Thé littéraire
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Re: Thé littéraire
A 13 heures, l'annonce du (de la ? des ?) Nobel en direct sur https://www.youtube.com/watch?v=j-6f1IPOm5c
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Thé littéraire
Louise Glück... Je ne connaissais pas...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Gl%C3%BCck
On ne trouve rien en français, j'ai l'impression, du coup c'est bien, on va avoir des traductions ! (alors, bien sûr, la poésie en traduction...)
Quelques poèmes en vo : https://www.newyorker.com/magazine/2008/03/31/march-5 ; https://www.newyorker.com/magazine/2008/08/04/before-the-storm (liste des poèmes de l'auteur publiés dans le New Yorker sur https://www.newyorker.com/contributors/louise-gluck )
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Gl%C3%BCck
On ne trouve rien en français, j'ai l'impression, du coup c'est bien, on va avoir des traductions ! (alors, bien sûr, la poésie en traduction...)
Quelques poèmes en vo : https://www.newyorker.com/magazine/2008/03/31/march-5 ; https://www.newyorker.com/magazine/2008/08/04/before-the-storm (liste des poèmes de l'auteur publiés dans le New Yorker sur https://www.newyorker.com/contributors/louise-gluck )
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Thé littéraire
eXPie a écrit:Louise Glück... Je ne connaissais pas...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Gl%C3%BCck
On ne trouve rien en français, j'ai l'impression, du coup c'est bien, on va avoir des traductions ! (alors, bien sûr, la poésie en traduction...)
Quelques poèmes en vo : https://www.newyorker.com/magazine/2008/03/31/march-5 ; https://www.newyorker.com/magazine/2008/08/04/before-the-storm (liste des poèmes de l'auteur publiés dans le New Yorker sur https://www.newyorker.com/contributors/louise-gluck )
Jamais entendu parler, mais si c'est de la poésie, c'est normal, je n'en lis pratiquement jamais. Donc je ne pense pas augmenter ma PAL avec Louise Gluck. En même temps, les autres noms avancés pour le Nobel, ne ma faisaient pas rêver non plus, alors...
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Thé littéraire
tout comme vous, jamais entendu le nom... et moi j'aime la poésie
j'approuve que tous les quelques années les Nobels choisissent aussi un poète comme lauréat
je vais aller voir son oeuvre de plus près...
je n'avais pas fait attention... sinon j'aurais capté son nom déjà en 2015 quand elle a rencontré Obama
j'approuve que tous les quelques années les Nobels choisissent aussi un poète comme lauréat
je vais aller voir son oeuvre de plus près...
je n'avais pas fait attention... sinon j'aurais capté son nom déjà en 2015 quand elle a rencontré Obama
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Re: Thé littéraire
J'adore son nom Louise Glück !
Je veux la lire !
Magnez vous de la traduite bande de feignasses !
Louise.
Glück !
On dirait une blague.
On dirait qu'elle a avalé de travers.
On dirait le nom d'une galaxie lointaine.
On dirait une humeur : J'suis toute Glück moi aujourd'hui !
Je veux la lire !
Magnez vous de la traduite bande de feignasses !
Louise.
Glück !
On dirait une blague.
On dirait qu'elle a avalé de travers.
On dirait le nom d'une galaxie lointaine.
On dirait une humeur : J'suis toute Glück moi aujourd'hui !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Thé littéraire
son nom lui a porté chance
- Spoiler:
- elle était trop facile celle-là, Glück est le mot allemand pour chance
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Re: Thé littéraire
AHahahah
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Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Thé littéraire
Un article intéressant sur Oliver Gallmeister et un scoop pour 2021 !!
Le jour où…« Jim Harrison m’a conduit à la pêche »
Avec ses couvertures chatoyantes marquées d’une empreinte de loup, la maison d’édition d’Olivier Gallmeister fleure bon les lointains horizons. Elles sont pourtant nées en France des amours littéraires d’un pêcheur à la mouche.
D’aussi loin qu’il s’en souvienne, Oliver Gallmeister a « toujours lu ». Enfant de lecteurs insatiables, il a « grandi parmi les livres » et bouquiné tous azimuts : Steinbeck, Proust, Fitzgerald, Tolstoï… Fils unique de parents divorcés, il vit alors seul avec sa mère à Paris, et passe toutes ses vacances en Corrèze. Il s’ennuie, « bien sûr ». Et trouve les compagnons d’une vie : la nature, où il crapahute toute la journée, et la lecture. La maison qui publie « l’Amérique grandeur nature » trouve ses racines en Corrèze.
