Kaho Nashiki
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domreader
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Kaho Nashiki

NASHIKI Kaho, née en 1959 à Kagoshima, dans le Kyûshû, écrit pour la jeunesse et pour les adultes.
Son intérêt pour l’histoire des religions, sa connaissance des plantes, son goût pour les voyages alimentent ses écrits, romans, essais, récits de voyage...
Elle a reçu de nombreux prix littéraires, notamment pour Nishi no majo ga shinda (La sorcière de l’est est morte) également adapté au cinéma.
Un album illustré dont elle a signé le texte, Le peintre, est paru en France (éditions nobi nobi !, 2014).
Source : Editeur
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George Gershwin
Re: Kaho Nashiki
Illustrations: Iku Dekune

Le peintre
Mais voilà qu’il peut y avoir parmi le lot quand même ici et là le livre qui fait la différence.
Celui-ci en fait certainement dès à présent partie de mes grands coups de cœur.
Un monde tout à fait à part, des illustrations qui sont au premier abord pas faites pour me séduire… mais cela se fait au cours de la lecture.
On voit défiler toute une vie devant les yeux, et c’est magique et extra…
Quel beau moment de lecture !



Le peintre
Je lis pas mal d’albums pour la jeunesse, pratiquement toujours c’est une réussite parce que j’adore ce genre de livres, les illustrations, les histoires… je sais, je suis très bon public pour ce monde.Présentation de l’éditeur
Shinya, jeune peintre en bâtiment, est apprenti. Il fait un double apprentissage, celui de la vie, sur les traces d'un père qu'il n'a pas connu, et celui des couleurs, dont la palette infinie exprime la gamme tout aussi complexe des sentiments.
Sur le bateau qui le mène à la recherche de la tombe de son père, une mystérieuse inconnue lui remet le pinceau de celui-ci, qui était peintre lui aussi. Un jour, il devra l'utiliser pour peindre ce bateau en blanc. Mais pas de n'importe quel blanc... du blanc d'Utrillo.
Tout au long de sa vie, ce pinceau inspirera Shinya dans sa quête du coloris juste, celui qui rendra les gens heureux.
Une histoire pleine de sensibilité et d'amour, aux illustrations poétiques et oniriques.
Mais voilà qu’il peut y avoir parmi le lot quand même ici et là le livre qui fait la différence.
Celui-ci en fait certainement dès à présent partie de mes grands coups de cœur.
Un monde tout à fait à part, des illustrations qui sont au premier abord pas faites pour me séduire… mais cela se fait au cours de la lecture.
On voit défiler toute une vie devant les yeux, et c’est magique et extra…
Quel beau moment de lecture !


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Re: Kaho Nashiki

Les mensonges de la mer
Si vous êtes à la recherche d’une lecture « zen », foncez !Présentation de l’éditeur
Au début des années 1930, un jeune chercheur en géographie humaine se rend dans une île isolée au sud de Kyûshû.
Une île petite et dense comme un bonsaï où, entre mer et montagne, il chemine dans la forêt de brume ou les villages accrochés aux pentes abruptes, attentif à la moindre rencontre, animaux, fleurs ou humains. Il cherche les ruines d’un immense monastère bouddhiste, recueille les croyances anciennes, mène de longues conversations avec un ancien marin retiré au milieu de la forêt. C’est un monde où le temps semble s’être arrêté, dont la sérénité est cependant rompue par les traces des violentes destructions qui l’ont jadis traversé.
Ce roman à l’écriture limpide nous transmet une forme de tranquillité, à la recherche de l’accord secret entre une terre et la vie qui l’anime, du lien spirituel qui nous unit à la nature et à la mémoire.
Si vous êtes à la recherche d’un livre qui parle de nature, foncez encore plus !
Et si par hasard vous aimez en plus quelques mythes et légendes japonais, c’est le pur plaisir qui vous attend entre ces pages.
J’avais par moment l’impression d’assister à une « méditation en lisant ».
C’est une écriture qui se prend du temps et qui donne une sérénité au lecteur.
Vous l’avez deviné, j’ai adoré ce livre.
Et ce n’est qu’en recherchant sa biographie pour ouvrir ce fil que j’ai découvert que j’avais déjà lu un texte de Kaho Nahiki. Même si dans Le peintre les illustrations sont au premier plan.
J’ai commandé ce livre après avoir lu la présentation de l’éditeur. Quand je l’ai reçu, il y avait ce bandeau :

