Jim Dodge
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Re: Jim Dodge
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Fup / L'oiseau Canadèche
Il me restait quelques images de cette lecture (surtout les leçons pour que le canard apprenne à voler, étaient aussi hilarantes que la première fois).
Tandis que j'avais oublié la scène du cinéma "drive-in" où le responsable a des problèmes qu'un canard se trouve dans la voiture pour voir le film. Il n'a pas compté sur les arguments de grand-père pour le convaincre que c'est tout à fait normal!
Tout comme dans le temps, j’en ressors sous le charme de ce trio.
On a tellement envie de croire qu’ils sont toujours là, en train de faire (et surtout boire) du whisky, établir des clôtures et les coin coins qui accompagnent le tout.
« Un conte moderne », oui, je veux bien… si c’est si charmant que dans ce livre, j’en prends plus souvent une dose.
Tom a dédicacé un livre à Jim en y joignant une petite peinture, un portrait, de Pépé Jake assis sur sa terrasse, à regarder le soleil se coucher, en buvant un verre de Vieux Râle d’Agonie, ce fameux breuvage duquel il tient le secret de l’immortalité... ou, selon notre imagination, l’homme assis ne serait-il pas Jim lui-même ?
Bref, à défaut de partager un bon plat de spaghetti nous avons mis le livre et la peinture dans une grosse enveloppe, ainsi qu’une jolie lettre pour dire à Jim plein de choses qu’on aurait aimé lui dire en vrai chez Tishina. Jim, dont on nous a dit si souvent qu’il aimait tant les correspondances écrites.
Puis nous avons posté le tout. Les bonnes vieilles manières.
Fup / L'oiseau Canadèche
En attendant Noël qui va peut-être m’amener la version illustrée de Tom Haugomat, j’ai repris mon livre, lu en 2010. C’était le bon moment de retrouver cette histoire.Présentation de l’éditeur
Un jeune garçon vit au fin fond de la Californie avec son grand-père, ermite bourru qui semble avoir trouvé en la recette d'un tord-boyau le secret de l'immortalité. Avec «L'oiseau canadèche», canard extraordinairement obèse, ils forment un trio inséparable, défendant farouchement l'indépendance de leur domaine. Un conte moderne au souffle joyeusement libertaire.
Il me restait quelques images de cette lecture (surtout les leçons pour que le canard apprenne à voler, étaient aussi hilarantes que la première fois).
Tandis que j'avais oublié la scène du cinéma "drive-in" où le responsable a des problèmes qu'un canard se trouve dans la voiture pour voir le film. Il n'a pas compté sur les arguments de grand-père pour le convaincre que c'est tout à fait normal!
Tout comme dans le temps, j’en ressors sous le charme de ce trio.
On a tellement envie de croire qu’ils sont toujours là, en train de faire (et surtout boire) du whisky, établir des clôtures et les coin coins qui accompagnent le tout.
« Un conte moderne », oui, je veux bien… si c’est si charmant que dans ce livre, j’en prends plus souvent une dose.
Tom a dédicacé un livre à Jim en y joignant une petite peinture, un portrait, de Pépé Jake assis sur sa terrasse, à regarder le soleil se coucher, en buvant un verre de Vieux Râle d’Agonie, ce fameux breuvage duquel il tient le secret de l’immortalité... ou, selon notre imagination, l’homme assis ne serait-il pas Jim lui-même ?
Bref, à défaut de partager un bon plat de spaghetti nous avons mis le livre et la peinture dans une grosse enveloppe, ainsi qu’une jolie lettre pour dire à Jim plein de choses qu’on aurait aimé lui dire en vrai chez Tishina. Jim, dont on nous a dit si souvent qu’il aimait tant les correspondances écrites.
Puis nous avons posté le tout. Les bonnes vieilles manières.
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