Elizabeth Daly
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Elizabeth Daly
Elizabeth Daly, née le 15 octobre 1878, à New York, et morte le 2 septembre 1967, à Long Island, est un auteur américain de roman policier.
source et suite
Série Henry Gamadge
1940 Unexpected Night
1940 Deadly Nightshade
1941 Murder in Volume 2 / Le tome II a disparu
1942 The House Without the Door
1943 Nothing Can Rescue Me
1943 Evidence of Things Seen
1944 The Book of the Dead / Seul au monde
1944 Arrow Pointing Nowhere
1945 Any Shape or Form
1946 Somewhere in the House
1946 The Wrong Way Down
1947 Night Walk
1948 The Book of the Lion
1949 And Dangerous to Know
1950 Death and Letters
1951 The Book of the Crime
Dernière édition par kenavo le Lun 26 Aoû - 4:50, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Elizabeth Daly
Unexpected Night
Une nouvelle série, un nouveau héros… et j’ai bien aimé ma première rencontre avec Henry Gamadge.Présentation de l’éditeur
An antiquarian book dealer spends his vacation investigating murder in this series opener from Agatha Christie’s favorite American author.
New York handwriting and rare book expert—and a gentleman sleuth—Henry Gamadge is vacationing in coastal Maine when the police there need his help. It’s a strange case involving a seemingly natural death, a large inheritance, a mysterious nighttime rendezvous, and a troupe of summer stock actors who start dying off. Something is clearly afoot, but nothing quite seems to fit. With an eye for frauds, Gamadge is just what the local detective needs to throw the book at a killer . . .
Par moment cela n’avance pas trop vite mais il n’y a pas de répétitions ad nauseam de faits déjà bien connus et ainsi c’était un plaisir de suivre cette enquête et surtout les méthodes de cet expert en livres rares.
Heureusement les policiers et détectives sur place ont la confiance qu’il peut les aider et ainsi il a accès à tout et le lecteur peut le suivre avec beaucoup d’intérêt.
Très bonne lecture, je vais tenter le deuxième épisode.
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George Gershwin
Re: Elizabeth Daly
Deadly Nightshade
Après une première rencontre plutôt positive, j’étais naturellement partante de faire une autre lecture d’un de ses livres.Présentation de l’éditeur
With talk of war all over the radio waves, antiquarian book dealer Henry Gamadge is back in Maine, this time by invitation of his friend Detective Mitchell. Mitchell has a real puzzler on his hands: three different children have been poisoned with deadly nightshade, and there is no motive that could possibly link all three poisonings, beside the fact that the children all live in the same small community. Could the nearby encampment of Gypsies be involved? And was the death of a state trooper at about the same time a mere coincidence? Gamadge sets out to separate fact from fiction and find the killer before they strike again . . .
Nous voici donc avec la deuxième enquête de Henry Gamadge, tout aussi sympa et compétant comme dans le premier volet.
Mais je dois avouer – après une première partie, je n’avais pas d’idée de ce que Elizabeth Daly parlait. Une deuxième partie m’a laissée tout aussi confuse et finalement je suis seulement arrivée à la fin avec l’espoir de trouver la solution adéquate pour ce mystère…
Et ben, je ne peux pas dire que l’expérience a été satisfaisante…
Selon la formule « jamais deux sans trois », je vais encore tenter un autre épisode de cette série… j’espère qu’il va y avoir plus de clarté.
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George Gershwin
Re: Elizabeth Daly
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Murders in Volume 2 / Le tome II a disparu
Même si au début j’étais sceptique - je ne suis pas trop friande des jeunes filles qui réapparaissent un siècle plus tard.
L’enquête est bien tenante et en plus il va faire connaissance d’une jeune femme qui va jouer un rôle important dans sa vie.
Et non, normalement je ne recherche pas l’amoooour dans les policiers, mais Elizabeth Daly traite cet aspect si discret et adorable… on ne peut que se réjouir pour Henry et Clara.