Après quelques pages, j’ai compris ce qu’il voulait dire… et quel dommage qu’il n’a plus eu le temps de le faire. Ce texte se retrouve tout à fait dans la veine de son univers.
Peut-être que le nom de Jiro Taniguchi a influencé par après ma lecture… mais elle fût comblée, les mots de Kaho Nashiki se sont transformés en images du mangaka.
Grand coup de cœur !
premières pages

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Re: Kaho Nashiki
Oui, thème et images sont bien tentants.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3091
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Kaho Nashiki
je le sais, il y a déjà trop de pistes de lecture sur le forum, sinon je dirais: laisse-toi tenter 

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Re: Kaho Nashiki


A gauche, couverture de Naoya Hatakeyama, "Okushiri 12 juillet 2016" ; à droite, la couverture japonaise
Nous sommes au début des années 1930. Le narrateur, un jeune homme, vient de connaître des drames personnels : ses deux parents, ainsi que sa fiancée, sont décédés en peu de temps.
Pendant des vacances d'été, il se rend sur une île en forme d'hippocampe, au sud de Kyûshû : Osojima ("l'île lente"). On en trouve une carte avec légende à la fin du livre.
Plusieurs notes expliquent tous les termes peu connus du lecteur français."Dans le passé, avec le Shugendo, l'île avait connu un développement remarquable. Jusqu'à la première année de l'ère Meiji, en 1868, un important monastère y était installé. Sous l'influence des croyances liées aux divinités gongen, il avait prospéré pendant plusieurs siècles et, à son apogée, il comptait près d'une vingtaine de bâtiments, si bien qu'à cette époque il pouvait s'enorgueillir d'être appelé le mont Kôya de l'Ouest." (page 20).
Le narrateur appartient à "un département de géographie humaine" (page 11), dans lequel sont étudiées de nombreuses sciences : l'archéologie, la flore, le climat, l'histoire, le folklore... Il a commencé à s'intéresser à cette île en lisant le rapport du professeur qui dirigeait son laboratoire de recherche.
Les noms qu'il lit ou dont il entend parler excitent son imagination :
Il va explorer l'île, parcourir des montagnes, s'attacher à la faune et à la flore, et le lecteur aura souvent l'impression de faire de belles randonnées avec lui, dans une nature préservée et presque hors du temps."Gongengawa (rivière des dieux gongen), Taizosan (mont de la Matrice), Yakushidô (temple du Bouddha Guérisseur). [...] J'avais envie de me tenir dans un endroit maintenant silencieux mais où s'était passé quelque chose de décisif. Là où il me serait possible de sentir, ne fût-ce qu'un peu, le sens de la vie humaine ou ce que peut être le temps." (page 22).
Depuis une hauteur, le narrateur verra des mirages qui apparaissent au-dessus de la mer : les Umi-so, les mensonges de la mer qui donnent le titre au livre."C'était le lac. Il était bordé de roseaux. Comme pour me guider, une libellule des îles Ryûkû aux ailes ambrées voletait juste devant moi. Quand elle se posa sur une plante, je n'en crus pas mes yeux. Trois feuilles, comme une main, semblaient pointer quelque chose en l'air. La période de floraison était déjà loin, mais il ne pouvait s'agir de rien d'autre que d'un trèfle d'eau. Jamais je n'aurais pensé voir sur cette île cette plante censée avoir résisté à la période glaciaire." (page 49)
Il va rencontrer quelques habitants, approfondir sa connaissance de l'île, de son histoire parfois violente.
"Le gouvernement de Meiji a seulement déclaré l'interdiction de mélanger kamis et bouddhas, il n'a pas ordonné l'abolition du bouddhisme. Pour faire du shintô le fondement du régime, il voulait séparer les divinités shintoïstes et bouddhistes qui avaient été amalgamées par la théorie honjisuijaku et se débarrasser du syncrétisme entre les deux religions, mais les shintoïstes qui se sentaient humiliés depuis de longues années parce qu'ils étaient rejetés par les bouddhistes ont profité de la situation et agi d'une façon incontrôlable. [...]
Les autorités avaient absolument besoin de faire du shintoisme un élément fort de l'identité nationale. Pour affronter les pays étrangers qui, avec la religion chrétienne, faisaient pression sur lui, le gouvernement voulait disposer d'une religion forte, parfaitement défendable théoriquement. En réalité ce qu'il voulait éliminer, c'était autre chose que le bouddhisme. [...] Les croyances populaires. Sur cette île par exemple, les monomimi ont été leur première cible. [...] Dans ce pays, ce qu'on appelait le shintoïsme comportait un nombre infini de dieux, plus ou moins étranges. Mais pour renforcer les bases de la nation, il fallait que ce soient les divinités de la lignée impériale et les loyaux sujets morts pour la famille impériale qui soient vénérés, il fallait que le peuple japonais se dévoue entièrement à ces dieux officiellement reconnus comme une « légitime lignée ». Les autres divinités, on n'en avait pas besoin." (pages 66-67)
