Léonor de Récondo
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Re: Léonor de Récondo
commentaire de 2014
Rêves oubliés
Finalement, je préférais que rien ne nous attache à ici. Je veux bien y vivre le temps qu’il faudra, y mourir aussi s’il le faut, mais pas m’y attacher.
Rester étrangère, sans racine.
La vie au jour le jour de cette famille est racontée avec les sons des évènements de la guerre civile en Espagne et la 2e guerre mondiale en fond de l’histoire, mais elles ne prennent pas le devant.
Personnages attachants, histoire qui se lit d’une traite et qui donne envie de suivre cette jeune auteur.
Je lui donne la parole pour mieux parler de son livre:
Rêves oubliés
Voilà un texte intime et très personnel concernant l’exil et la vie à l’étranger. Le tout dans une langue poétique qui renforce l’aperçu d’un récit intimiste.Présentation de l'éditeur
Quand il arrive à Irùn où il espère rejoindre sa famille, Aïta trouve la maison vide. Le gâteau de riz abandonné révèle un départ précipité. En ce mois d'août 1936, le Pays basque espagnol risque de tomber entre les mains des franquistes. Aïta sait que ses beaux-frères sont des activistes. Informé par une voisine, il parvient à retrouver les siens à Hendaye. Ama, leurs trois fils, les grands-parents et les oncles ont trouvé refuge dans une maison amie. Aucun d'eux ne sait encore qu'ils ne reviendront pas en Espagne. Être ensemble, c'est tout ce qui compte : au fil des années, cette simple phrase sera leur raison de vivre. Malgré le danger, la nostalgie et les conditions difficiles - pour nourrir sa famille, Aïta travaille comme ouvrier à l'usine d'armement, lui qui dirigeait une fabrique de céramique. En 1939, quand les oncles sont arrêtés et internés au camp de Gurs, il faut fuir plus loin encore. Tous se retrouvent alors au coeur de la nature, dans une ferme des Landes. La rumeur du monde plane sur leur vie frugale, rythmée par le labeur quotidien : les Allemands, non loin, surveillent la centrale électrique voisine, et les oncles, libérés, poursuivent leurs activités clandestines. Écrit comme pour lutter contre la fuite des jours, le carnet où Ama consigne souvenirs, émotions et secrets donne à ce très beau roman une intensité et une profondeur particulières. Léonor de Récondo, en peu de mots, fait surgir des images fortes pour rendre à cette famille d'exilés un hommage où une pudique retenue exclut le pathos.
Finalement, je préférais que rien ne nous attache à ici. Je veux bien y vivre le temps qu’il faudra, y mourir aussi s’il le faut, mais pas m’y attacher.
Rester étrangère, sans racine.
La vie au jour le jour de cette famille est racontée avec les sons des évènements de la guerre civile en Espagne et la 2e guerre mondiale en fond de l’histoire, mais elles ne prennent pas le devant.
Personnages attachants, histoire qui se lit d’une traite et qui donne envie de suivre cette jeune auteur.
Je lui donne la parole pour mieux parler de son livre:
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George Gershwin
Re: Léonor de Récondo
La leçon de ténèbres
Depuis ma première rencontre avec Léonor de Récondo, j’avais envie de retrouver sa plume… et cela s’est fait dans ce livre de la plus belle façon.Présentation de l’éditeur
Leçon de Ténèbres : « Genre musical français du XVIIe qui accompagne les offices des ténèbres pour voix et basse continue. Se jouait donc la nuit à l'Église, les jeudi, vendredi et samedi saints. »
Le Musée Greco à Tolède n’est certes pas une Église, et Léonor de Recondo, quoique violoniste, n’y va pas pour jouer, dans cette nuit affolante de chaleur, de désir rentré, de beauté fulgurante, mais pour rencontrer, enfin, le peintre qu’elle admire, Dominikos Theotokopoulos, dit le Greco, l’un des artistes les plus originaux du XVIe siècle, le fondateur de l’école Espagnole.
Oui, Léonor doit le rencontrer et passer une nuit entière avec lui, dans ce musée surchauffée et ombreux, qui fut sa maison. Le Greco doit quitter sa Candie, natale, en Crète et traverser Venise, Rome et Madrid, où il fut de ces peintres-errants, au service de l’Église et des puissants du temps. Mais Le Greco est mort en 1614 à Tolède. Viendra-t-il au rendez-vous ?
Quelle nuit sublime j’ai partagé avec elle
Elle s’est vraiment immergée dans la vie du peintre et ainsi elle décrit non seulement sa nuit au musée mais fait aussi une courte bio de sa vie.