Murders in Volume 2 / Le tome II a disparu
Et voilà, c’était quand même bien de donner encore une chance à Elizabeth Daly. J’ai bien aimé cet épisode.Présentation de l’éditeur
Henry Gamadge, expert en livres rares et détective amateur, ne se doutait pas en recevant Miss Robina Vauregard qu'il allait au devant d'une enquête complexe et mouvementée, et d'un grand bouleversement dans sa vie privée !
Quel jeu jouait Miss Smith en tenant le rôle d'une jeune fille disparue plus d'un siècle auparavant ?
Le deuxième tome des œuvres de Byron pourrait-il fournir une piste à Gamadge ?
Il fallut toute l'habileté et la diplomatie d'Henry Gamadge pour éclaircir cette mystérieuse affaire de famille.
Même si au début j’étais sceptique - je ne suis pas trop friande des jeunes filles qui réapparaissent un siècle plus tard.
L’enquête est bien tenante et en plus il va faire connaissance d’une jeune femme qui va jouer un rôle important dans sa vie.
Et non, normalement je ne recherche pas l’amoooour dans les policiers, mais Elizabeth Daly traite cet aspect si discret et adorable… on ne peut que se réjouir pour Henry et Clara.
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Re: Elizabeth Daly
The House Without the Door
Dans l’épisode d’avant, le lecteur est devenu témoin de la romance débutante entre Henry et Clara.Présentation de l’éditeur
Acquitted of murdering her wealthy husband, Mrs. Vina Gregson remains essentially a prisoner, trapped in her elegant New York apartment with occasional furtive forays to her Connecticut estate. A jury may have found her innocent, but Mrs. Gregson remains a murderess in the eyes of the public and of the tabloid journalists who hound her every step. She has recently begun receiving increasingly menacing letters written, she is certain, by the person who killed her husband. Taking the matter to the police would heighten her notoriety, so she calls on antiquarian bookseller and handwriting expert Henry Gamadge, the gentleman-sleuth who is known for both his discretion and his ability to solve problems that baffle the police.
Au début de The House Without The Door (seul point frustrant : même après la lecture, je ne comprends pas ce titre) on constate que notre enquêteur est entre-temps marié.
À part ce détail, il s’engage à 100 % à résoudre une énigme assez étrange… mais après quelques livres en sa compagnie, je ne me suis pas doutée qu’il allait trouver la solution.
Et elle est très satisfaisante et je vais entamer une autre lecture de Elizabeth Daly.
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George Gershwin
Re: Elizabeth Daly
Nothing can rescue me
Encore une réussite.Présentation de l’éditeur
It’s mid-1943, and Henry Gamadge is up to his elbows in war work and longing for a quiet weekend. But when a half-forgotten classmate requests assistance, Gamadge is unable to refuse the tug of an old school tie.
Sylvanus Hutter is concerned about his Aunt Florence, a giddy socialite terrified of Nazi bombs. Florence has moved her extensive household of hangers-on to the family mansion in upstate New York. But menace seems to have followed them, in the form of threatening messages inserted into the manuscript of Florence’s painfully bad novel in progress.
Several members of the household are convinced the messages are emanating from Another World, but the politely pragmatic Gamadge suspects a culprit rather closer to home.
Je pense que je suis maintenant autant fan, Henry Gamadge ne peut plus faire de faute selon mes critères.
En tout cas cette histoire tient très bonne, comme d’habitude je n’ai jamais soupçonné le vrai meurtrier et ainsi la belle surprise à la fin vient de s’ajouter à mon bonheur de lecture.
Une fois de plus j’en ressors satisfaite.
En avant pour la prochaine aventure !
I wonder whether she saw and admired Parmigiano’s « Portrait of a Lady » - subject unknown. It suddenly occus to me as an excellent portrait of Corinne Hutter.
