A l'affiche
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Re: A l'affiche
Moune, tu préfères sûrement les documentaires. Cela dit, en terme de vérité, personne n'est bien placé. Qui la connaît ?
D'ailleurs tu dis que l'enterrement, ce sont les Kennedy qui avaient intérêt à en faire un symbole, pas sa femme. J'ai vu un documentaire où ils disaient tout le contraire.
Tout le monde choisit son angle de vérité.
Moi, je préfère les biopics qui ne s'intéressent pas à la reproduction de ce qui a été, je veux la dimension artistique qu'il n'y a pas dans les documentaires.
Ah.
Le sujet des biopics.
...
D'ailleurs tu dis que l'enterrement, ce sont les Kennedy qui avaient intérêt à en faire un symbole, pas sa femme. J'ai vu un documentaire où ils disaient tout le contraire.
Tout le monde choisit son angle de vérité.
Moi, je préfère les biopics qui ne s'intéressent pas à la reproduction de ce qui a été, je veux la dimension artistique qu'il n'y a pas dans les documentaires.
Ah.
Le sujet des biopics.
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6605
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : *CabanCouette*
Re: A l'affiche
Mais les documentaires peuvent aussi avoir une dimension artistique et créative. Enfin les très bons.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4646
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: A l'affiche
Mais pourquoi faire un biopic avec "reproduction de ce qui a été" comme tu dis @Queenie, au lieu de créer, d'inventer ? Évidemment, cela demande plus d'imagination que de faire un film en se contentant d'indiquer : "à partir de faits réels", formule très en vogue actuellement. Je ne suis sans doute pas claire et je me fais mal comprendre, mais pour moi soit on montre du vrai (ou le plus vraisemblable possible), soit on invente une histoire avec toute la "dimension artistique" qu'on veut, qui peut aller n'importe où. C'est ainsi que je le ressens. Peut-être que très peu de gens pensent comme moi, mais si les minoritaires ne s'exprimaient jamais saurait-on que d'autres avis peuvent exister que ceux de la majorité ?Queenie a écrit:
Moi, je préfère les biopics qui ne s'intéressent pas à la reproduction de ce qui a été, je veux la dimension artistique qu'il n'y a pas dans les documentaires.
Ah.
Le sujet des biopics.
...

Moune- Messages : 611
Date d'inscription : 16/12/2016
Re: A l'affiche
Un peu trop manichéen à mon goût, comme façon de classer les choses.
Et pourtant je ne suis pas trop cliente des biopics.
Bref.
Il est temps de faire reposer ma tête.
Et pourtant je ne suis pas trop cliente des biopics.
Bref.
Il est temps de faire reposer ma tête.
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6605
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : *CabanCouette*
Re: A l'affiche
-Born to be blue-

Film réalisé par Robert Budreau avec Ethan Hawke, Carmen Ejogo.
Robert Budreau est un fan de jazz, il a l'idée de ce biopic en reprenant ce fait réel: Afin de relancer sa carrière, Chet Baker s'était vu proposer son propre rôle dans un film consacré à sa vie. Mais Chet, poursuivi par ses histoires de drogue, se fait un soir tabasser par d'anciens dealers devant sa petite amie, sa partenaire sur le tournage. Démoli aussi bien physiquement que moralement, il doit faire face à un nouveau challenge: Retrouver sa dignité et peut être son talent gâché.

L'idée du film dans le film (les séquences en noir et blanc) est pas mal, les scènes pouvant se lire de deux façons, réelles et fantasmées. On apprend pas mal de choses, son addiction pour la dope et les femmes, sa traversée du désert, ses incursions en prison, sa rivalité avec Miles Davis et Dizzie Gilepsy, et cette sorte de renaissance grâce à la musique. Les amateurs de jazz pourraient être intéressés, je pense à @Kenavo bien sûr. Mais peut être aussi déçus car aucun des morceaux n'est original, ce qui donne une certaine authenticité au film, une émotion particulière, mais pas de vérité musicale. Il faut être prévenu. De mon côté j'ai eu surtout la furieuse envie de rechercher les vrais éléments de sa vie et les vidéos le concernant. Impression mitigée donc, Ethan Hawke ne s'en sort pas mal, mais il m'a manqué quelque chose de plus fort (Je dis ça après tous les biopic, sauf peut être celui sur Ian Curtis, le leader des Joy division, qui m'avait scotchée: Control d' Anton Corbijn
)

Le vrai Chet Baker!