Elle emmène son lecteur en Crète, ensuite à Venise et Rome pour enfin arriver à Tolède. Et cela n’a rien d’une biographie « stérile », mais on est toujours tout près du Greco.
Fascinant. Je suis époustouflée.
Deuxième lecture faite de cette série et cela me donne envie de poursuivre mes découvertes.
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Re: Léonor de Récondo
Pietra Viva
Nous sommes en 1505. Michel-Ange, déjà célèbre, s’est vu passer une commande somptuaire par le pape Jules II : celle de son tombeau, fastueux et monumental. L’artiste, sous le coup de la mort d’un jeune moine dont la beauté le troublait, se rend à Carrare, pour choisir les blocs de marbre en vue de ce projet pharaonique. Il y restera plusieurs mois parmi les carriers qu’il connaît. Une rencontre avec un petit garçon qui vient de perdre sa mère va faire resurgir des souvenirs, aviver des blessures mal cicatrisées et modifier peut-être le rapport à son art et à lui-même.
C’est un livre délicat, poétique, subtile. Il pose les questions de la création, du lien de l’art avec la vie, de la séparation de celui qui donne vie aux œuvres avec les autres. De la difficulté de trouver sa place, de s’accepter soi-même. Tout est suggéré, rien n’est asséné. C’est sans aucun doute un très joli livre, peut-être un peu évanescent, je me demande ce qui va m’en rester d’ici quelque moi, mais très sensible, et par moments très touchant.
La seule chose qui m’a un peu gêné, c’est que le personnage de Léonor de Récondo ressemble très peu à Michel-Ange tel que je me le représente. Rien d’un personnage titanesque, extrême, en conflit, luttant pour son art et pour sa reconnaissance. Dans le livre, nous avons un homme en train de se réconcilier avec lui-même et son passé, qui tend vers une sorte d’apaisement, de douceur. Alors que dans l’histoire, le retour à Rome sera terrible, et ce projet de tombeau pour lequel il choisit le marbre, sera pour lui la « tragédie de sa vie ». Rappelons qu’il y aura rupture avec le pape, et conflit très violent, plusieurs projets successifs sur des décennies (quarante ans), et enfin une réalisation très modeste et éloignée du projet initial. Tout sauf un fleuve tranquille.
Je crois que j’aurais bien plus apprécié ce livre, qui a beaucoup de charme, s’il parlait d’un artiste sans nom, même s’il pouvait avoir quelques éléments le rapprochant de Michel-Ange. Là, c’est un peu comme si deux réalités se superposaient et ne collaient pas toujours ensemble.
Nous sommes en 1505. Michel-Ange, déjà célèbre, s’est vu passer une commande somptuaire par le pape Jules II : celle de son tombeau, fastueux et monumental. L’artiste, sous le coup de la mort d’un jeune moine dont la beauté le troublait, se rend à Carrare, pour choisir les blocs de marbre en vue de ce projet pharaonique. Il y restera plusieurs mois parmi les carriers qu’il connaît. Une rencontre avec un petit garçon qui vient de perdre sa mère va faire resurgir des souvenirs, aviver des blessures mal cicatrisées et modifier peut-être le rapport à son art et à lui-même.
C’est un livre délicat, poétique, subtile. Il pose les questions de la création, du lien de l’art avec la vie, de la séparation de celui qui donne vie aux œuvres avec les autres. De la difficulté de trouver sa place, de s’accepter soi-même. Tout est suggéré, rien n’est asséné. C’est sans aucun doute un très joli livre, peut-être un peu évanescent, je me demande ce qui va m’en rester d’ici quelque moi, mais très sensible, et par moments très touchant.
La seule chose qui m’a un peu gêné, c’est que le personnage de Léonor de Récondo ressemble très peu à Michel-Ange tel que je me le représente. Rien d’un personnage titanesque, extrême, en conflit, luttant pour son art et pour sa reconnaissance. Dans le livre, nous avons un homme en train de se réconcilier avec lui-même et son passé, qui tend vers une sorte d’apaisement, de douceur. Alors que dans l’histoire, le retour à Rome sera terrible, et ce projet de tombeau pour lequel il choisit le marbre, sera pour lui la « tragédie de sa vie ». Rappelons qu’il y aura rupture avec le pape, et conflit très violent, plusieurs projets successifs sur des décennies (quarante ans), et enfin une réalisation très modeste et éloignée du projet initial. Tout sauf un fleuve tranquille.
