Magdalen Nabb

Il me semble en effet qu'on peut les trouver en français, moi en tous les cas je les ai trouvé. C'est vrai que toutes les bibliothèques ne les ont pas.

Même si j'ai complètement oublié la trame, je me souviens avoir passé un bon moment avec Le gentleman florentin, découvert grâce à Arabella, il est temps de passer à Mort d'un orfèvre !

Arabella a écrit: Toujours aussi rapide, @Kenavo...

avec des policiers, je n'arrive jamais à "relaxer" je veux savoir le plus vite qui, comment, pourquoi... et ainsi la vitessse de lecture augmente avec ce genre de lecture

domreader a écrit:Ils sont disponibles en français chez 10/18 c'est juste que j'avais envie de la découvrir en VO et là c'est moins évident.

ah oui, scusi, je me suis mal exprimée, je voulais dire les versions e-book... étonnant qu'en VO ils soient presque inexistants...

silou a écrit:Même si j'ai complètement oublié la trame, je me souviens avoir passé un bon moment avec Le gentleman florentin, découvert grâce à Arabella, il est temps de passer à Mort d'un orfèvre !

je l'ai terminé pendant la nuit, je le trouve encore mieux que le premier volet

C'est souvent comme ça, le premier volet n'est pas toujours le mieux, cela pose le cadre.

Le Gentleman florentin

Présentation de l’éditeur
En cette veille de Noël, tout est décidément bien trop calme à la stazione Pitti de Florence... C'est du moins ce que pensait le jeune carabinier Bacci avant qu'un riche Anglais ne soit retrouvé assassiné dans son appartement de la Via Maggio. Chez la victime, son supérieur l'adjudant Guarnaccia, découvre un demi-million de livres sterling et une œuvre d'art volée.... L'enquête, à laquelle vont participer deux inspecteurs de Scotland Yard, va plonger Guarnaccia au cœur d'un trafic d'art à grande échelle, où des hommes aux caprices sans limites, sont prêts à tout pour faire fortune.

Comme à chaque fois que je viens après qu’un bon commentaire a été déjà fait (dans ce cas par Arabella), je ne vois pas trop l’intérêt d’ajouter mon babillage

Cela m’a en tout cas pris bon nombre d’années avant que j’arrive à Florence en compagnie de Magdalen Nabb. Mon amie qui est beaucoup plus polar que moi m’en disait déjà tout le bien dans le temps.

Mais voilà, c’était le bon moment. Je me suis régalée de cette première rencontre.

Même si je dois dire qu’en comparaison avec Maurizio de Giovanni elle n’arrive pas à m’enthousiasmer autant. Aussi bien l’atmosphère d’avant Noël que d’avoir des impressions de Florence, je la trouve un peu moins forte que son collègue de Naples.

Mais néanmoins elle m’a fait passer un bon moment et je suis curieuse de voir la suite…

Mort d'un orfèvre

Présentation de l’éditeur
Dans un appartement miteux de la Piazza Santo Spirito, un jeune orfèvre reçoit l'extrême onction avant de prononcer ces mystérieuses paroles : " Ce n'était pas elle ". Les carabiniers appelés sur les lieux concluent rapidement à un suicide. Mais Guarnaccia ne croit pas à cette version. Tandis qu'augmente la pression pour classer l'affaire, il entend bien prouver qu'il s'agit d'un meurtre, au risque de compromettre sa carrière. Quand les révélations de deux témoins viennent bouleverser ce scénario trop simple...
Dans une Florence étouffée par la canicule estivale et les hordes de touristes, le célèbre adjudant fera tomber le mur du silence d'une communauté unie par un code de loyauté inviolable et une méfiance à toute épreuve.

Tout comme Arabella l’a dit, le premier volet n’est pas toujours le mieux d’une série.

Surtout que dans Le Gentleman florentin le pauvre Guarnaccia était pendant la moitié du livre malade… et je me suis quand même posée la question s’il serait vraiment le héros de ces policiers.

Avec ce deuxième épisode cela devient clair qui va être le personnage principal de ces livres et je commence déjà à trouver des points sympa chez ce Maresciallo.

À partir d’un certain moment, l’histoire devient tellement captivante, j’avais du mal à poser le livre.

Ainsi mon deuxième séjour à Florence s’est déroulé parfaitement… envie de continuer avec Magdalen Nabb.

Bien que j’aie aimé ma deuxième rencontre déjà plus que la première enquête, il me manque encore un peu la couleur locale. Florence est une si belle ville… mais on ne la ressent pas assez dans son texte…peut-être que cela va changer encore.

