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Stefan Zweig

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Message par Ovalire Mer 4 Jan - 19:36

Stefan Zweig  Sz10

né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche-Hongrie (c’était encore l’Empire), dans une riche famille d’industriel, et mort par suicide le 22 février 1942, à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien.
Ami de Sigmund Freud, d'Arthur Schnitzler, de Romain Rolland, de Richard Strauss et d'Émile Verhaeren, Edouard Munch, Stefan Zweig fit partie de l'intelligentsia juive viennoise (« Ma mère et mon père étaient juifs par le hasard de leur naissance »), et fit de nombreux voyages rencontrant ses amis écrivains, en Europe et aux USA et même en Inde et Afrique. Avec Romain Rolland, ils somment les intellectuels du monde entier de se joindre à eux dans un pacifisme actif. Zweig reste pacifiste toute sa vie et préconise l’unification de l’Europe. Il quitte définitivement son pays natal en 1934 en raison de la montée du nazisme. Réfugié à Londres, il y poursuit une œuvre de biographe (Joseph FouchéMarie Antoinette, Marie Stuart) et surtout d'auteur de romans et nouvelles qui ont conservé leur attrait près d'un siècle plus tard (Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments). Dans son livre testament, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de l'« âge d'or » de l'Europe et analyse avec profondeur ce qu'il considère être l'échec d'une civilisation. (Wikipédia un peu modifié)
Bibliographie : Tellement longue … les principaux titres sont cités ci-dessus. 
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Message par Ovalire Mer 4 Jan - 19:41

LE MONDE D’HIER, Souvenirs d’un européen.
Livre écrit peu de temps avant son suicide, il l’adressera à son éditeur la veille de celui-ci. Il sera publié 2 ans plus tard.
Il y décrit l’Europe, telle qu’il la voit, telle qu’il la ressent (ce n’est pas du Zola), telle qu’il l’espère, de sa jeunesse au lycée, à la déclaration de guerre suite à l’invasion de la Pologne. D’abord, la société autrichienne de la fin du XIXème siècle, cette société de la sécurité (assurance, risques portés collectivement, stabilité politique, de liberté d’esprit). « On ne méprisait pas la tolérance comme un signe de mollesse et de faiblesse, on la prisait très haut comme une force éthique ».
Vers 1911, commence la montée des nationalismes, issus des colonialismes qui n’ont plus d’espace pour s’exprimer. Après la 1ère guerre, il fait face à cette seconde montée des nationalismes issue des divers traités de pays de Versailles. Durant toute sa vie, il voyage de Londres à Berlin, de Rome à Paris, et même aux USA, et donc ce livre relate ses rencontres, du lycée, à ses funèbres jours de 1939.
De son voyage en Inde, il écrivit : «Pour la première fois j’observe la folie de la pureté de la race, cette peste qui est devenue plus fatale à notre monde que la véritable peste dans les siècles passés ». Malheureusement, cette constatation ne l’a pas quitté en voyant l’évolution de l’Europe après 1911.
Si les arts, littérature, musique, peinture occupent beaucoup Zweig, il est tout aussi sensible à l’évolution physique de la société : « Quarante ans de paix [1871-1911]avaient fortifié l’organisme économique des pays, la technique avait accéléré le rythme de l’existence, les découvertes scientifiques avaient rempli de fierté l’esprit de cette génération ».
Bon je vais m’arrêter là. Ce livre est trop riche de témoignages de ces périodes qui ont façonné le monde d’ aujourd'hui. Bon, d’accord, il vaut mieux s’intéresser à l’histoire, car sinon, même avec ce style superbe, le livre pourrait paraître un peu long.

Ce n’est pas le premier livre de Zweig que je lis, et je me pose la question : Pourquoi n’a-t-il pas eu le Nobel ? Parce qu’il était du camp des agresseurs/perdants entre les 2 guerres ? Parce qu’il est mort trop jeune ?
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Message par Arabella Mer 4 Jan - 22:07

La question du pourquoi ou pas du Nobel...S'il avait vécu plus longtemps, il aurait eu plus de chances certainement. Il n 'y a en a qu'un par an.

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Message par kenavo Ven 22 Sep - 6:27

Stefan Zweig  Aaaaa117

Adaptation sublime de Le joueur d'échecs par David Sala

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Message par Queenie Lun 31 Déc - 9:24



Je suis allée au théâtre, voir La Peur.
Que c'est dur ! Horrible !
Terriblement bien écrit.
Perversement pensé.

Stefan Zweig  La-peu10
au Théâtre Michel

Une femme (Irène) délaissée par son mari (Fritz) avocat qui bosse comme un dingue.
Une femme qui, en plus, ne comprend pas que son mari défende des "monstres". (Beaux arguments pour expliquer le droit à la défense pour tous)
Une femme qui est parfois humiliée par son mari, qui voudrait bien d'une bobonne mignonne souriante silencieuse.

Elle le trompe.
Petite euphorie de se sentir de nouveau aimée, écoutée, choyée.
Mais au croisement d'une rue, une femme (Elsa) lui saute dessus, lui dit être la compagne d'Edouard (l'amant), menace Irène de tout dire à Fritz. La fait chanter, lui réclame de l'argent.