Je crois que j’aurais bien plus apprécié ce livre, qui a beaucoup de charme, s’il parlait d’un artiste sans nom, même s’il pouvait avoir quelques éléments le rapprochant de Michel-Ange. Là, c’est un peu comme si deux réalités se superposaient et ne collaient pas toujours ensemble.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Léonor de Récondo
Arabella a écrit:Je crois que j’aurais bien plus apprécié ce livre, qui a beaucoup de charme, s’il parlait d’un artiste sans nom, même s’il pouvait avoir quelques éléments le rapprochant de Michel-Ange. Là, c’est un peu comme si deux réalités se superposaient et ne collaient pas toujours ensemble.
Oui, c'est le droit de l'auteur bien sûr, mais c'est toujours gênant, cette réappropriation sur l' Histoire. Ca me fait penser au dernier film de Maïwenn "Jeanne du Barry". L'artifice peut trop ressortir.
(Je vais vous en parler)
Aeriale- Messages : 11393
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Léonor de Récondo
Pietra Viva
Léonor de Récondo
Un roman qui se situe au tout début du 16ème siècle, tout d’abord à Rome où le sculpteur déjà célèbre Michelangelo découvre la mort d’Andrea, un jeune prêtre dont la beauté le fascinait. Il en est bouleversé.
Heureusement, une commande du pape Jules II va l’accaparer et détourner son chagrin. En effet Michelangelo s’est vu confier la conception et la réalisation du tombeau du pape. Il va devoir se rendre à Carrare en Toscane pour y sélectionner les blocs de marbre nécessaires et organiser leur transport jusqu’à Rome. Ce sont les mois passés à Carrare au milieu des carriers et de leurs familles qui forment le corps de ce roman. Des mois pendant lesquels le sculpteur va faire la paix avec lui-même, en menant une vie frugale au milieu de ces gens simples avec lesquels il partage l’amour et le respect de la pierre.
C’est un joli roman, pudique, subtil, agréablement écrit qui sait nous transporter vraiment à Carrare il y a cinq cents ans. On y voit un Michelangelo en prise avec les doutes de la création, l’inspiration et la recherche d’un idéal artistique pendant ce séjour qui va le transformer en lui conférant une maturité plus apaisée. On pressent cependant que le retour à Rome ne sera peut-être pas serein suite à la visite tumultueuse des deux émissaires ‘espions’ envoyés par le pape. Léonor de Récondo a su donner vie à un jeune Michelangelo arrogant et blessé, mais aussi à d’autres personnages parmi les carriers, comme l’émouvant Cavallino, un simple d’esprit qui se prend pour un cheval et aussi Michele, un enfant en mal d’affection.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3418
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Léonor de Récondo
En plein dans les récits historiques @Domreader!
Il a l’air pas mal et gros avantage ( pour moi) il est court je vois ( moins de 200 pages)
Mais JB Andrea m’a un peu calmée, avec la problématique des sculpteurs et tailleurs de pierres. ( Même si j’imagine que c’est un cran au dessus)
Il a l’air pas mal et gros avantage ( pour moi) il est court je vois ( moins de 200 pages)
Mais JB Andrea m’a un peu calmée, avec la problématique des sculpteurs et tailleurs de pierres. ( Même si j’imagine que c’est un cran au dessus)
Aeriale- Messages : 11393
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Léonor de Récondo
Aeriale a écrit:En plein dans les récits historiques @Domreader!
Il a l’air pas mal et gros avantage ( pour moi) il est court je vois ( moins de 200 pages)
Mais JP Andrea m’a un peu calmée, avec la problématique des sculpteurs et tailleurs de pierres. ( Même si j’imagine que c’est un cran au dessus)
Oui il se lit assez vite, c'est un joli livre, bien écrit, tout en nuances , et l'histoire n'est pas simplette.
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domreader- Messages : 3418
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Léonor de Récondo
Le grand feu
Venise, XVIIIe siècle. Ilaria, issue d'un milieu modeste, est confiée par sa mère à l'institution de la Piéta, qui prend en charge les filles abandonnées, en leur donnant une éducation musicale. Francesca, sa mère, rêve de l'entendre chanter, et sacrifie la possibilité de vivre avec sa fille, la connaître. Car les règles de la Piéta sont impitoyables : Ilaria ne pourra revenir dans sa famille qu'une fois par an, à la Noël. La tendresse de sa tante Bianca, qui vit à la Piéta ne pourra que partiellement pallier à l'absence de famille.
