Emily Carroll
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Emily Carroll
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7112
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
speak
SPEAK
Adapté du livre de Laurie Halse Anderson
Melinda entre au lycée, repliée sur elle-même, elle parle peu aux autres, et essaye de surpasser un événement traumatisant lui étant arrivé l'été dernier. Sur lequel elle ne peut mettre de mots. Qu'elle ne peut affronter.
Elle se sent seule, isolée. Sa meilleure amie du collège ne lui parle plus, depuis la fête où Melinda a appelé les flics, et a "tout gâché".
Elle sèche souvent les cours. Et s'isole dès qu'elle le peut dans l'ancienne remise de l'entretien du lycée, tel un lapin dans son terrier.
Seul cours qu'elle ne lâche pas, celui d'arts plastiques. Un projet : dessiné un arbre.
Évidemment, dès le début on devine l'Horrible qui est arrivé à Melinda - le viol. Lors de cette fête, où elle a eu la force d'appeler la police, mais où aucun mot n'est sorti de sa bouche pour révéler ce qui lui était arrivé.
Cette BD parvient magnifiquement, grâce à un noir et blanc évident, expressif, et enveloppant, à véhiculer les émotions et le mal être de l'adolescente.
Sa peur, son envie de se cacher, sa culpabilité, ses envies de hurler, son besoin d'attention, de tendresse.
Une BD aux allures de journal intime tenue par Melinda, le lecteur se retrouvant être le seul à qui elle se confie - tout comme à son poster de Maya Angelou au regard bienveillant. Un journal où elle s'exprime, où peu à peu les mots prennent forme.
Intense.
Adapté du livre de Laurie Halse Anderson
Melinda entre au lycée, repliée sur elle-même, elle parle peu aux autres, et essaye de surpasser un événement traumatisant lui étant arrivé l'été dernier. Sur lequel elle ne peut mettre de mots. Qu'elle ne peut affronter.
Elle se sent seule, isolée. Sa meilleure amie du collège ne lui parle plus, depuis la fête où Melinda a appelé les flics, et a "tout gâché".
Elle sèche souvent les cours. Et s'isole dès qu'elle le peut dans l'ancienne remise de l'entretien du lycée, tel un lapin dans son terrier.
Seul cours qu'elle ne lâche pas, celui d'arts plastiques. Un projet : dessiné un arbre.
Évidemment, dès le début on devine l'Horrible qui est arrivé à Melinda - le viol. Lors de cette fête, où elle a eu la force d'appeler la police, mais où aucun mot n'est sorti de sa bouche pour révéler ce qui lui était arrivé.
Cette BD parvient magnifiquement, grâce à un noir et blanc évident, expressif, et enveloppant, à véhiculer les émotions et le mal être de l'adolescente.
Sa peur, son envie de se cacher, sa culpabilité, ses envies de hurler, son besoin d'attention, de tendresse.
Une BD aux allures de journal intime tenue par Melinda, le lecteur se retrouvant être le seul à qui elle se confie - tout comme à son poster de Maya Angelou au regard bienveillant. Un journal où elle s'exprime, où peu à peu les mots prennent forme.
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