Angélique Villeneuve
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Angélique Villeneuve
Angélique Villeneuve, née en 1965 à Paris, est un écrivain français.
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Dernière édition par kenavo le Jeu 20 Jan - 6:10, édité 1 fois
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Best when you improvise
George Gershwin
Re: Angélique Villeneuve
Images: Delphine Renon
Le festin de Citronnette
Et c’est un vrai festin, il ne faut pas avoir faim en lisant cet album, il y a tout plein de bonnes choses à boire et à manger que Citronnette va présenter.
L’histoire est truffée de douceur et les images sont charmantes.
Miam, quel beau moment de lecture !
Le festin de Citronnette
Je ne connaissais pas encore le travail de Delphine Renon mais j’étais partante pour partager ce festin avec elle.Présentation de l’éditeur
Gourmandise et exploration au menu d’un album délicieusement acidulé !
Citronnette, timide et proprette, quitte rarement sa cuisine pour s’aventurer dans son jardin sauvage. Mais ce matin, elle a vu des ombres…
S’approchant à petits pas, elle distingue un grand chapeau noir qui avance par bonds, un long nez pointu caché derrière un arbre, un rocher gris râpeux qui grogne et qui marmonne…
Vite, Citronnette se réfugie dans sa cuisine ! Et si elle les amadouait avec des mets chauds et savoureux, elle qui aime tant cuisiner ? Elle prépare alors un véritable festin… qui va lui changer la vie !
Et c’est un vrai festin, il ne faut pas avoir faim en lisant cet album, il y a tout plein de bonnes choses à boire et à manger que Citronnette va présenter.
L’histoire est truffée de douceur et les images sont charmantes.
Miam, quel beau moment de lecture !
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Re: Angélique Villeneuve
Images: Amélie Videlo
Le Doudou des Bois
En plus c’est un album de grand format qui redonne bien toute la beauté des images.
Le Doudou des Bois
Avec Le Doudou, on a une jolie histoire qu’Amélie Videlo accompagne avec de très belles illustrations.Présentation de l’éditeur
Georgette se promène dans les bois. Ça sent bon la terre, la pluie, les champignons. Elle installe son doudou sur un lit de feuilles. Elle admire les belles couleurs de la forêt… Mais le soir, au coucher, il lui manque soudain quelque chose : elle a oublié son doudou ! Là-bas, tout seul sous le grand noir du ciel ! Et le lendemain, de retour sur les lieux, impossible de le retrouver.
- Un album nourri de sensations : odeurs, touchers, bruits, couleurs…
- Pour aborder en douceur séparation et réparation.
- Des gouaches lumineuses et contrastées, une explosion de couleurs de toute beauté !
En plus c’est un album de grand format qui redonne bien toute la beauté des images.
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George Gershwin
Re: Angélique Villeneuve
Images: Anaïs Brunet
Le grand poulpe
J’aime bien son imagination.
Et Anaïs Brunet m’était déjà sympa lors d’une première rencontre.
Voilà tout pour me convaincre de tenter d’approcher ce grand poulpe.
Un bel album pour passer quelques moments en mer… rafraichissant.
Le grand poulpe
Angélique Villeneuve est active aussi bien dans le domaine de la littérature pour adultes que dans celle pour les jeunes. Jusqu’à présent je ne la connais que via ses histoires pour les petits.Présentation de l’éditeur
Ce grand poulpe-là a une sacrée personnalité. Ou plutôt, il en a huit, autant que de tentacules. Le premier, amoureux d'une femme-homard aux longs cheveux noirs flottant dans l'onde, a le cœur tendre. Le deuxième, le plus gourmand, est le pourvoyeur de nourriture, le troisième et le quatrième sont les bâtisseurs, le sixième, l'artiste collectionneur, etc. Mais le huitième, lui, semble ne servir à rien... Qui est-il? D'ailleurs, quand une terrible murène dévore ce tentacule inutile, le grand poulpe se dit que c'est peu de chose. Et pourtant... il se sent bancal. Le dernier bras repoussera. Tout de travers, certes, mais rétablissant l'équilibre. Et le grand poulpe saura : ce bras-là est le plus tenace, le résilient, celui qui montre qu'on peut réparer les malheurs.
