Helga Weissová
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Helga Weissová
Helga Weissová est née à Prague en 1929.
À l'âge de neuf ans, elle est déportée avec toute sa famille.
De retour à Prague avec sa mère, elle entre à l'académie des Beaux-Arts et devient une artiste renommée.
Helga Weissová-Hosková a deux enfants, trois petits-enfants, et vit toujours dans l'appartement où elle a vu le jour.
Source : Editeur
Re: Helga Weissová
Le journal d’Helga
Présentation de l’éditeur
Un témoignage exceptionnel : le seul journal connu à ce jour tenu par une jeune fille pendant sa déportation aux camps de Terezin, d'Auschwitz et de Mauthausen, miraculeusement conservé par l'auteur, toujours vivante. Un journal illustré, qui restitue, par des dessins aussi naïfs que directs, ce que pouvait être la vie – ou la survie – d'une fillette dans les camps de la mort. Aussi bouleversant que passionnant, un document extraordinaire.
Helga a huit ans quand elle ouvre la première page de son journal. Nous sommes en 1938 et les nazis ont envahi Prague ; les écoles sont fermées, le père a perdu son travail et toute la famille est confinée dans l'appartement. Un à un, les amis et les proches disparaissent, les déportations commencent.
En 1941, Helga et ses parents sont envoyés à Terezín, ils y resteront trois ans. Et Helga raconte : les voyages interminables dans des conditions inhumaines, la faim, les maladies, la souffrance ; mais aussi l'amitié, les petits moments de joie, l'espoir. Et puis ce sera l'horreur à Mauthausen et Auschwitz. Et Helga écrit et dessine encore et encore pour obéir à la prière de son père : « Dessine ce que tu vois. »
Helga ne reverra jamais son père, mais elle et sa mère survivront. À la fin de son journal, Helga a quinze ans. Elle fait partie de la petite centaine d'enfants rescapés sur plus de quinze mille déportés.
Le bonhomme de neige, décembre 1941
Mon premier dessin réalisé à Terezin. Je l’ai envoyé en secret à mon père, dans la caserne des hommes, et il m’a répondu : « Dessine ce que tu vois ».
Après Antoine Choplin et Josef Bor, voilà une troisième lecture au sujet de Terzin.
Et cela m’a autant perturbé que les autres. Remuée, touchée, on ne peut pas rester de glace devant ce récit.
Peut-être encore plus puisque c’est un enfant/jeune adolescente, qui nous fait part de ses expériences.
Les faits, je pense qu’on les connaît tous, ne vont pas changer, mais je crois que cela reste important de lire de tels livres.
En tout cas pour moi ce livre fût une importante découverte…
images de Terezin
Dans les baraques d’Auschwitz (1945-1946)
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George Gershwin
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