Et...
Là...
C'est une spirale infernale.
Irène hantée par cette "sorcière", à se demander si elle est réelle ou un fruit de son esprit, de sa culpabilité.
Irène cesse immédiatement de voir Edouard, mais Elsa continue à la guetter dans la rue, à surgir dans son salon, à lui soutirer de l'argent. Irène perd pied, se débat, s'enfonce de plus en plus dans les mensonges.
Fritz revient un peu vers elle, prend des jours de congés. Voit que quelque chose cloche, pose quelques questions, mais par peur de ce qu'elle va dire ou par désir de la laisser révéler ses tourments lorsqu'elle le jugera nécessaire, il n'insiste jamais très longtemps.

Un texte dense.
Incroyablement bien ficelé.
La folie rode.
La culpabilité enveloppe, enserre, étouffe.
Les ombres de la rupture de l'esprit.

Et une fin...
Grandiose.
Bouleversante.

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Message par Arabella Lun 31 Déc - 13:02

Cela a l'air top. Je note au cas où...

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Message par Arabella Jeu 21 Mai - 10:56

Conte crépusculaire

Le conte crépusculaire est une nouvelle publiée tout d'abord en revue en 1908, puis dans un recueil en 1911. le récit d'événements qui ont profondément marqués un jeune homme, au point d'être au final le moment central de son existence. La nouvelle fait revivre ces instants si intenses, le souvenir amplifiant encore la force des ressentis.

Un été dans une belle demeure anglaise. Un adolescent y séjourne chez sa soeur ; d'autres invités sont là. Notre héros se sent en décalage, plus un enfant, il n'est pas encore considéré comme un homme par les adultes , il rêve, solitaire. Mais les choses basculent une nuit pendant une promenade : une femme qu'il n'arrive pas à identifier dans l'obscurité, lui fait découvrir la passion. Il voudrait savoir de qui il s'agit. Un indice lui fait penser que c'est sa belle cousine Margot. Il s'attache à ses pas, tente de lui parler, mais elle le rebute. La nuit pourtant, la même femme continue à le rejoindre. L'adolescent se blesse accidentellement, et dans sa maladie, il rêve à Margot, qui de temps en temps vient lui rendre visite. Mais au final, il découvrira que c'est une autre qu'il a aimé dans le noir.

Entre rêve, désir, naissance du sentiment, la manière dont il se construit, et aussi à quel point il échappe à la raison, comment il ne rapproche pas forcément les êtres, qui perçoivent la réalité par le prisme de leurs propres ressentis et aspirations. Même si on se doute assez vite de ce que le personnage principal ne veut surtout pas voir, le charme du récit opère, dans un halo d'une nostalgie douce-amère. L'imaginaire et le souvenir permettent de vivre plus intensément, d'éprouver davantage, que la réalité, toujours décevante.

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Message par Arabella Dim 24 Mai - 13:12

Brûlant secret

Un garçon de 12 ans, encore considéré comme un enfant par son entourage, mais de plus en plus attiré par le monde des adultes et les choses qu'il n'y comprend pas. Il est en convalescence, dans une station thermale avec sa mère. Un homme survient, et essaie de séduire la mère. Pour faire sa connaissance il s'attache le garçon, ébloui d'avoir un ami adulte qui semble s'intéresser à lui. Mais une fois la mère approchée, l'enfant devient une gêne, et les deux adultes font le maximum pour s'en débarrasser. le garçon qui se sent trahi, s'accroche au couple, essayant de comprendre la nature mystérieuse de cette étrange connivence qui s'est d'un coup établie entre sa mère et le baron, connivence qu'il avait déjà ressentie entre adultes et dont le sens lui échappe , tout en le troublant. Il en vient à les épier, à les suivre en cachette.

Le récit s'attache à l'analyse psychologique de l'enfant qui plonge dans l'adolescence, qui approche du monde des adultes, qui se frotte à la sexualité, et qui réévalue ses relations avec ses parents. Zweig est un spécialiste des frémissements du coeur et des sens, et ce récit l'illustre une fois de plus. Les minuscules péripéties de cet étranger ménage à trois tiennent en haleine du début jusqu'à la fin, tant l'auteur sait doser les émotions et maîtrise l'agencement des événements.

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Message par kenavo Lun 25 Mai - 7:00

Arabella a écrit:Brûlant secret
je ne saurais pas dire comment l'adaptation en film a vieillie, cela fait un bout de temps que je ne l'ai pas vu
mais je me rappelle que dans le temps de ma découverte, j'en étais enthousiaste et je l'ai regardé au moins 2-3 fois, probablement à cause de Klaus Maria Brandauer que j'adorais comme acteur
sortie en France sous le titre anglais Burning Secret
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Message par Arabella Lun 25 Mai - 7:54

Je vais essayer de voir ça à l'occasion. Merci @Kenavo.

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Message par Arabella Lun 25 Mai - 21:26

La peur

Le texte, écrit en 1913, paraît à Berlin en volume séparé en 1920. Zweig en donnera une version raccourcie pour un éditeur de Leipzig en 1925, en se contentant de couper quelques passages, sans réécrire le texte.