[…]
Put Corinne in robes and Jewels, do up her hair – why, even the pose is the same ! That characteristic leaning a little forward, looking straight at you. Some think Parmigiano’s lady is beautiful, some think she looks like a rat ; both schools are right, …
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Re: Elizabeth Daly
Evidence of Things Seen
Quelle bonne idée de continuer avec Elizabeth Daly et son héros Henry Gamadge – j’ai vraiment adoré cet épisode.Présentation de l’éditeur
In the sticky summer of 1943, a secluded cottage in the Berkshires sounds just the ticket to the newly married Clara Gamadge. The resident ghost, a slender woman in a sunbonnet who died just one year ago in the cottage Clara is now renting, merely adds to the local color. It’s all nothing more than a spooky game, until the woman’s sister is strangled while Clara dozes in a chair by her bed. The only clue: Clara’s panicked memory of a woman in a sunbonnet standing at the door. Happily, Henry Gamadge arrives in time to calm his wife and solve the mystery (though not without some stellar help from Clara!).
“Ingenious . . . most readers will be completely fooled.” —New York Times
Surtout pour la première partie on ne s’y croit pas dans un policier. On part à la campagne et on va partager la villégiature de Mrs Gamadge. C’était un plaisir.
Jusqu’au moment où… et oui, on reste quand même dans le genre et il fallait un meurtre. Heureusement juste au moment où Henri Gamadge rejoint son épouse.
Pas de temps mort dans cette enquête, c’est un régal de découvrir chaque nouvel aspect et les révélations à la fin étaient très satisfaisantes.
Extra !
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Re: Elizabeth Daly
The Book of the Dead
Ce qui sonne si ennuyeux en français – feinte – est en anglais « red herring », une de mes expression favorite dans cette langue.Présentation de l’éditeur
The hospital sees nothing to question about the death of the reclusive Mr. Crenshaw, and it’s not as though he had any friends to press the issue. He did, though, have one casual acquaintance, who happens to pick up Mr. Crenshaw’s battered old edition of The Tempest—and happens to pass that book on to Henry Gamadge. Gamadge, of course, is not only an expert in solving pesky problems but also an expert in rare books, and his two sets of expertise combine to uncover the extraordinary puzzle of Mr. Crenshaw, which began in California and ended on the other side of the country, at a chilly New England rendezvous.
Mais autant que je les apprécie dans les policiers, autant je trouvais qu’il y en avait trop dans cet épisode.
En cours de route on ne savait plus où tourner la tête. Heureusement Elizabeth Daly a gardé la vue d’ensemble et apporte une solution satisfaisante à cette enquête.
Ce ne sera pas mon épisode favori, mais j’aime entre-temps beaucoup le cher Henry Gamadge, très envie de poursuivre avec lui.
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Re: Elizabeth Daly
Arrow Pointing Nowhere
Et ben, cela valait vraiment la peine de persévérer !Présentation de l’éditeur
Take one grand house, stuff it with staff, and make it home to several generations. If they send their sons to Oxford and occasionally knock each other off, you’ve got a country-house murder mystery, the delight of classic English crime fiction. But if the boys are at Yale, odds are that you’re reading its American counterpart, the New York mansion mystery—a genre largely invented by Elizabeth Daly. In Arrow Pointing Nowhere, Daly is back on the Upper East Side, where antiquarian book dealer Gamadge has been receiving missives suggesting that all is not right at the elegant Fenway mansion. But first he must find out who the messages are from . . .
J’ai adoré cet épisode et finalement Gamadge va devenir un de mes personnes de policier favori !
Au début cela ne ressemblait même pas à une vraie enquête. Mais si on connaît Elizabeth Daly, on sait bien que les meurtres ne vont pas se faire attendre.
L’atmosphère close de cette maison est un attrait qui m’a beaucoup plu.
En tout un moment de lecture très bien, la suite m’attend déjà.
