Allison Hoover Bartlett
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Allison Hoover Bartlett
Allison Hoover Bartlett est une journaliste américaine.
Elle découvre le monde secret du livre ancien le jour où un ami lui confie un exemplaire d’un herbier du XVIIème siècle. Intriguée, elle choisit de se frayer un chemin dans ce milieu mystérieux et très masculin.
Elle écrit entre autres pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle Magazine.
L’article à l’origine de ce livre a été repris dans l’anthologie The Best American Crime Reporting 2007.
Source : Editeur
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Best when you improvise
George Gershwin
Re: Allison Hoover Bartlett
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The Man Who Loved Books Too Much / L'Homme qui aimait trop les livres
Livre découvert à cause de ce commentaire.
Intéressée par le sujet, même si je ne vais jamais comprendre la fascination pour des anciens livres/premières éditions etc., je voulais certainement découvrir cet épisode à part.
Allison Hoover Bartlett a le don de faire de cette histoire rocambolesque un vrai tourne-page.
Parfois on a de la peine à croire ce qu’on lit (surtout le raisonnement de John Gilkey est plus qu’à part) et par moment on se croit dans un policier.
En tout cas c’est fascinant.
J’ai adoré ce voyage à travers le monde des anciens livres… extraordinaire.
Ken Sanders, le biblioflic
« Have you ever taken a book from the library?” I asked,
Gilkey looked incredulous. “No,” he said. “That would be stealing.”
«Avez-vous déjà pris un livre de la bibliothèque?» demandai-je.
Gilkey avait l'air incrédule. «Non, dit-il. "Ce serait voler."
Le magasin de Ken Sanders
The Man Who Loved Books Too Much / L'Homme qui aimait trop les livres
Présentation de l’éditeur
Jusqu’où iriez-vous pour mettre la main sur le livre de vos rêves ? Mieux encore, jusqu’où iriez-vous pour avoir une pleine bibliothèque remplie de vos livres préférés ?
John Gilkey a dérobé pour plus de 100 000 dollars de livres anciens. Son but : réunir une collection de livres rares à son image. Dès lors, comment attraper un voleur qui ne subtilise des livres que pour compléter sa bibliothèque personnelle ?
C'était sans compter sur la ténacité de Ken Sanders, libraire de livres ancien irascible, qui se surnomme lui-même biblioflic. S’ensuit une traque de plusieurs années entre un voleur obsessionnel et un libraire obstiné prêt à bondir au moindre faux-pas.
Le récit d'une traque qui nous plonge dans l'univers trop peu connu des livres anciens.
Livre découvert à cause de ce commentaire.
Intéressée par le sujet, même si je ne vais jamais comprendre la fascination pour des anciens livres/premières éditions etc., je voulais certainement découvrir cet épisode à part.
Allison Hoover Bartlett a le don de faire de cette histoire rocambolesque un vrai tourne-page.
Parfois on a de la peine à croire ce qu’on lit (surtout le raisonnement de John Gilkey est plus qu’à part) et par moment on se croit dans un policier.
En tout cas c’est fascinant.
J’ai adoré ce voyage à travers le monde des anciens livres… extraordinaire.
Ken Sanders, le biblioflic
« Have you ever taken a book from the library?” I asked,
Gilkey looked incredulous. “No,” he said. “That would be stealing.”
«Avez-vous déjà pris un livre de la bibliothèque?» demandai-je.
Gilkey avait l'air incrédule. «Non, dit-il. "Ce serait voler."
Le magasin de Ken Sanders
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George Gershwin
Re: Allison Hoover Bartlett
Comme toi, @Kenavo, j'ai du mal à comprendre la fascination pour les livres anciens...A la limite pour les éditions dans lesquelles j'ai lu un livre, qui m'ont fait rêver, qui me rappellent des souvenirs. Ou alors des livres que je trouve beaux, qui sont une vraie invitation au voyage. Mais tout cela indépendamment de leur valeur. Cela dit, cela ne peut pas faire de mal, de mythifier des livres.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4799
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Allison Hoover Bartlett
tout à fait d'accord... mais de mythifier jusqu'à payer 10.000$, voire plus, pour une première édition... nonArabella a écrit:Cela dit, cela ne peut pas faire de mal, de mythifier des livres.
dans ce cas, je suis très pragmatique, autant que j'aime les livres, s'il s'agit d'un "simple" texte, on peut aussi me le présenter sous forme électronique, pas besoin d'une première édition (surtout qu'il faut noter que la plupart de ces fanatiques des livres rares et anciens ne sont même pas des lecteurs, seulement des collectionneurs!)
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