Mais Illaria, pour se réchauffer va faire l'expérience de trois grands feux. Celui de la musique tout d'abord : elle va devenir la violoniste fétiche d'Antonio Vivaldi, qui écrit et dirige la musique de la Piéta. L'amitié ensuite, celle de Prudenza, la fille d'une famille illustre, qui vient prendre des cours de musique, et qui permettra à Illaria de faire quelques escapades à l'extérieur de l'institution. Et enfin l'amour de Paolo, le frère de Prudenza.
Léonor de Récondo a choisi un décor somptueux pour son roman, auquel il est difficile de résister. Elle parle bien de la musique, qu'elle pratique elle-même en tant que professionnelle. Elle capte des instants, campe des personnages attachants et authentiques, saisis dans les petites choses de la vie quotidienne. Son écriture, assez économe, est plaisante, avec un rythme, une scansion. Tout cela fait de ce roman une lecture tout à fait recommandable, et j'avoue y avoir pris indéniablement un certain plaisir.
Néanmoins, j'ai trouvé tout cela un peu trop sage, trop lisse, ce qui pour un livre qui parle de passion est un peu paradoxal. Et l'histoire fourmille d'approximations, de choses peu vraisemblables. Il n'y a que peu de surprises dans le récit, assez attendu dans son déroulé. Le cadre du récit, la qualité de l'écriture, des beaux passages, descriptions ou évocations, font qu'on passe un moment agréable avec cette lecture, mais sans véritable révélation, surprise, ou émotion intense. Cela donne la sensation de se trouver en terrain connu, déjà exploré. C'est une Venise aux couleurs passées, où on devine des motifs familiers dans les tissus, des tableaux dont les figures noircies par le temps que l'on reconnaît de mémoire, plutôt qu'une explosion de couleurs, de sensations, d'émotion.
Venise, XVIIIe siècle. Ilaria, issue d'un milieu modeste, est confiée par sa mère à l'institution de la Piéta, qui prend en charge les filles abandonnées, en leur donnant une éducation musicale. Francesca, sa mère, rêve de l'entendre chanter, et sacrifie la possibilité de vivre avec sa fille, la connaître. Car les règles de la Piéta sont impitoyables : Ilaria ne pourra revenir dans sa famille qu'une fois par an, à la Noël. La tendresse de sa tante Bianca, qui vit à la Piéta ne pourra que partiellement pallier à l'absence de famille.
Mais Illaria, pour se réchauffer va faire l'expérience de trois grands feux. Celui de la musique tout d'abord : elle va devenir la violoniste fétiche d'Antonio Vivaldi, qui écrit et dirige la musique de la Piéta. L'amitié ensuite, celle de Prudenza, la fille d'une famille illustre, qui vient prendre des cours de musique, et qui permettra à Illaria de faire quelques escapades à l'extérieur de l'institution. Et enfin l'amour de Paolo, le frère de Prudenza.
Léonor de Récondo a choisi un décor somptueux pour son roman, auquel il est difficile de résister. Elle parle bien de la musique, qu'elle pratique elle-même en tant que professionnelle. Elle capte des instants, campe des personnages attachants et authentiques, saisis dans les petites choses de la vie quotidienne. Son écriture, assez économe, est plaisante, avec un rythme, une scansion. Tout cela fait de ce roman une lecture tout à fait recommandable, et j'avoue y avoir pris indéniablement un certain plaisir.
Néanmoins, j'ai trouvé tout cela un peu trop sage, trop lisse, ce qui pour un livre qui parle de passion est un peu paradoxal. Et l'histoire fourmille d'approximations, de choses peu vraisemblables. Il n'y a que peu de surprises dans le récit, assez attendu dans son déroulé. Le cadre du récit, la qualité de l'écriture, des beaux passages, descriptions ou évocations, font qu'on passe un moment agréable avec cette lecture, mais sans véritable révélation, surprise, ou émotion intense. Cela donne la sensation de se trouver en terrain connu, déjà exploré. C'est une Venise aux couleurs passées, où on devine des motifs familiers dans les tissus, des tableaux dont les figures noircies par le temps que l'on reconnaît de mémoire, plutôt qu'une explosion de couleurs, de sensations, d'émotion.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Léonor de Récondo
Oui, comme tu le dis, c'est un peu la sensation que j'avais eue avec Pietra Viva, un joli livre, bien écrit qui se lit agréablement.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3418
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Léonor de Récondo
De légères retenues donc pour toi @Arabella, mais j’avais quand même noté le précédent.
C’est toujours une plongée dans l’Histoire qui paraît séduisante…
C’est toujours une plongée dans l’Histoire qui paraît séduisante…
Aeriale- Messages : 11393
Date d'inscription : 30/11/2016
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