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Re: Elizabeth Daly
Any Shape or Form
Entre-temps mon ami Henry ne peut plus me décevoir.Présentation de l’éditeur
Just about any of the guests at Johnny Redfield’s party seems to have a good reason to have killed the guest of honor, Johnny’s Californian aunt who, with her astral name and vague pretensions of mysticism, does not exactly blend in the elegant New York atmosphere that surrounds her. And what’s more, no one has a solid alibi.
It will take all of Henry Gamadge’s ingenuity to figure out this closed-room mystery.
Un autre épisode que j’ai énormément adoré.
Pas tout à fait « closed-room » mais si on prend un groupe de gens et les mets le temps d’un week-end dans un domaine isolée… pour ensuite trouver le coupable d’un meurtre survenu ! En voilà un décors comme je les aime.
Heureusement Henry Gamadge est de la partie et ainsi pas de chance pour le meurtrier de s’échapper.
C’est prenant, vraiment bien ficelé et raconté avec un bon rythme.
Mais je dois donner raison à un commentaire que j’ai lu quelque part : pourquoi Elizabeth Daly a choisi de marier son héros. À partir d’une première apparition et par la suite quelques brèves vues sur elle, on voit plus sa femme. Elle est soit en voyage, soit on ne sait pas où et de plus en plus elle n’est même plus mentionné (comme ici). En ce qui me concerne, pas grave, ce n’est pas un détail important. Mais si elle ne joue pas un rôle dans la vie de Gamadge, pourquoi l’y avoir introduit ?
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Re: Elizabeth Daly
Somewhere in the House
Boah… une enquête étrange… vraiment étrange.Présentation de l’éditeur
The Clayborn clan has been waiting 25 years to divvy up Grandmama’s fortune, locked up by her will and in a small room in the Clayborn mansion. Tomorrow the Room is to be opened, and the Clayborns can’t wait to get their fingers on the old lady’s reportedly priceless button collection. Harriet Clayborn, who doesn’t quite trust her family, asks Henry Gamadge to witness the Opening of the Room, to make sure there's no funny business. Gamadge agrees, and it’s a good thing this masterful sleuth is on hand: the Room has been hiding something grislier than buttons.
Mais pour mon plus grand plaisir, Henry Gamadge est à la hauteur et sait bien résoudre quelques mystères de cette affaire.
Sans trop d’explications il est celui qui sait gérer, il sait quoi faire et dire. Je l’adore !
Ainsi le temps passe à merveille à ses côtés, je suis déjà curieuse de découvrir le prochain volet.
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Re: Elizabeth Daly
The Wrong Way Down
Une autre enquête aux côtés de Henry Gamadge qui avait tout pour me plaire.Présentation de l’éditeur
What begins as a courtesy call on his wife’s friend, Miss Julia Paxton, turns into another case for Henry Gamadge, antiquarian book dealer, handwriting expert, and amateur detective.
Miss Paxton presents Gamadge with a mystery: a framed etching that had always hung in the hallway of the Ashbury mansion has suddenly sprung an inscription dated 1793. Miss Paxton swears nothing had been written on that portrait before the previous Sunday. Did Iris Vance, a relative and professional medium, made it happen? And how? Henry Gamadge is pretty sure the solution to this mystery has nothing to do with the supernatural, but he can’t quite make out what it all means. Was it a joke? Petty larceny? Or is something much more dangerous going on, and has Gamadge somehow stumbled onto a criminal conspiracy?
Malheureusement la victime était trop sympa. Je n’aime pas ça ! Oui, je sais, il faut avoir au moins un mort pour en arriver au policier.
Mais les auteurs pourraient épargner les gentils
À part cela, Elizabeth Daly m’a bien conduit en erreur. Tout comme Henry je soupçonnais pendant longtemps la mauvaise personne. Heureusement lui, il a trouvé la bonne solution.
Bon nombre des dernières enquêtes se situent dans New York d’après guerre. J’adore retrouver des photos de ces années et m’imaginer Henry Gamadge traverser la ville à la poursuite du coupable.
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