Isabel Vincent
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Isabel Vincent
l’auteur avec l’acteur David Suchet qui est prévu pour le rôle d’Edward dans l’adaptation
Née en 1965 à Toronto, Isabel Vincent a fait sa carrière de reporter à New York, écrivant pour des magazines aussi prestigieux que le New York Times Magazine, le New Yorker, le Times et le New York Post.
Source : Editeur
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Re: Isabel Vincent
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Dinner with Edward / Dîner avec Edward
Une première tentation d’abandon est venue quand Edward a acheté cette fameuse robe noire pour Isabel avec l’idée qu’une « vraie femme » doit porter une telle robe pour avoir de l’estime pour soi-même. Le cher Edward avait 93 ans à ce moment et j’ai essayé de lui « pardonner » cette approche misogyne, il était d’une autre génération.
J’ai laissé de côté ce livre quand Isabel Vincent a parlé plus de ses problèmes matrimoniaux que de ces dîners avec Edward. Je peux bien comprendre qu’un divorce n’est pas réjouissant, mais j’avais l’idée que ce livre allait parler de soirées autour de bons repas et non de bagarres autour d’un grille-pain ou d’un poste de radio
J’ai donc délaissé après un tiers… et je ne pense pas que je l’aurais repris si l’idée d’un été en cuisine ne serait pas venue. J’ai repris donc à l’endroit où j’avais quitté les deux amis… et, ô bonheur, le divorce est fait et elle peut enfin se concentrer sur autre chose et surtout parler de biens bons dîners avec Edward.
Finalement j’ai terminé cette lecture en peu de temps et avec assez de plaisir.
Ce n’était certainement pas le livre que je m’avais imaginé à partir de la présentation de l’éditeur mais en tout, cela fait quand même un bon moment qu’on peut passer avec Isabel Vincent et Edward…
Dinner with Edward / Dîner avec Edward
J’ai commencé cette lecture lors du moment quand la version française est parue… il y a donc bien longtemps.Présentation de l’éditeur
La porte s'ouvrit brusquement, laissant apparaître un grand monsieur âgé, ses yeux souriant tandis qu'il me prenait la main et m'embrassait sur les deux joues. "Ma chérie ! Je vous attendais."
Afin d'apaiser une amie installée loin de New York et de son père nonagénaire, Isabel accepte d'aller dîner avec Edward, dévasté par la récente disparition de son épouse. Journaliste, la quarantaine, Isabel traverse aussi une crise : à peine débarquée dans la Grosse Pomme, elle assiste impuissante au naufrage de son mariage. Mais ce qu'elle ignore, c'est qu'Edward possède d’époustouflants talents de cuisinier, alliés à un sens de l'humour sans faille et à une solide philosophie de l'existence. Pour son hôte, le vieil homme repasse derrière les fourneaux. Et l'invitation ponctuelle devient un rendez-vous régulier, l'occasion pour les deux âmes en peine de reprendre goût à la vie, et foi dans les bienfaits d'un verre de martini !
Une première tentation d’abandon est venue quand Edward a acheté cette fameuse robe noire pour Isabel avec l’idée qu’une « vraie femme » doit porter une telle robe pour avoir de l’estime pour soi-même. Le cher Edward avait 93 ans à ce moment et j’ai essayé de lui « pardonner » cette approche misogyne, il était d’une autre génération.
J’ai laissé de côté ce livre quand Isabel Vincent a parlé plus de ses problèmes matrimoniaux que de ces dîners avec Edward. Je peux bien comprendre qu’un divorce n’est pas réjouissant, mais j’avais l’idée que ce livre allait parler de soirées autour de bons repas et non de bagarres autour d’un grille-pain ou d’un poste de radio
J’ai donc délaissé après un tiers… et je ne pense pas que je l’aurais repris si l’idée d’un été en cuisine ne serait pas venue. J’ai repris donc à l’endroit où j’avais quitté les deux amis… et, ô bonheur, le divorce est fait et elle peut enfin se concentrer sur autre chose et surtout parler de biens bons dîners avec Edward.
Finalement j’ai terminé cette lecture en peu de temps et avec assez de plaisir.
Ce n’était certainement pas le livre que je m’avais imaginé à partir de la présentation de l’éditeur mais en tout, cela fait quand même un bon moment qu’on peut passer avec Isabel Vincent et Edward…
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