À 20 ans, le jeune Oliver découvre Jim Harrison. « Une épiphanie ! », s’enthousiasme ce lecteur de La Croix. L’étudiant rencontre ce qu’il lui semble avoir toujours cherché : « Une littérature exigeante et grandiose qui parle de la nature. » Jim Harrison lui ouvre de grands espaces, et des horizons insoupçonnés. L’écrivain américain appâte ainsi son nouveau lecteur vers… la pêche à la mouche, qui devient l’une des passions d’Oliver Gallmeister. Comme le jeune homme est à la fois patient et curieux, la pêche est fructueuse : « J’ai d’abord acheté des manuels pratiques sur la pêche à la mouche, puis j’ai lu des récits de pêcheurs. » En anglais, puisque ces livres, comme ceux de John Gierach, n’existent pas en français à l’époque. Sexe, mort et pêche à la mouche ou Danse avec les truites sont désormais publiés chez Gallmeister.
Mais le jeune Oliver est encore loin d’imaginer qu’il créera un jour sa propre maison d’édition et se fera une place dans ce monde. À la fin de ses études de gestion, il a d’ailleurs échoué à y entrer. Pas le bon profil, ni les bonnes relations peut-être, dans un secteur où les places sont très chères. Alors il trace sa route vers la finance. Tout en suivant cette voie, il arpente l’immense territoire littéraire que lui a défriché Jim Harrison. John Gierach, Pete Fromm, John D. Voelker, Edward Abbey… Des textes ciselés où la nature n’est pas juste un décor, mais un élément central du récit. Comme dans sa vie à lui.
Pourtant, s’il a des livres plein la tête, Oliver Gallmeister consacre ses journées à manier des chiffres. Directeur financier dans un grand groupe, il y est « très malheureux ». Il ne parle jamais de son travail, mais peut discuter des heures de littérature, notamment de ces trouvailles américaines qu’on ne lit qu’en V.O. « J’étais en quête de sens, et pour moi, le sens de la vie était là. Dans cette ouverture au monde, l’aventure, le voyage… » Quand sa mère meurt à 59 ans, il a la trentaine et réalise à quel point la vie est courte : « Avec mon travail, je perdais dix heures par jour. J’étais à côté de ma vie. »
L’idée folle de créer une maison d’édition lui tourne dans la tête, et même lui tourne la tête ! Dans un sourire, il cite Mark Twain : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Oliver a le soutien de sa femme, de ses amis, et l’idée de publier en français ces auteurs méconnus dont on ne saurait se passer. Début 2005, il démissionne et, dans la foulée, crée sa maison d’édition. Il faut quitter Paris, vivre à cinq sur un salaire. Le pari est risqué. « Il m’a fallu un an pour oser dire que j’étais éditeur,se souvient le quinquagénaire. Il n’y a qu’en 2006, quand j’ai vu les premiers livres imprimés, que je me suis dit : ça y est ! »
L’esprit de la maison s’exprime dès les premières parutions : Vingt-cinq ans de solitude (1) de John Haines, « un trappeur-poète en Alaska », et Le Gang de la clef à molette d’Edward Abbey, « une poursuite foutraque dans le désert ». « Tout est là en germe, contemplatif et violent », résume l’éditeur. La petite maison s’est bâtie sur le terrain du « nature writing », récits explorant l’immensité américaine. Un genre ignoré, voire méprisé en France. « Il a parfois fallu expliquer que ce n’était pas des titres pour le rayon jardinage ! » Le catalogue s’étoffe suivant toujours les coups de cœur du fondateur. D’abord récits et romans sur l’Ouest américain, puis littérature américaine. Et, à partir de 2021, révèle-t-il, littérature du monde : « C’est un scoop ! Des romans italiens, allemands, danois, suédois… qui parleront toujours d’aventure, de dépaysement, de rêve… » Façonné par les livres, Oliver Gallmeister a trouvé sa « mission » : découvrir des pépites et les mettre entre les mains des lecteurs, puisque « la littérature a le pouvoir de changer le monde ».
(1) Bientôt en poche sous son titre original : Les Étoiles, la neige, le feu.
Sept titres incontournables :
- Indian Creek, de Pete Fromm : le récit plein d’humour de sept mois solitaires dans les Rocheuses.
- Le Gang de la clef à molette, d’Edward Abbey : la cavale de quatre insoumis férus d’écosabotage.
- Shibumi, de Trevanian : un roman d’espionnage inclassable et plein de second degré.
- Sukkwan Island, de David Vann : un huis-clos asphyxiant en Alaska, prix Médicis 2010.
- My Absolute Darling, de Gabriel Tallent : le plus grand succès de Gallmeister à ce jour, un livre perturbant « dont personne ne voulait ».
- Dans la forêt, de Jean Hegland : un puissant roman d’apprentissage en pleine nature.
