Vincent Almendros

Vincent Almendros, né en 1978 à Avignon, est un romancier français.


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Un été

4e de couverture
Jean, mon frère, venait d'acheter un voilier et m'invitait à passer quelques jours en mer. Je n'étais pas certain que ce soit une bonne idée que nous partions en vacances ensemble. Quand je dis "nous", je ne pensais pas à Jean. Je pensais à Jeanne. A Jeanne et moi.

Remarqué lors de sa sortie, mais c'est un commentaire de Jérôme Garcin qui m'a donné envie de tenter l'aventure

Petit livre, grande sensation. Ou, si vous préférez, «Un été» pour l’hiver. Parmi les 353 romans français de cette nouvelle rentrée littéraire, il ne faut pas manquer, en effet, le deuxième de Vincent Almendros.
Cet auteur de 36 ans réussit la prouesse, en eaux troubles et en 96 pages, de tenir à la fois une histoire d’amour, un thriller marin, un récit de la fraternité et un huis clos à ciel ouvert. Les trois sont ambigus et le mystère ne se lève, cruel et ricanant, qu’à la toute dernière page.

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Ce livre est vraiment un délicieux moment, à déguster sans modération.

En effet, les 96 pages se ‘mangent’ vite, tout comme Queenie l’a dit pour Aki Shimazaki, un petit chocolat qui est dévoré en un instant.

Mais ici il ne s’agit pas de chocolat, oh non… plutôt un petit bonbon dont on ne sait pas ce qu’il contient à l’intérieur – du sucré ou quelque chose d’acide…

En tous cas félicitations pour l’auteur de garder son lecteur pendant ces pages en permanence sous tension… et la chute est vraiment trop bonne !

Faire mouche

Présentation de l’éditeur
À défaut de pouvoir se détériorer, mes rapports s’étaient considérablement distendus avec ma famille. Or, cet été-là, ma cousine se mariait. J’allais donc revenir à Saint-Fourneau. Et les revoir. Tous. Enfin, ceux qui restaient.
Mais soyons honnête, le problème n’était pas là.

Tout comme pour Un été, il s’agit d’un livre assez court qui sait tenir son lecteur dans une sorte de tension tout au long de sa lecture.

On sent dès le début que l’auteur n’avait pas l’intention de décrire cette réunion de famille comme un memento nostalgique.

Il doit y avoir plus… oui, mais quoi ? Quoi ??

Et comme pour Un été, la chute ne vient que sur la dernière page et donne une force extraordinaire à tout ce texte.

Une fois de plus je suis sous le charme et j’ai adoré énormément.

Faut avoir une prédilection pour ces auteurs « minimalistes » (qui se retrouvent pratiquement tous chez la maison d’édition de Minuit). Si on adhère à ce genre de roman, c’est un vrai plaisir.

J'ai beaucoup aimé ce petit  livre également.  
Un auteur à  suivre .

oooh, trop contente de te lire...
si tu as aimé son dernier, tu pourrais aussi tenter Un été, dans la même veine, un petit bonbon à déguster sans modération

C'est bien mon intention de lire Un été. 
Je ne vais rien rater de lui.