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Kenavo a écrit:

Céline a écrit:Le film est sorti en 1981 apparemment. Cette histoire m'intrigue car il est bien loin le temps où c'étaient  les profs qui menaient la vie dure aux élèves. 

oui, cela colle... je me rappelle si bien de ce film puisque j'avais à peu près l'âge du héros lors du moment que je l'ai vu... et même si mon prof de math était plus gentil, je détestais ce sujet

Céline a écrit:
Kosztolanyi me tenterait bien!

Arabella a écrit:
Hajnoczy pas encore, mais je vais l'inscrire sur ma LAL. Je ne sais pas si je dois te remercier, compte tenu de la longueur de la site LAL.

Céline a écrit:Encore une autre tentation:

silou a écrit: Vollà qui m'intrigue. Et hop, prochaine suggestion d'achat à la médiathèque, comme les achats reprennent en janvier et qu'en général il ne me refuse pas un petit bouquin qui vient de sortir ..
Merci Céline

silou a écrit:

Céline a écrit:Encore une autre tentation:

 Vollà qui m'intrigue. Et hop, prochaine suggestion d'achat à la médiathèque, comme les achats reprennent en janvier et qu'en général il ne me refuse pas un petit bouquin qui vient de sortir ..
Merci Céline

L'Editeur a écrit:C'est un texte qui exprime, pour le public occidental, cette esthétique du clair-obscur et du presque rien, du subtil et de l’ambigu, opposée au tout blanc ou noir, au facial écrasé de lumière rationaliste de l’Occident. La traduction des années 1970 toute au louable projet de légitimer le goût de l’esthétique japonaise, avait un peu laissé dans l’ombre sa face scintillante et ironique. Tout comme il n’y a pas d’ombre sans lumière, il n’y a pas de vérité sérieuse sans humour. Et vous pouvez faire confiance à Tanizaki quand il s’agit de marcher sur le fil de la vulgarité sans tomber dedans, comme de scruter l’ombre sans se cogner la tête. Les idées défendues dans cet essai rejoignent des préoccupations contemporaines de recherche d’une vie plus frugale et parcimonieuse en énergie.