- Betty, de Tiffany McDaniel : une plongée dans les mystères de l’enfance et la perte de l’innocence, prix du roman Fnac 2020 et prix America du meilleur roman 2020.
Aziliz Claquin (La Croix du 11 Octobre 2020)
Le jour où…« Jim Harrison m’a conduit à la pêche »
Avec ses couvertures chatoyantes marquées d’une empreinte de loup, la maison d’édition d’Olivier Gallmeister fleure bon les lointains horizons. Elles sont pourtant nées en France des amours littéraires d’un pêcheur à la mouche.
D’aussi loin qu’il s’en souvienne, Oliver Gallmeister a « toujours lu ». Enfant de lecteurs insatiables, il a « grandi parmi les livres » et bouquiné tous azimuts : Steinbeck, Proust, Fitzgerald, Tolstoï… Fils unique de parents divorcés, il vit alors seul avec sa mère à Paris, et passe toutes ses vacances en Corrèze. Il s’ennuie, « bien sûr ». Et trouve les compagnons d’une vie : la nature, où il crapahute toute la journée, et la lecture. La maison qui publie « l’Amérique grandeur nature » trouve ses racines en Corrèze.
À 20 ans, le jeune Oliver découvre Jim Harrison. « Une épiphanie ! », s’enthousiasme ce lecteur de La Croix. L’étudiant rencontre ce qu’il lui semble avoir toujours cherché : « Une littérature exigeante et grandiose qui parle de la nature. » Jim Harrison lui ouvre de grands espaces, et des horizons insoupçonnés. L’écrivain américain appâte ainsi son nouveau lecteur vers… la pêche à la mouche, qui devient l’une des passions d’Oliver Gallmeister. Comme le jeune homme est à la fois patient et curieux, la pêche est fructueuse : « J’ai d’abord acheté des manuels pratiques sur la pêche à la mouche, puis j’ai lu des récits de pêcheurs. » En anglais, puisque ces livres, comme ceux de John Gierach, n’existent pas en français à l’époque. Sexe, mort et pêche à la mouche ou Danse avec les truites sont désormais publiés chez Gallmeister.
Mais le jeune Oliver est encore loin d’imaginer qu’il créera un jour sa propre maison d’édition et se fera une place dans ce monde. À la fin de ses études de gestion, il a d’ailleurs échoué à y entrer. Pas le bon profil, ni les bonnes relations peut-être, dans un secteur où les places sont très chères. Alors il trace sa route vers la finance. Tout en suivant cette voie, il arpente l’immense territoire littéraire que lui a défriché Jim Harrison. John Gierach, Pete Fromm, John D. Voelker, Edward Abbey… Des textes ciselés où la nature n’est pas juste un décor, mais un élément central du récit. Comme dans sa vie à lui.
Pourtant, s’il a des livres plein la tête, Oliver Gallmeister consacre ses journées à manier des chiffres. Directeur financier dans un grand groupe, il y est « très malheureux ». Il ne parle jamais de son travail, mais peut discuter des heures de littérature, notamment de ces trouvailles américaines qu’on ne lit qu’en V.O. « J’étais en quête de sens, et pour moi, le sens de la vie était là. Dans cette ouverture au monde, l’aventure, le voyage… » Quand sa mère meurt à 59 ans, il a la trentaine et réalise à quel point la vie est courte : « Avec mon travail, je perdais dix heures par jour. J’étais à côté de ma vie. »
L’idée folle de créer une maison d’édition lui tourne dans la tête, et même lui tourne la tête ! Dans un sourire, il cite Mark Twain : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Oliver a le soutien de sa femme, de ses amis, et l’idée de publier en français ces auteurs méconnus dont on ne saurait se passer. Début 2005, il démissionne et, dans la foulée, crée sa maison d’édition. Il faut quitter Paris, vivre à cinq sur un salaire. Le pari est risqué. « Il m’a fallu un an pour oser dire que j’étais éditeur,se souvient le quinquagénaire. Il n’y a qu’en 2006, quand j’ai vu les premiers livres imprimés, que je me suis dit : ça y est ! »
L’esprit de la maison s’exprime dès les premières parutions : Vingt-cinq ans de solitude (1) de John Haines, « un trappeur-poète en Alaska », et Le Gang de la clef à molette d’Edward Abbey, « une poursuite foutraque dans le désert ». « Tout est là en germe, contemplatif et violent », résume l’éditeur. La petite maison s’est bâtie sur le terrain du « nature writing », récits explorant l’immensité américaine. Un genre ignoré, voire méprisé en France. « Il a parfois fallu expliquer que ce n’était pas des titres pour le rayon jardinage ! » Le catalogue s’étoffe suivant toujours les coups de cœur du fondateur. D’abord récits et romans sur l’Ouest américain, puis littérature américaine. Et, à partir de 2021, révèle-t-il, littérature du monde : « C’est un scoop ! Des romans italiens, allemands, danois, suédois… qui parleront toujours d’aventure, de dépaysement, de rêve… » Façonné par les livres, Oliver Gallmeister a trouvé sa « mission » : découvrir des pépites et les mettre entre les mains des lecteurs, puisque « la littérature a le pouvoir de changer le monde ».