J’aime bien son imagination.
Et Anaïs Brunet m’était déjà sympa lors d’une première rencontre.
Voilà tout pour me convaincre de tenter d’approcher ce grand poulpe.
Un bel album pour passer quelques moments en mer… rafraichissant.
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Re: Angélique Villeneuve
Illustrations: Anna Griot
Paisible
J’ai moins accroché aux images, mais l’idée d’Angélique Villeneuve pour cette histoire m’a beaucoup plu et ainsi mon séjour dans l’arbre était quand même positif.
Paisible
Un texte un peu plus onirique pour raconter une histoire proche du Baron perché… avec la différence qu’ici la fille redescend et va arriver d’emporter son bien-être dans l’arbre aussi dans son quotidien.Présentation de l‘éditeur
Qui n'a rêvé d'avoir un peu la paix, quand tout le monde s'agite autour de soi ? Sans cesse sollicitée, au cœur d'une famille ultra vivante mais tout aussi bruyante, Ester décide de prendre la poudre d'escampette : et hop, la voilà qui grimpe dans l'arbre dont les branches taquinent sa fenêtre. Elle va s'y construire son monde bien à elle, s'y trouver des amis à plumes ou à fourrure rassurants avant de pouvoir revenir dans sa chambre, grandie et apaisée.
J’ai moins accroché aux images, mais l’idée d’Angélique Villeneuve pour cette histoire m’a beaucoup plu et ainsi mon séjour dans l’arbre était quand même positif.
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Re: Angélique Villeneuve
Illustrations: Audrey Calleja
Madame Mouette
C’est bien de se laisser emporter par ses rêves… et parfois on n’a même pas besoin de vérifier, mieux c’est de continuer avec des inventions.
Une histoire dans laquelle bon nombre de jeunes lecteurs devraient se retrouver.
Illustrations un peu à part, mais qui s’associent très bien avec Madame Mouette
Madame Mouette
Une célébration de l’imagination !Présentatiom de l‘éditeur
Nine habite en face de la tour. Tous les jours à cinq heures, une fenêtre s'ouvre au 13e étage et un bras lance des choses mystérieuses aux oiseaux. En bas, Nine ferme les yeux ; dans sa tête, elle entre chez celle qu’elle a surnommée madame Mouette. Elle imagine le salon qui ressemble à une plage, la cuisine à un bateau pirate. Elle voit madame Mouette en maillot de bain qui coiffe son anémone violette, déguste des tartines aux crevettes et pêche à l'épuisette dans sa baignoire.
Un soir, Nine décide d’aller sonner à sa porte. Mais soudain, elle s'arrête. Et si elle s'était trompée ? Si madame Mouette était plutôt un ours sur la banquise ? Ou un pingouin ? Un hippopotame ? Nine redescend en courant : il y a encore tant d'images dans sa tête, elle préfère bien mieux les garder !
C’est bien de se laisser emporter par ses rêves… et parfois on n’a même pas besoin de vérifier, mieux c’est de continuer avec des inventions.
Une histoire dans laquelle bon nombre de jeunes lecteurs devraient se retrouver.
Illustrations un peu à part, mais qui s’associent très bien avec Madame Mouette
Dernière édition par kenavo le Dim 9 Mai - 3:24, édité 1 fois
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Re: Angélique Villeneuve
Illustrations: Amélie Videlo
Piccolo
En voici une de bien jolie. Destinée à un public plus jeune, mais pas sans charme.
On tombe aussi bien amoureux de ce petit canard jaune que de la fille qui voudrait tant l’avoir… une vraie belle histoire d’amour
Laissez-vous charmer par ces deux artistes.