Les monomimi sont des médiums "qui soignent les maladies, cherchent les objets perdus, transmettent les messages des morts" (page 33). On entendra aussi parler des funadama - les esprits du bateau -, ainsi que des moines de la pluie : des marins qui ont fait naufrage les jours de tempête ; certains jours de pluie, ils arrivent par la mer, s'asseyent le long d'une véranda et pleurent très fort...
Après un début parfois un peu "théorique", s'installe progressivement une bonne atmosphère de mystère, entrevu mais pas percé, et une méditation sur le temps qui passe.
Très bien.
Mais cette île existe-t-elle vraiment ? Est-elle le double littéraire d'une île existante, et si oui, laquelle ? Je n'en sais rien.
eXPie- Messages : 727
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Kaho Nashiki
comme je suis contente de lire ton commentaire... il y a des livres auxquels on est plus attaché qu'aux autres... et celui-ci fait vraiment partie de mes coups de coeureXPie a écrit:Après un début parfois un peu "théorique", s'installe progressivement une bonne atmosphère de mystère, entrevu mais pas percé, et une méditation sur le temps qui passe.
Très bien.
je crois que j'avais fait une petite recherche lors de ma lecture, mais rien trouvéeXPie a écrit:Mais cette île existe-t-elle vraiment ? Est-elle le double littéraire d'une île existante, et si oui, laquelle ? Je n'en sais rien.
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Re: Kaho Nashiki
Les mensonges de la mer
Nous sommes dans les années 30 du siècle dernier. Un jeune chercheur de « géographie humaine » se rend dans une île hors du temps. Il est venu suite à des notes d’un professeur, qui avait aussi visité l’île. Il a des prétextes scientifiques à ses observations, mais il semble aussi chercher autre chose, se chercher, vouloir se reconstruire. Il va voir et essayer de comprendre un maximum de choses, faire des rencontres, dont celle d’un jeune villageois, Kajii, qui sera son guide dans un périple dans la nature, qui constitue l’acmé de son séjour dans l’île. Le narrateur aura l’occasion de revenir dans l’île une cinquantaine d’années après, pour se souvenir, et peut-être finir de boucler son voyage.
Difficile de parler de ce beau livre, fait de petits rien, de moments saisis au vol, comme cet oiseau marchant sur un sentier croisé inopinément. Le personnage principal rationalise, c’est un chercheur, il donne des noms aux choses, il prend des notes, mais avant tout il ressent, entre en empathie avec les gens, la nature, les souvenirs. Tente de trouver sa place, et de mettre de l’ordre dans sa vie, éprouvée par des deuils récents et douloureux, nous ne comprendrons qu’à la fin à quel point. Nous découvrons un monde maintenant disparu, des traditions en train de mourir, une mémoire en train de s’effacer, qui ne survivra plus que fixée dans des travaux scientifiques ou historiques, une nature antédiluvienne qui vit ses derniers moments.
Un très beau voyage, un moment doux et nostalgique.
Nous sommes dans les années 30 du siècle dernier. Un jeune chercheur de « géographie humaine » se rend dans une île hors du temps. Il est venu suite à des notes d’un professeur, qui avait aussi visité l’île. Il a des prétextes scientifiques à ses observations, mais il semble aussi chercher autre chose, se chercher, vouloir se reconstruire. Il va voir et essayer de comprendre un maximum de choses, faire des rencontres, dont celle d’un jeune villageois, Kajii, qui sera son guide dans un périple dans la nature, qui constitue l’acmé de son séjour dans l’île. Le narrateur aura l’occasion de revenir dans l’île une cinquantaine d’années après, pour se souvenir, et peut-être finir de boucler son voyage.
Difficile de parler de ce beau livre, fait de petits rien, de moments saisis au vol, comme cet oiseau marchant sur un sentier croisé inopinément. Le personnage principal rationalise, c’est un chercheur, il donne des noms aux choses, il prend des notes, mais avant tout il ressent, entre en empathie avec les gens, la nature, les souvenirs. Tente de trouver sa place, et de mettre de l’ordre dans sa vie, éprouvée par des deuils récents et douloureux, nous ne comprendrons qu’à la fin à quel point. Nous découvrons un monde maintenant disparu, des traditions en train de mourir, une mémoire en train de s’effacer, qui ne survivra plus que fixée dans des travaux scientifiques ou historiques, une nature antédiluvienne qui vit ses derniers moments.
Un très beau voyage, un moment doux et nostalgique.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4644
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Kaho Nashiki
je dois avouer, j'avais oublié ce fil... et ce livre... mais contente de voir ton commentaire...
cela me rappelle un bon moment de lecture

cela me rappelle un bon moment de lecture

Arabella a écrit:Un très beau voyage, un moment doux et nostalgique.

