Hubert Mingarelli
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Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature française :: Auteurs nés à partir de 1941
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Re: Hubert Mingarelli
un tel enthousiasme mérite que je note ce titre 

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Re: Hubert Mingarelli
Tu peux lire aussi La Lumière volée, un roman jeunesse paru initialement dans la très belle collection Page chez Gallimard. Je ne l’ai jamais lu mais j’en avais entendu de très bonnes critiques.kenavo a écrit:un tel enthousiasme mérite que je note ce titre
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 3920
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Hubert Mingarelli
noté 

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Re: Hubert Mingarelli
Tout est abordé avec délicatesse, avec une telle économie de mots, une réserve, des phrases courtes mais où tout est dit. C'est d'une justesse magnifique, on est emporté avec presque rien.
C'est ce qui m'avait plu dans Un repas en hiver, mais je n'avais plus trouvé mon compte dans le second (La terre invisible)
Je retiens car je ne veux pas rester sur une déception!
Aeriale- Messages : 10768
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Hubert Mingarelli
Un repas en hiver

@Aeriale et @domreader ont déjà fort bien commenté ce livre, donc je ne sais que dire de plus.
C'est une totale réussite cette sorte de huis-clos, où cohabitent le temps d'un repas improbable, ces cinq hommes.
Il y a ces trois soldats, plongés dans une mission absurde, mais qui - comme pour y échapper un peu - se laissent aller vers d'autres préoccupations (le fils de l'un d'eux).
Et puis ce repas, tout d'abord impossible, et pour lequel il faudra faire preuve d'imagination pour le mener à bien au cœur de cet hiver glacial.
Et bien sûr, le cheminement des trois hommes, après la confrontation avec le Polonais qui s'est invité.
Quel tour de force, dans un roman aussi court, et avec une telle "économie" dans l'écriture, de faire passer autant de choses.C'est très fort et prenant du début à la fin.


@Aeriale et @domreader ont déjà fort bien commenté ce livre, donc je ne sais que dire de plus.
C'est une totale réussite cette sorte de huis-clos, où cohabitent le temps d'un repas improbable, ces cinq hommes.
Il y a ces trois soldats, plongés dans une mission absurde, mais qui - comme pour y échapper un peu - se laissent aller vers d'autres préoccupations (le fils de l'un d'eux).
Et puis ce repas, tout d'abord impossible, et pour lequel il faudra faire preuve d'imagination pour le mener à bien au cœur de cet hiver glacial.
Et bien sûr, le cheminement des trois hommes, après la confrontation avec le Polonais qui s'est invité.
Quel tour de force, dans un roman aussi court, et avec une telle "économie" dans l'écriture, de faire passer autant de choses.C'est très fort et prenant du début à la fin.

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Lire nuit gravement à la bêtise !

Nightingale- Messages : 2438
Date d'inscription : 09/12/2017
Age : 54
Localisation : Sur le bord de la marge
Re: Hubert Mingarelli
Nightingale a écrit:.Quel tour de force, dans un roman aussi court, et avec une telle "économie" dans l'écriture, de faire passer autant de choses.C'est très fort et prenant du début à la fin.
Complètement d’accord là dessus! J’ai adoré cette économie de mots qui en disent tant, Difficile de saisir exactement ce qui en fait la force, où trouver le délicat équilibre entre sobriété et empathie. Ici ça a fonctionné du début à la fin.
Un livre que je recommande souvent et jusqu’à présent je n’ai eu que de bons retours!
Aeriale- Messages : 10768
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Hubert Mingarelli
c’est bien que ce fil soit remonté, ainsi j’ai retrouvé ces messages
j’avais fait plus que noter – acheté en février 2021, avec trop d’autres lectures, je l’avais mis de côté… et ensuite oublié
Mais voilà, je l’ai retrouvé sur mes étagères et j’en ai fait la lecture

La lumière volée
La maison d’édition a mis l’âge de lecture à 12 ans… mouais, faudra peut-être quand même pas laisser le jeune public tout à fait seul avec ce livre.
1942, ghetto de Varsovie… pas besoin de plan pour savoir que cela va parler de choses sérieuses.
Bien que je dois dire que Hubert Mingarelli arrive à créer une histoire très touchante et surtout donner au lecteur deux jeunes gens extraordinaires qui vont rester en mémoire.
Entre la naïveté de Élie et la façon (apparente) culottée de Gad, il y a toute une histoire à découvrir entre ces deux.
Fascinant et en même temps triste, j’en ressors d’un bon moment de lecture maquant.
Liseron a écrit:Tu peux lire aussi La Lumière volée, un roman jeunesse paru initialement dans la très belle collection Page chez Gallimard. Je ne l’ai jamais lu mais j’en avais entendu de très bonnes critiques.
kenavo a écrit:noté
j’avais fait plus que noter – acheté en février 2021, avec trop d’autres lectures, je l’avais mis de côté… et ensuite oublié

Mais voilà, je l’ai retrouvé sur mes étagères et j’en ai fait la lecture

La lumière volée
Mon exemplaire a été édité chez folio junior. Mais je vais quand même mettre mon avis sur ce fil. Surtout que j’éprouve ce livre pas autant pour « junior ».Présentation de l’éditeur
1942. Élie, onze ans, s'est réfugié dans le cimetière du ghetto de Varsovie. La police allemande traque les jeunes trafiquants sans lesquels le ghetto serait affamé. Une nuit, Élie est rejoint par l'un d'eux, Gad, un peu plus âgé que lui. Ensemble, ils s'inventent un monde intime, fragile. Au loin résonnent des coups de feu, qui se rapprochent…
Un texte d'une grande intensité sur le sort inhumain réservé aux populations prisonnières des ghettos.
La maison d’édition a mis l’âge de lecture à 12 ans… mouais, faudra peut-être quand même pas laisser le jeune public tout à fait seul avec ce livre.
1942, ghetto de Varsovie… pas besoin de plan pour savoir que cela va parler de choses sérieuses.
Bien que je dois dire que Hubert Mingarelli arrive à créer une histoire très touchante et surtout donner au lecteur deux jeunes gens extraordinaires qui vont rester en mémoire.
Entre la naïveté de Élie et la façon (apparente) culottée de Gad, il y a toute une histoire à découvrir entre ces deux.
Fascinant et en même temps triste, j’en ressors d’un bon moment de lecture maquant.
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