Piccolo
Bon, c’est l’été, il en faut des histoires de plage.Présentation de l’éditeur
Nous voici au pays des jouets de plage, dans la peau de Piccolo, un minuscule canard jaune. Il rêve d’être choisi par un enfant aimant, qui va le serrer contre son cœur et l’emmener vivre des aventures merveilleuses. Mais c’est surtout la fille cruelle qui rôde autour du chariot du marchand – et détruit les jouets qu’elle achète les uns après les autres ! La fille gentille, elle, a bien remarqué le timide Piccolo au fond du chariot, mais son père lui interdit les jouets. Un matin, la fille cruelle achète Piccolo pour un sou…
En voici une de bien jolie. Destinée à un public plus jeune, mais pas sans charme.
On tombe aussi bien amoureux de ce petit canard jaune que de la fille qui voudrait tant l’avoir… une vraie belle histoire d’amour
Laissez-vous charmer par ces deux artistes.
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Re: Angélique Villeneuve
Illustrations : Marta Orzel
S’appeler Raoul
Et les louanges ne sont pas de trop, un album qui rayonne parmi les nouveautés (et non seulement à cause de la couverture).
Je n’ai vu la critique de Télérama qu’après ma lecture. Je suis Actes Sud junior de près et ainsi cet album m’intriguait.
La perspective de lire une autre histoire inventée par Angélique Villeneuve me donnait envie.
Les illustrations de Marta Orzel sont tout aussi charmant que cette amitié entre Raoul et Jacquotte.
À mettre entre toutes les mains.
S’appeler Raoul
Ceux qui parcourent le domaine de la jeunesse, savent – un bon commentaire dans Télérama fait toute la différence.Présentations de l’éditeur
Raoul n’aime pas son prénom. Il le trouve nul, moche et ridicule. Son amie Jacquotte, elle, a un si joli prénom. Quand Raoul entend Jacquotte, il pense à un tas de choses agréables. Il pense à du miel, aux clémentines et à la belle libellule qui se pose sur les fleurs. Si seulement lui pouvait se débarrasser de ce prénom qui lui pèse tant ! Mais Jacquotte n’est pas de cet avis. Jacquotte aime beaucoup le prénom Raoul, parmi tous les autres prénoms. Parce que ce prénom, c’est celui de son ami, et pour cette raison, pour rien au monde elle ne voudrait qu’il en change…
Cet album aux personnages plus qu’attachants nous transporte de page en page vers une belle réflexion sur l’amitié et la confiance en soi.
Et les louanges ne sont pas de trop, un album qui rayonne parmi les nouveautés (et non seulement à cause de la couverture).
Je n’ai vu la critique de Télérama qu’après ma lecture. Je suis Actes Sud junior de près et ainsi cet album m’intriguait.
La perspective de lire une autre histoire inventée par Angélique Villeneuve me donnait envie.
Les illustrations de Marta Orzel sont tout aussi charmant que cette amitié entre Raoul et Jacquotte.
À mettre entre toutes les mains.
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Re: Angélique Villeneuve
Illustrations : Julien Martinière
Je suis ton manteau
Surmonter sa peur… trouver un bon ami (l’amour?!)...grandir.
Quel bel album pour parler de tout cela.
J’en ressors enthousiaste à cause de l’histoire, mais les illustrations jouent aussi leur rôle.
Julien Martinière, rencontré dans Le tracas de Blaise, m’avait déjà marqué. Ici il prend toute son ampleur.
Le graphisme sort clairement du lot… et c’est d’autant plus fascinant.
Je suis ton manteau
Présentation de l’éditeur
Igor a peur de tout. Il a surtout peur de franchir le pont qui mène au Grand Là-bas où l’on apprend la vie. Alors son père a une idée, une idée de plumes et de talisman pour aider son fils à devenir grand.
Surmonter sa peur… trouver un bon ami (l’amour?!)...grandir.
Quel bel album pour parler de tout cela.
J’en ressors enthousiaste à cause de l’histoire, mais les illustrations jouent aussi leur rôle.
Julien Martinière, rencontré dans Le tracas de Blaise, m’avait déjà marqué. Ici il prend toute son ampleur.
Le graphisme sort clairement du lot… et c’est d’autant plus fascinant.
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