Breece D'J Pancake

 
Breece D'J Pancake est né en 1953.

On sait peu de choses de son enfance.

Après les morts successives de son père et de son meilleur ami en 1976, il enseigna l'anglais dans diverses universités et se mit parallèlement à écrire.

Miné par l'alcool, il mit fin à ses jours à Charlottesville en 1979.
 

Source : Editeur

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Stories / Qu'arrivera-t-il au bois sec ?

Présentation de l’éditeur
Les douze nouvelles de ce recueil, d'une beauté sourde et pénétrante comme le charbon qui s'insinue sous la peau, constituent l'œuvre entière de Breece D'J Pancake, ce jeune auteur qui, à 26 ans, choisit de s'enfoncer le canon d'un fusil dans la bouche et de s'ôter la vie. Elles sont, dans le paysage littéraire américain, l'un des modèles de la forme brève. L'auteur y fait le récit souvent mélancolique, parfois gouailleur, d'une histoire singulière, celle de la Virginie-Occidentale, petit État mal connu de la chaîne des Appalaches. S'y côtoient mineurs et bateliers, chasseurs et boxeurs, coqueleurs et éleveurs, petit peuple de l'ombre à l'horizon bouché dont les vies usées sont à l'image du pays qui les entoure, tout en méandres et en creux, pleines d'anfractuosités et de bosses, emplies d'échos autant que de silences.

 Tout a commencé avec cette photo d’un cheval dans l’eau… intriguant…

Ainsi j’étais attirée pour aller lire l’article qui s’y trouvait et en fait il s’agissait d’une présentation de plusieurs livres autour de la vie rurale et le nom de Breece D'J Pancake m’était totalement inconnu.

Les quelques commentaires en ligne concernant ses nouvelles que j’ai vite survolés (aussi bien en anglais qu’en français) étaient plus qu’enthousiastes. Il me fallait regarder de plus près
 
 Je ressors de ce recueil un peu moins enthousiaste que tous les commentaires que j’ai pu lire. Je peux comprendre tant d’émerveillement, mais parfois l’étincelle ne se transmet pas sur tous les lecteurs.
 
Cela sonne plus négatif que voulu. Il s’agit tout de même de très bons textes. Si on adhère à ce monde un peu plus cru, avec beaucoup de violence (même parfois caché, mais on la ressent) en voilà la bonne lecture.
 
Des tensions et non-dits me mettaient tout au long de ce livre dans un état agité. On ne peut jamais prévoir ce qui se passe sur la prochaine page et même après plusieurs nouvelles on n’arrive pas à cerner les intentions de l’auteur.
 
Une expérience qui se termine pour moi en demi-teinte. Mais je quitte quand même avec le bon sentiment d’avoir fait connaissance avec cet auteur et de son univers.

Je verrais bien @Aeriale ou @Queenie pour apprécier plus...

kenavo a écrit:Tout a commencé avec cette photo d’un cheval dans l’eau… intriguant…

Vrai que cela interpelle.

Le ton doit être assez rude, j'imagine. Triste destin de ce jeune écrivain qui se tua à 26 ans. Mais je retiens dans un coin de ma tête, sait on jamais? :-)

Clair, je commençais à sortir mon carnet LAL !

(Quel tragique destin)