Film réalisé par Robert Budreau avec Ethan Hawke, Carmen Ejogo.
Robert Budreau est un fan de jazz, il a l'idée de ce biopic en reprenant ce fait réel: Afin de relancer sa carrière, Chet Baker s'était vu proposer son propre rôle dans un film consacré à sa vie. Mais Chet, poursuivi par ses histoires de drogue, se fait un soir tabasser par d'anciens dealers devant sa petite amie, sa partenaire sur le tournage. Démoli aussi bien physiquement que moralement, il doit faire face à un nouveau challenge: Retrouver sa dignité et peut être son talent gâché.

L'idée du film dans le film (les séquences en noir et blanc) est pas mal, les scènes pouvant se lire de deux façons, réelles et fantasmées. On apprend pas mal de choses, son addiction pour la dope et les femmes, sa traversée du désert, ses incursions en prison, sa rivalité avec Miles Davis et Dizzie Gilepsy, et cette sorte de renaissance grâce à la musique. Les amateurs de jazz pourraient être intéressés, je pense à @Kenavo bien sûr. Mais peut être aussi déçus car aucun des morceaux n'est original, ce qui donne une certaine authenticité au film, une émotion particulière, mais pas de vérité musicale. Il faut être prévenu. De mon côté j'ai eu surtout la furieuse envie de rechercher les vrais éléments de sa vie et les vidéos le concernant. Impression mitigée donc, Ethan Hawke ne s'en sort pas mal, mais il m'a manqué quelque chose de plus fort (Je dis ça après tous les biopic, sauf peut être celui sur Ian Curtis, le leader des Joy division, qui m'avait scotchée: Control d' Anton Corbijn


Le vrai Chet Baker!
Aeriale- Messages : 10433
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Jackie de Pablo Lorrain
Je rejoins eXPie sur ce film qui est une grande réussite sur de nombreux plans
Nathalie Portmann n'interprète pas, elle est littéralement Jackie Kennedy, il n'y a qu'à voir les images d'archives proposées pour s'en convaincre.
Ce film résume la semaine qui a suivi l'assassinat, drame national, mais drame intime également pour Jackie Kennedy qui doit sans cesse trouver sa place entre son immense tristesse et les contraintes institutionnelles.
Courageusement je pense, elle finira par obtenir de suivre le cercueil de son mari lors d'une marche à haut risque, une scène très forte du film.
Parallèlement on assiste déjà à la passation de pourvoir et l'arrivée de Johnson, c'en est presque indécent même si c'est obligatoire.
Le film trouve toujours la bonne articulation entre images d'archives et scènes du film, seul regret comme Aeriale, j'ai trouvé la musique envahissante, c'est dommage.
Et j'ai beaucoup aimé l'acteur interprétant Bobby Kennedy.
Après ce film, je crois que l'on peut dire que personne ne connaissait vraiment Jackie Kennedy, et c'est peut-être mieux ainsi.
Je rejoins eXPie sur ce film qui est une grande réussite sur de nombreux plans
Nathalie Portmann n'interprète pas, elle est littéralement Jackie Kennedy, il n'y a qu'à voir les images d'archives proposées pour s'en convaincre.
Ce film résume la semaine qui a suivi l'assassinat, drame national, mais drame intime également pour Jackie Kennedy qui doit sans cesse trouver sa place entre son immense tristesse et les contraintes institutionnelles.
Courageusement je pense, elle finira par obtenir de suivre le cercueil de son mari lors d'une marche à haut risque, une scène très forte du film.
Parallèlement on assiste déjà à la passation de pourvoir et l'arrivée de Johnson, c'en est presque indécent même si c'est obligatoire.
Le film trouve toujours la bonne articulation entre images d'archives et scènes du film, seul regret comme Aeriale, j'ai trouvé la musique envahissante, c'est dommage.
Et j'ai beaucoup aimé l'acteur interprétant Bobby Kennedy.
Après ce film, je crois que l'on peut dire que personne ne connaissait vraiment Jackie Kennedy, et c'est peut-être mieux ainsi.
darkanny- Messages : 823
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: A l'affiche
merci pour ce commentaire... je vais voir s'il passe par iciAeriale a écrit:-Born to be blue-

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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: A l'affiche
-Rock and roll-

On suit le quotidien de Guillaume Canet. Voilà un acteur bien dans ses baskets, heureux sans sa vie de couple autant que sur les plateaux. Tout semble baigner donc, jusqu'à ce que la jeune comédienne qui a la moitié de son age, censée jouer sa fille dans son dernier film, lui fasse prendre conscience qu'il n'est plus très "rock" et le place dans la catégorie des mecs rangés. Incrédule et piqué au vif, il va tout tenter pour redorer son image.