Dans ce livre on a eu au moins quelques bons moments dans le jardin de Boboli…

En ce qui concerne Florence, on voit un petit bout, et à chaque fois différent dans chaque ville. Et surtout des habitants.

Arabella a écrit:En ce qui concerne Florence, on voit un petit bout, et à chaque fois différent dans chaque ville. Et surtout des habitants.

en effet, je viens de terminer le 6ème épisode hier (je vais mettre les commentaires peu à peu ) et j'adore cet aspect de découvrir divers endroits de la ville, mais surtout ses portraits de personnes dont on va faire connaissance sont extra...

Tu vas vite en venir à bout, elle n'en a écrit que 13 je crois...

Arabella a écrit:Tu vas vite en venir à bout, elle n'en a écrit que 13 je crois...

14, dont 3 (si les informations sur Wikipédia sont bonnes) ne sont pas (encore) traduits en français...
avec le rhytme que j'ai pour l'instant, je vais avoir terminé fin de semaine et je vais me sentir perdue sans mon Maresciallo Guarnaccia

C'est pour ça que je préfère les espacer...

je n'y arrive pas... dès que j'accroche je ne peux pas faire autre que me faire la totale (si c'est possible...)
en plus je dois dire qu'elle est pour l'instant ma "cure", je reprends plaisir à lire, rien d'autre me convient pour le moment

Cela fait un sacré moment que je parle d'elle sans que tu arrives à te décider...finalement tu as bien fait d'attendre, c'était le meilleur moment pour la découvrir. Moi il ne me reste qu'un dernier livre traduit, j'espère qu'ils traduiront les 3 qui restent.Sinon je l'attaque en anglais, cela ne devrait pas être trop difficile.

Ah oui, on voit que tu accroches bien Kena ! En faisant le tri dans ma bibliothèque (ça a du bon) je m'aperçois que j'en ai lu trois déjà. C'est fou comme on oublie facilement !

Arabella a écrit:c'était le meilleur moment pour la découvrir.

tout à fait...

Arabella a écrit:Moi il ne me reste qu'un dernier livre traduit, j'espère qu'ils traduiront les 3 qui restent.Sinon je l'attaque en anglais, cela ne devrait pas être trop difficile.

oui, cela ne devrait pas être trop difficile pour suivre

Epi a écrit:Ah oui, on voit que tu accroches bien Kena ! En faisant le tri dans ma bibliothèque (ça a du bon) je m'aperçois que j'en ai lu trois déjà. C'est fou comme on oublie facilement !

oui, j'ai du mal à la lâcher



Mort au printemps

Présentation de l’éditeur
C'est le 1er mars et il neige à Florence. Du jamais vu ! Tout le monde est tellement distrait par les gros flocons qui tombent du ciel que personne ne remarque les deux filles qu'on emmène de force en voiture, sous la menace d'un revolver...
Troisième enquête pour l'adjudant Guarnaccia avec un dénouement aussi curieux et inattendu que les caprices du printemps florentin.

C’est terrible de le dire, considérant qu’il s’agit d’histoires de meurtre, mais les livres de Magdalen Nabb ont un effet calmant sur moi. Tout ce dont j’ai besoin pour l’instant

Tout comme pour le premier volet, le Maresciallo Guarnaccia ne joue pas le rôle principal mais entre-temps j’apprécie la construction de ces policiers et n’importe le personnage qui est mis plus en évidence, l’histoire est toujours bien ficelée et intéressante.

Cette fois-ci on va quitter aussi un peu Florence pour faire connaissance des alentours et surtout des bergers sardes qui vivent dans les collines qui entourent la ville.

Pour l’instant pas envie de lire autre chose, j’entame avec la prochaine enquête…



Extrait de la lettre à l’auteur par Georges Simenon

"Quel plaisir de se promener en votre compagnie à travers les rues de Florence, avec leurs carabiniers, artisans, trattorias, et même leurs turbulents touristes. Tout est si vivant ; les bruits sont audibles, les odeurs aussi perceptibles que la légère brume matinale sur le cours alerte de l'Arno ; jusqu'aux collines basses, où les bergers sardes, leurs traditions et leur mode de vie quasi inchangé, sont tout aussi habilement dépeints. Que ne donnerait-on pas pour goûter à leur ricotta ! [...] C'est un roman à déguster, encore plus que ses deux prédécesseurs. C'est la première fois que je vois le thème du kidnapping traité de façon si simple et si plausible. [...] Bravissimo ! Vous avez tenu votre promesse au-delà de toute espérance. »