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George Gershwin
Re: Kaho Nashiki
L'été de la sorcière sort dans le 4 mars. Il a eu plusieurs prix de Littérature jeunesse et a apparemment été un best-seller au Japon.

Il a été adapté en film, Nishi no majo ga shinda, de Nagasaki Shunichi (2008), qui n'est franchement pas une réussite (je l'ai vu en version fansubbée, il n'est jamais sorti chez nous...) : il en fait trop dans la pseudo-joliesse pas subtile, je crois qu'on peut le percevoir dans la bande-annonce :
Je suppose que le livre est meilleur.

Picquier a écrit:La grand-mère de Mai mène une vie solide et calme dans la montagne au milieu des chênes et des noisetiers. Mai, 13 ans, ne veut plus retourner en cours, oppressée par l'angoisse et la souffrance intérieure, a été envoyée auprès d'elle pour se reposer. Cette grand-mère un peu sorcière va lui transmettre les secrets des plantes qui guérissent et les gestes bien ordonnés qui permettent de conjurer les émotions qui nous étreignent.
Ce n'est pas le paradis, même si la lumière y est si limpide, car la mort habite la vie et, en nous, se débattent des ombres comme la colère, le dégoût, la tristesse. Mais auprès de sa grand-mère, Mai apprendra à laisser derrière elle son mal-être pour faire confiance aux forces de la vie, et aussi aux petits miracles tout simples qui nous guident vers la lumière.
Il a été adapté en film, Nishi no majo ga shinda, de Nagasaki Shunichi (2008), qui n'est franchement pas une réussite (je l'ai vu en version fansubbée, il n'est jamais sorti chez nous...) : il en fait trop dans la pseudo-joliesse pas subtile, je crois qu'on peut le percevoir dans la bande-annonce :
Je suppose que le livre est meilleur.
eXPie- Messages : 727
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Kaho Nashiki
Voilà des lectures bien tentantes. 

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Lire nuit gravement à la bêtise !

Nightingale- Messages : 2348
Date d'inscription : 09/12/2017
Age : 54
Localisation : Sur le bord de la marge
Re: Kaho Nashiki
Reçu hier, justement, je me disais : tiens si je me replongeais dans un livre japonais ?
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6604
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : *CabanCouette*
Re: Kaho Nashiki

L'été de la sorcière
En voilà un de ces livres où j’aurais envie de ne mettre qu'un « j’ai bien aimé » et en rester là.Présentation de l’éditeur
On passe lentement un col et au bout de la route, dans la forêt, c'est là. La maison de la grand-mère de Mai, une vieille dame d'origine anglaise menant une vie solide et calme au milieu des érables et des bambous. Mai qui ne veut plus retourner en classe, oppressée par l'angoisse, a été envoyée auprès d'elle pour se reposer. Cette grand-mère un peu sorcière va lui transmettre les secrets des plantes qui guérissent et les gestes bien ordonnés qui permettent de conjurer les émotions qui nous étreignent. Cueillir des fraises des bois et en faire une confiture d'un rouge cramoisi, presque noir. Prendre soin des plantes du potager et aussi des fleurs sauvages simplement parce que leur existence resplendit. Écouter sa voix intérieure.
Ce n'est pas le paradis, même si la lumière y est si limpide, car la mort habite la vie et, en nous, se débattent les ombres de la colère, du dégoût, de la tristesse. Mais auprès de sa grand-mère, Mai apprendra à faire confiance aux forces de la vie, et aussi aux petits miracles tout simples qui nous guident vers la lumière.
Ce livre qui prend sa source dans les souvenirs d'enfance de l'écrivaine coule en nous comme une eau claire."
J'ai encore tout plein de souvenirs de ma première rencontre, du coup, je suis entrée dans cette novelle lecture avec une certaine joie anticipée.
Après les premières pages j’étais dans le doute de retrouver de la magie près de cette sorcière et finalement il m’a suffit de repenser aux souvenirs que je garde de ma propre grand-mère et cette histoire s’est transformée en un bon moment.
Ainsi je ne sais toujours pas ce que je pourrais en dire, le côté personnel a envahi tout jugement objectif.
Je dirais qu’il s’agit d’un bon livre pour partager quelques moments sereins aux côtés de ces deux femmes.
Et naturellement une mention spéciale pour la couverture dont Queenie a trouvé le nom de l’artiste :
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