge avec tendresse notre rapport à ceux que nous chérissons. Le style juste et délicat de Katharine Dion nous permet d’entendre les battements du cœur humain mis à nu.
Je ne me retrouve pas dans le premier groupe, mais j’ai beaucoup aimé. Voilà une nouvelle voix parmi les auteurs américains dont je vais suivre avec intérêt les prochaines publications.
Katharine Dion va figurer parmi ceux que je considère comme « slow writer ».
Il ne se passe pas grand-chose, faut ne pas s’attendre à beaucoup d’action.
Mais elle arrive à créer des atmosphères et images, dès les premières pages on est très près des personnages principaux et on va vivre ces cinquante ans avec eux.
Il y a beaucoup de justesse dans son portrait de cet homme âgé. On oublie très vite que la voix de l’auteur est une jeune femme mais on voit Gene devant soi, un homme de plus de soixante-dix ans.
Pour les lecteurs de Stewart O'Nan, en voilà une autre bonne piste de lecture.
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