Une première partie très drôle qui fonctionne parfaitement. Tout est bien vu, Canet pratique l'autodérision avec finesse et nous montre la crise de la quarantaine ressentie côté acteur, ce qui est déjà plus rare. Il y a des moments de franche rigolade, les scènes où Marion Cotillard vit son rôle en québécois en sont. Et des clins d'oeil sympathiques avec la soirée chez Johnny, entre autres. Canet se moque de lui même et du statut d'acteur sans tomber dans le trop plein. On y est totalement, parfois à ne plus distinguer le réel de la fiction.

Mais dans la dernière partie, lorsque la comédie fait place à la parodie et que Canet se transforme, là on a beaucoup plus de mal à y croire; tout devient pesant. Dommage, cette angoisse de la jeunesse qui fout le camp était un beau sujet, mais j'ai l'impression qu'il s'est pris les pieds dans le tapis. De bonnes idées quand même.

On suit le quotidien de Guillaume Canet. Voilà un acteur bien dans ses baskets, heureux sans sa vie de couple autant que sur les plateaux. Tout semble baigner donc, jusqu'à ce que la jeune comédienne qui a la moitié de son age, censée jouer sa fille dans son dernier film, lui fasse prendre conscience qu'il n'est plus très "rock" et le place dans la catégorie des mecs rangés. Incrédule et piqué au vif, il va tout tenter pour redorer son image.

Une première partie très drôle qui fonctionne parfaitement. Tout est bien vu, Canet pratique l'autodérision avec finesse et nous montre la crise de la quarantaine ressentie côté acteur, ce qui est déjà plus rare. Il y a des moments de franche rigolade, les scènes où Marion Cotillard vit son rôle en québécois en sont. Et des clins d'oeil sympathiques avec la soirée chez Johnny, entre autres. Canet se moque de lui même et du statut d'acteur sans tomber dans le trop plein. On y est totalement, parfois à ne plus distinguer le réel de la fiction.

Mais dans la dernière partie, lorsque la comédie fait place à la parodie et que Canet se transforme, là on a beaucoup plus de mal à y croire; tout devient pesant. Dommage, cette angoisse de la jeunesse qui fout le camp était un beau sujet, mais j'ai l'impression qu'il s'est pris les pieds dans le tapis. De bonnes idées quand même.
Aeriale- Messages : 10433
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-Lion-

Avec Dev Patel, Rooney Mara, Nicole Kidman, David Wenham (Top, of the lake) Sunny Pawar
On va dire que c'est du tire larmes, du pathos, ou ce qu'on veut, mais j'en suis sortie quand même bien retournée. D'abord parce que c'est tiré d'un fait réel, celle d'un gamin d'un petit village paumé du Sud de l'Inde qui se perd un soir dans un train en partance vers Calcutta, alors qu'il accompagne son grand frère occupé à chaparder du charbon pour le revendre. C'est son histoire et les acteurs, Dev Patel ( Slumdog millionnaire) et Sunny Pawar (Saroo enfant) sont magnifiques . Mais c'est aussi l'histoire de milliers d'enfants qui disparaissent en Inde chaque année.
Comme le disait une amie, la réalité est ici plus belle que la fiction, et c'est surtout cela qui rajoute de la densité à ce film qui pourrait sans cela n'être juste qu'un mélo. Mais non, On en ressort en se posant des questions, certaines scènes ( celles avec Nicole Kidman entre autres) sont d'une telle justesse qu'elles nous renvoient forcément quelque chose. Tout est dit sans rajouts, tout est filmé superbement, et l'Inde est montrée sous ses deux visages, belle et cruelle. Un joli moment d'humanité, ça fait du bien parfois