Une femme mariée, Irène, a une liaison avec un pianiste. En sortant de chez son amant, elle est violemment apostrophée par une femme, qui lui fait une scène de jalousie et se montre menaçante. Elle attend ensuite devant chez Irène, semble tout savoir sur elle, et se livre à un chantage, en lui demandant de plus en plus d'argent. Irène vit dans la terreur que sa liaison ne soit découverte par son mari, elle n'arrive pas à lui avouer ce qui s'est passé, même s'il semble vouloir provoquer des aveux, tant le comportement d'Irène est devenu inhabituel et troublé. L'inconnue se montre de plus en plus audacieuse et avide, Irène terrorisée lui abandonne sa bague de fiançailles et pense n'avoir comme seule issue que le suicide.

Un texte terriblement efficace, presque un thriller, on imaginerait très bien cette histoire racontée par Hitchcock. Irène est progressivement presque prise de folie, toute sa vie tourne autour de l'apparition possible de sa persécutrice. Elle est totalement impuissante, et ne vit que par la menace qui rôde autour d'elle. Tout cela tient le lecteur en haleine d'une manière imparable.

J'ai tout de même été mal à l'aise avec la fin du texte, la réaction d'Irène, après l'enfer qu'elle a vécu, m'a paru trop « gentille ». J'aurais voulu un peu de colère, et de révolte, et pas cette soumission et cette forme de passivité. Je crois que la représentation de la femme a bien changée pendant le siècle qui nous sépare de l'écriture de ce texte, et qu'on écrirait peut-être plus cela comme ça maintenant, surtout avec cette espèce d'évidence.

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Message par Aeriale Mar 26 Mai - 8:31

Merci de faire remonter le fil. Très envie de relire Zweig.

Même si les réactions semblent surannées, j'admire sa manière si subtile d'analyser les sentiments. Il faudra que je cherche, celui ci ou un autre, à la bibliothèque...
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Message par Arabella Mar 26 Mai - 9:39

Plus que les réactions surannées c'est une sorte de vision de la femme qui frise un peu la misogynie qui m'a gênée, mais il était de son temps. Et c'est vraiment à la toute fin du récit.

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Message par Arabella Jeu 28 Mai - 10:43

Amok


Publié pour la première fois en 1922 dans un grand quotidien viennois, ce texte a peut-être été inspiré en partie par un voyage en Asie (Inde, Ceylan, Birmanie) effectué par Zweig en 1908, sur les conseils de Walter Rathenau. le roman a connu plusieurs adaptations cinématographiques.

Un premier narrateur, dont nous ne saurons pour ainsi dire rien, nous livre le récit d'un voyage qu'il fit sur un paquebot pour rentrer en Europe. Mais très vite, il laisse la parole à un autre personnage, un voyageur qu'il croise de nuit sur un pont du navire, et qui lui fait dans l'obscurité le récit d'événements récents qui l'ont obligé à revenir d'urgence en Europe. Il est médecin ; il a été obligé de partir en Malaisie suite à des détournements d'argent. Nommé dans un coin isolé, il reçoit un jour la visite d'une Européenne de la haute société qui voudrait qu'il pratique un avortement. Agacé par cette femme hautaine et méprisante, il exige d'être son amant avant de pratiquer l'intervention. Elle part, dépitée. Il la suit, regrettant ce qu'il a fait, et prêt à accéder à sa demande. Mais elle fait appel à une avorteuse locale et succombe. Entre temps, le médecin est entré dans un état de quasi obsession, totalement fasciné par cette femme, et voulant à n'importe quel prix se mettre à son service. Après sa mort, il est obligé de quitter la Malaisie, son comportement ayant créer un véritable scandale. Mais il reste toujours obsédé par la morte, dont le cercueil se trouve sur le même bateau.

Un récit extraordinairement habile, dans un climat halluciné, où il devient difficile de distinguer le réel de la folie. le second narrateur, est juste une voix, une ombre, qui apparaît de temps en temps, lorsqu'une cigarette s'allume. Pour expliquer son comportement, il évoque l'amok, cet état de possession qui amène aux comportements de violence et d'agression, incontrôlables. Sa rencontre avec la femme venue lui demander de pratiquer l'avortement, l'a dépossédé de lui-même. Mais nous n'avons que sa parole, délivrée la nuit, sous l'emprise de l'alcool, dans un état qui paraît second. Que s'est-il vraiment passé ? Il manque la parole de quelqu'un d'autre, qui ne serait pas sous l'emprise d'une intense émotion. Et le premier narrateur, qui erre la nuit sur le bateau, qui fuit ses compagnons de voyage ordinaires, qui est-il ? A-t-il vraiment croisé cet homme qui lui a raconté son histoire ? A-t-il rêvé ? Imaginé ? Où est-il lui-même un être pris de folie subite ? A chaque lecteur de répondre à ces questions, selon son humeur, ou sa vision du monde.

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Message par kenavo Ven 29 Mai - 5:13

tu te fais la totale? Wink

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