Tupelo Hassman

par **kenavo** Dim 17 Déc - 5:37

Tupelo Hassman est diplômée du MFA Program de Columbia.

Elle a publié de nombreux écrits dans divers magazines et revues, parmi lesquels The Boston Globe, Harper's Bazar, The Independent, Portland Review Literary Journal, Paper Street Press, Tantalum, We Still Like et ZYZZYVA, ainsi que par 100 Word Story, FiveChapters.com et Invisible City Audio Tours.

Pour La fille, son premier roman, elle a reçu le Alex Award de l'année 2013.

Tupelo Hassman vit à Los Angeles.

Source : Editeur

son site

par **kenavo** Dim 17 Déc - 5:37

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girlchild / La fille

Présentation de l’éditeur
" La Calle ", un trailer park miteux à Reno, Nevada. C'est là que Rory Dawn Hendrix vit avec sa mère, barmaid au Truck Stop. Chèques d'allocations, services sociaux, familles éclatées, alcool : son existence vulnérable semble jouée d'avance. Mais pour cette fillette hardie, prodige en orthographe, le Manuel de la parfaite scoute pourrait bien faire des miracles...
Porté par une construction brillante, La Fille raconte avec une poésie inattendue l'Amérique white trash et ses destins précaires. Un premier roman aussi stupéfiant que bouleversant.

" On n'oubliera pas de sitôt Rory, Zazie paumée dans Reno (...) Une incontestable réussite. "
Livres Hebdo

J’ai visité le Nevada avant d’entreprendre mon voyage parmi les différents états des États-Unis (entre autre en compagnie d’Arthur Miller et de son Misfits). Mais je voulais en refaire un séjour et quoi de mieux de le faire à travers un phénomène assez typiquement américain : les trailer parks.

Le portrait de l’Amérique "white trash" que Tupelo Hassman fait, est vraiment extra. Cette fille de quinze ans est tout à fait convaincante et son récit est assez cru, même si l’auteur cache les faits les plus horribles dans des allusions plus floues.

Un roman réaliste qui montre un côté de ce pays à travers les yeux de ceux qui sont aux bords de la société.

par Nightingale Dim 17 Déc - 10:24

Voilà qui parait très intéressant. Je retiens cette jeune auteur et ce premier roman. Wink

Par contre, si je peux me permettre, je pense que tu as mal choisi la photo d'illustration. Ici, c'est une aire pour camping-car de luxe, destinées aux touristes aisés.
Les trailer-parks évoqués dans le roman sont plutôt ces zones résidentielles où viennent s'entasser les plus pauvres de l'Amérique, souvent ceux qui ont tout perdu. C'est d'ailleurs un juteux marché pour les propriétaires de ces lieux et des mobile-homes loués.
Wink

par **kenavo** Lun 18 Déc - 3:49

Nightingale a écrit:Par contre, si je peux me permettre, je pense que tu as mal choisi la photo d'illustration. Ici, c'est une aire pour camping-car de luxe, destinées aux touristes aisés.

tu as vu tout juste... mais je n'ai pas trouvé une photo qui m'a convaincu pour montrer ces aspects dont Tupelo Hassman a parlé... j'ai retiré celle que j'avais choisi, cela ne faisait en effet pas de sens Wink

par Aeriale Lun 18 Déc - 9:17

Je retiens l'expression, Trailer parks. Et l'atmosphère générale du roman me plairait, j'en suis sûre.

Cela devrait correspondre à ce genre de vues?
Tupelo Hassman 1_vuaj10

par domreader Lun 18 Déc - 19:17

On retient le titre, le thème me plaît bien.

par **kenavo** Mar 19 Déc - 6:39

lors d'une de mes lectures récentes, Voyage avec Charley, John Steinbeck parlait déjà en 1960 de ce phénomène des Trailer Parks (ta photo montre en effet un peu cette réalité Aériale)
la ville dans laquelle les gens s'installent ne peut pas demander des impôts quand il s'agit de "maisons mobiles", mais les frais sont bien là (aménagement d'un système eau/électricité/déchêts...), dès les débuts, les villes n'étaient pas contentes de voir s'implanter autant de gens sur leur terrain...

par Epi Dim 24 Déc - 10:49

Ca me dit bien, je le note.

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