Avec Dev Patel, Rooney Mara, Nicole Kidman, David Wenham (Top, of the lake) Sunny Pawar
On va dire que c'est du tire larmes, du pathos, ou ce qu'on veut, mais j'en suis sortie quand même bien retournée. D'abord parce que c'est tiré d'un fait réel, celle d'un gamin d'un petit village paumé du Sud de l'Inde qui se perd un soir dans un train en partance vers Calcutta, alors qu'il accompagne son grand frère occupé à chaparder du charbon pour le revendre. C'est son histoire et les acteurs, Dev Patel ( Slumdog millionnaire) et Sunny Pawar (Saroo enfant) sont magnifiques . Mais c'est aussi l'histoire de milliers d'enfants qui disparaissent en Inde chaque année.
Comme le disait une amie, la réalité est ici plus belle que la fiction, et c'est surtout cela qui rajoute de la densité à ce film qui pourrait sans cela n'être juste qu'un mélo. Mais non, On en ressort en se posant des questions, certaines scènes ( celles avec Nicole Kidman entre autres) sont d'une telle justesse qu'elles nous renvoient forcément quelque chose. Tout est dit sans rajouts, tout est filmé superbement, et l'Inde est montrée sous ses deux visages, belle et cruelle. Un joli moment d'humanité, ça fait du bien parfois



Aeriale- Messages : 10433
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche

Flippant, très bien mis en scène, ce thriller psychologique nous emmène au plus profond d'un être perturbé par une dissociation multiple d'identités.
Il compte 23 personnalités différentes, mais la 24ème semble sur le point de se manifester....
ça fait longtemps que je n'avais pas été scotchée sur mon siège.
A conseiller pour les amateurs du genre.
Dernière édition par darkanny le Dim 26 Fév - 13:50, édité 2 fois
darkanny- Messages : 823
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: A l'affiche
Pareil !
Prise du début à la fin !
Prise du début à la fin !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6605
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : *CabanCouette*
Re: A l'affiche
J'en suis encore toute imprégnée
darkanny- Messages : 823
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: A l'affiche
Oui, il est carrément flippant, les amateurs ne seront pas déçus! Et au moment où ça part un peu en live (j'avoue, j'avais presque envie de sourire vers la fin, même si c'est hyper prenant. Un réflexe, peut être?) le truc qui fait que...hop, on revient vers quelque chose de bien plus subtil et profond. Les blessures de la vie, ce lien qui unit les abimés et les écorchés de tous bords.darkanny a écrit:
Flippant, très bien mis en scène, ce thriller psychologique nous emmène au plus profond d'un être perturbé par une dissociation multiple d'identités.
Il compte 23 personnalités différentes, mais la 24ème semble sur le point de se manifester....
ça fait longtemps que je n'avais pas été scotchée sur mon siège.
A conseiller pour les amateurs du genre.
Vraiment une belle chute, bien vu mr Shyamalan, même si Le sixième sens reste encore loin devant!
L'acteur principal, James McAvoy, est vraiment fascinant de monstruosité


Aeriale- Messages : 10433
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-Paula-

Je ne voulais pas le rater, j'avais adoré la découverte de cette peintre l'été dernier, lors de l'expo qui lui était consacrée au Musée d'art Moderne. Une femme aux oeuvres très émouvantes, la première à se voir attribuer un musée à son nom, mais aussi au destin tragique qui dû lutter pour imposer son art, et n'y arrivant que trop tard, hélas.
Je redoutais un peu le côté académique des biopics, mais la rebelle que fût Paula Modershon Becker pouvait laisser penser qu'on s'en éloignerait! C'est moyennement le cas, même si Paula garde son mystère. J'ai été surprise par la relation avec Rilke dans le film, que je croyais plus forte, et qui n'est pas assez soulignée.
Un bon moment quand même, surtout pour les adeptes de l'artiste. @Arabella, vas le voir, on ne s'ennuie pas non plus et Carla Juri est parfaite dans ce rôle!


Je ne voulais pas le rater, j'avais adoré la découverte de cette peintre l'été dernier, lors de l'expo qui lui était consacrée au Musée d'art Moderne. Une femme aux oeuvres très émouvantes, la première à se voir attribuer un musée à son nom, mais aussi au destin tragique qui dû lutter pour imposer son art, et n'y arrivant que trop tard, hélas.
Je redoutais un peu le côté académique des biopics, mais la rebelle que fût Paula Modershon Becker pouvait laisser penser qu'on s'en éloignerait! C'est moyennement le cas, même si Paula garde son mystère. J'ai été surprise par la relation avec Rilke dans le film, que je croyais plus forte, et qui n'est pas assez soulignée.
Un bon moment quand même, surtout pour les adeptes de l'artiste. @Arabella, vas le voir, on ne s'ennuie pas non plus et Carla Juri est parfaite dans ce rôle!

Aeriale- Messages : 10433
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Je l'ai déjà vu, @Aeriale, à l'occasion du festival du cinéma allemand à Paris, à l'automne. J'espère retrouver mon com quelque part.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4646
Date d'inscription : 29/11/2016
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