Marco Vichi

Je crois que ça me plairait bien ce policier..... un jour peut être.

kenavo a écrit:il est vraiment trop sympa... et c'est dommage qu'il n'y ait pas plus de traductions de cette série disponible... on peut toujours espérer

Je sens que Kena va réussir à me lancer dans le dépoussiérage de mon italien !

domreader a écrit:Je crois que ça me plairait bien ce policier..... un jour peut être.

je te souhaite de passer un aussi bon temps avec commissaire Bordelli que moi quand tu vas avoir du temps pour lui

silou a écrit:Je sens que Kena va réussir à me lancer dans le dépoussiérage de mon italien !

mes études de cette langue n'étaient pas assez longues et intensives pour suivre une telle lecture... mais j'ai déjà eu des moments à regretter que je n'ai pas insisité pour apprendre plus que "la base" de cette lanuge... cela m'aurait en tout cas fait plaisir de continuer avec cet auteur dans sa langue... ce sera pour une autre vie

Ghosts of the Past

Présentation de l’éditeur
Florence, 1967. It is winter, and one year has passed since the historic and devastating flood of the Arno, though the memories of that day still linger with the stains on the city walls.
The anniversary of the flood brings with it a new case for Inspector Bordelli, who is weighed down with remorse for having taken justice into his own hands, and yearning for Eleonora, the woman he's lost, when the mystery opens. A local wealthy industrialist - fiercely loved and respected by everyone he knew - has been found murdered in his grand villa in the Fiesole hills, and the killer has left no trace.
With no obvious leads to follow, Bordelli is patiently retracing the victim's last days when he encounters an old friend from the war. Inviting the frail man into his home with the aim of restoring him to strength with good food and wine, Bordelli is yet to realize that this very friend will lead him ever closer to the secrets at the heart of the mystery - starting with a mysterious woman . . .

En voilà le dernier de cette série qui est (pour l’instant) traduit en anglais… et ce ne sera pas facile de quitter mon cher inspecteur Bordelli, au contraire, cela va faire mal  

Marco Vichi est en train de « s’envoler » aux côtés de son héros. Le premier volet autour de l’enquêteur a 240 pages… pour ce dernier, on est à 500.

Je ne me plains pas, j’aime beaucoup l’écriture et sa façon de raconter ses histoires. C’est beaucoup de «tout et de rien» et je me laisse emporter par son flot de paroles.

Tout comme pour les autres livres, l’enquête pour retrouver le meurtrier est en fait secondaire. Plus important pour l’auteur semble être les descriptions de la vie de son héros. Rencontrer ses amis, cuisiner, manger, boire, fumer (heureusement avec chaque épisode de moins en moins), rencontrer (ou plus souvent rêver) de femmes… bref, tout mais ne pas trop parler de l’enquête. Bien qu’il arrive quand même toujours à la fin de trouver le coupable.

Vous me connaissez, j’aime bien m’enthousiasmer pour les inspecteurs qui mènent l’enquête

Je peux dire honnêtement que ce n’est pas le cas pour Bordelli… je le trouve sympa, les histoires que Marco Vichi a inventé autour de son héros sont adorables. Je vais le quitter à grand regret… et même verser ma petite larme.

Arrivederci a presto !