Andrus Kivirähk
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Andrus Kivirähk

Andrus Kivirähk est un écrivain estonien né en 1970 à Tallinn.
Phénomène littéraire dans son pays, journaliste et essayiste, son œuvre importante suscite l’enthousiasme d’un très large public qui raffole de ses histoires.
Il écrit des romans et des nouvelles, des pièces de théâtres, des textes et des scénarios de films d’animation pour enfants.
Source : Editeur
Bibliopgraphie
2013 L'homme qui savait la langue des serpents
2014 Les groseilles de novembre : Chronique de quelques détraquements dans la contrée des kratts
2017 Le papillon
Dernière édition par Kenavo le Lun 23 Jan - 8:21, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Andrus Kivirähk

Le bâtiment Jugendstil a été conçu par les architectes finlandais Armas Lindgren et Wivi Lönn. Il a été construit comme un effort national avec la direction de la société estonienne en 1913 et a été ouvert au public le 24 août. À l'époque, c'était le plus grand bâtiment à Tallinn
source: Wikipédia
Editeur a écrit:Le Papillon est le premier roman d’Andrus Kivirähk, et le résultat inattendu d’un travail qu’il menait initialement sur l’histoire du théâtre estonien. Emporté par son sujet, l’auteur a abandonné en cours de route son étude pour en incorporer les éléments à un roman mêlant l’histoire et l’imaginaire. On retrouve dans ce texte des comédiens ayant réellement existé, mais aussi les premières manifestations de l’imagination intense de l'écrivain (on y découvre notamment des femmes oiseaux, un comédien loup-garou ou encore un chien incarnant La Mort). Mais ce qui rend le livre si attachant et particulier dans l’œuvre de Kivirähk, c’est avant tout sa beauté mélancolique. Le peuple estonien a principalement vécu, du Moyen Âge jusqu’à l’écroulement de l’URSS, une existence placée sous le signe de l’oppression et des invasions. Durant près d’un millénaire, il n'a connu l’indépendance qu’au vingtième siècle, au cours de la parenthèse dorée de l’Entre-deux-guerres. En mettant en scène une troupe de comédiens qui connaîtra l’avènement et la fin de cette parenthèse, Andrus Kivirähk dresse le portrait émouvant de gens simples, courageux et résistants, dressant leur humanité comme seul rempart à la barbarie.
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George Gershwin
Re: Andrus Kivirähk

Le Papillon
Lors de la parution de L'homme qui savait la langue des serpents d’Andrus Kivirähk, impossible de passer à côté, partout on pouvait lire des commentaires dithyrambiques.Présentation de l’éditeur
Estonie, début du XXe siècle. Un soir, au sortir de l’usine dans laquelle il travaille, August rencontre par hasard le directeur du théâtre l’Estonia. Il quitte son emploi d’ouvrier et intègre la troupe, qui s’avère aussi loufoque qu’hypersensible : Pinna, le fondateur, les comédiens Alexander, Eeda, Sällik, Oskar… mais aussi Erika, sa future femme, qui rejoint le théâtre peu de temps après lui. Elle symbolisera le Papillon, l’emblème du théâtre, en lui insufflant la légèreté dont le début de siècle prive le pays. Les planches de l’Estonia sont bientôt le seul lieu où la liberté et l’amour peuvent encore résonner, où les rires de l’amitié, les jeux et l’espièglerie ont encore leur place. Mais le théâtre, comme le papillon, est gracile : la brutale réalité du monde s’y invite, et, aux alentours, le chien gris qui la représente rôde et menace de soumettre cette troupe de rêveurs solidaires à la violence, à la séparation et à la mort.
J’avais noté son nom, mais sans l’urgence d’aller voir de plus près.
Cela a changé naturellement avec ce titre… et cette couverture.
En plus le sujet me tentait et le fait qu’il s’agit de son premier roman est un bon moyen de suivre sa bibliographie.
Le monde du théâtre est fascinant… et m’attire depuis longtemps.
Dans ce roman on rencontre tout plein de personnages, haut en couleurs, et c’est réjouissant.
Le narrateur raconte sublimement l’histoire de cette troupe et Andrus Kivirähk mélange réalité et fiction avec un brin d’imagination qu’on reconnaît bien si on aime la littérature de l’Est.
Première rencontre avec cet auteur où j’ai découvert un fabulateur qui me donne envie de poursuivre l’aventure.
le début du roman
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George Gershwin
Re: Andrus Kivirähk
Merci pour ce commentaire, il me donne bien envie !
eXPie- Messages : 765
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Andrus Kivirähk
Ah oui, moi aussi!
J'avais déjà hésité pour L'homme qui savait parler la langue des serpents (On vient d'en parler à propos de la couverture) mais celui ci me tente encore plus!
Merci Kena, je regarderai de près :-)
J'avais déjà hésité pour L'homme qui savait parler la langue des serpents (On vient d'en parler à propos de la couverture) mais celui ci me tente encore plus!
Merci Kena, je regarderai de près :-)
Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Andrus Kivirähk
je ne peux que vous encourager de prendre place dans ce beau théâtre, l'Estonia, et vous laisser divertir par cette troupe d'acteurs 

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George Gershwin
Re: Andrus Kivirähk
J'ai eu l'oeil attiré par le papillon coloré de la couverture et à la lecture de ton commentaire, Kenavo, j'ai très envie de découvrir ce roman ... 

Invité- Invité
Re: Andrus Kivirähk
L'homme qui parlait la langue des serpents
J'ai passé vraiment un très bon moment de lecture. J'ai trouvé le livre drôle et triste, inventif et bien construit. Je l'ai surtout pris pour un conte philosophique, et donc pas forcément réaliste, redondant par moments évidement, cela fait partie du genre, de même que l'écriture faussement naïve, jouant sur le second degré. Je ne sais pas si c'est un "grand livre", mais encore une fois un livre qui procure un indéniable plaisir et qui fait réfléchir aussi. Cela a été bien suffisant pour moi.
J'ai passé vraiment un très bon moment de lecture. J'ai trouvé le livre drôle et triste, inventif et bien construit. Je l'ai surtout pris pour un conte philosophique, et donc pas forcément réaliste, redondant par moments évidement, cela fait partie du genre, de même que l'écriture faussement naïve, jouant sur le second degré. Je ne sais pas si c'est un "grand livre", mais encore une fois un livre qui procure un indéniable plaisir et qui fait réfléchir aussi. Cela a été bien suffisant pour moi.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4745
Date d'inscription : 29/11/2016
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