(1) Bientôt en poche sous son titre original : Les Étoiles, la neige, le feu.
Sept titres incontournables :
- Indian Creek, de Pete Fromm : le récit plein d’humour de sept mois solitaires dans les Rocheuses.
- Le Gang de la clef à molette, d’Edward Abbey : la cavale de quatre insoumis férus d’écosabotage.
- Shibumi, de Trevanian : un roman d’espionnage inclassable et plein de second degré.
- Sukkwan Island, de David Vann : un huis-clos asphyxiant en Alaska, prix Médicis 2010.
- My Absolute Darling, de Gabriel Tallent : le plus grand succès de Gallmeister à ce jour, un livre perturbant « dont personne ne voulait ».
- Dans la forêt, de Jean Hegland : un puissant roman d’apprentissage en pleine nature.
- Betty, de Tiffany McDaniel : une plongée dans les mystères de l’enfance et la perte de l’innocence, prix du roman Fnac 2020 et prix America du meilleur roman 2020.
Aziliz Claquin (La Croix du 11 Octobre 2020)
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 4305
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Thé littéraire
merci pour cet article... et je vais peut-être enfin aussi devenir une lectrice Gallmeister avec ce scoop
puisqu'il n'a publié pour l'instant que des auteurs anglophones, je les lis en anglais, mais là, je serais curieuse de son choix d'auteursLiseron a écrit:Et, à partir de 2021, révèle-t-il, littérature du monde : « C’est un scoop ! Des romans italiens, allemands, danois, suédois… qui parleront toujours d’aventure, de dépaysement, de rêve… »
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Re: Thé littéraire
Enfin, il commence à en parler !
Il nous fait le teasing depuis des mois.
J'ai discuté avec celle qui s'est occupée de dénicher les auteur·e·s, elle avait une pression de dingue (trouver le public, ne pas décevoir le public Gallmeister...). Mais c'était hyper intéressant notre échange, je pense qu'il va y avoir des pépites !
Il nous fait le teasing depuis des mois.
J'ai discuté avec celle qui s'est occupée de dénicher les auteur·e·s, elle avait une pression de dingue (trouver le public, ne pas décevoir le public Gallmeister...). Mais c'était hyper intéressant notre échange, je pense qu'il va y avoir des pépites !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Thé littéraire
Queenie a écrit:Enfin, il commence à en parler !
Il nous fait le teasing depuis des mois.
J'ai discuté avec celle qui s'est occupée de dénicher les auteur·e·s, elle avait une pression de dingue (trouver le public, ne pas décevoir le public Gallmeister...). Mais c'était hyper intéressant notre échange, je pense qu'il va y avoir des pépites !
Petite cachottière ! Hâte de découvrir ces nouveaux titres
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Liseron- Messages : 4305
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Thé littéraire
Les prix Médicis :
source : https://www.franceculture.fr/litterature/chloe-delaume-remporte-le-prix-medicis-2020-pour-le-coeur-synthetiqueChloé Delaume remporte le Prix Médicis 2020 pour "Le Cœur synthétique"
[...]
Le Prix Médicis du roman étranger à Antonio Muñoz Molina pour Un promeneur solitaire dans la foule
[...]
Le Prix Médicis de l'essai à Karl Ove Knausgaard. Fin de combat est le sixième et dernier volet de son immense cycle autobiographique Mon combat.
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Thé littéraire
contente pour lui, il se trouve tout en haut de ma PALeXPie a écrit:Le Prix Médicis du roman étranger à Antonio Muñoz Molina pour Un promeneur solitaire dans la foule
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George Gershwin
Re: Thé littéraire
Je ne sais pas s'il faut en rire ou s'inquiéter, mais Amazon sur sa page consacrée aux livres appelle à soutenir les librairies indépendantes...
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Thé littéraire
Arabella a écrit:Je ne sais pas s'il faut en rire ou s'inquiéter, mais Amazon sur sa page consacrée aux livres appelle à soutenir les librairies indépendantes...
Ah oui, il y a un article sur Actualitte qui en parle : "Quand Amazon France prend les libraires pour des cons" sur https://actualitte.com/article/monde-edition/quand-amazon-france-prend-les-libraires-pour-des-cons/103638
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Page 25 sur 30 • 1 ... 14 ... 24, 25, 26 ... 30
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