nouveautés - grand format
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Re: nouveautés - grand format
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4791
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Re: nouveautés - grand format
Sortie prévue le 19 août chez Albin Michel, le nouveau Colson Whitehead, Nickel Boys. Déjà lauréat du Prix Pulitzer en 2017 pour Underground Railroad, coup double avec ce nouveau roman !
Dans la Floride ségrégationniste des années 1960, le jeune Elwood Curtis prend très à cœur le message de paix de Martin Luther King. Prêt à intégrer l’université pour y faire de brillantes études, il voit s’évanouir ses rêves d’avenir lorsque, à la suite d’une erreur judiciaire, on l’envoie à la Nickel Academy, une maison de correction qui s’engage à faire des délinquants des « hommes honnêtes et honorables ». Sauf qu’il s’agit en réalité d’un endroit cauchemardesque, où les pensionnaires sont soumis aux pires sévices. Elwood trouve toutefois un allié précieux en la personne de Turner, avec qui il se lie d’amitié. Mais l’idéalisme de l’un et le scepticisme de l’autre auront des conséquences déchirantes.
Couronné en 2017 par le prix Pulitzer pour Underdground Railroad puis en 2020 pour Nickel Boys, Colson Whitehead s’inscrit dans la lignée des rares romanciers distingués à deux reprises par cette prestigieuse récompense, à l’instar de William Faulkner et John Updike. S’inspirant de faits réels, il continue d’explorer l’inguérissable blessure raciale de l’Amérique et donne avec ce nouveau roman saisissant une sépulture littéraire à des centaines d’innocents, victimes de l’injustice du fait de leur couleur de peau.
« Le roman de Colson Whitehead est une lecture nécessaire. Il détaille la façon dont les lois raciales ont anéanti des existences et montre que leurs effets se font sentir encore aujourd’hui. » Barack Obama
Dans la Floride ségrégationniste des années 1960, le jeune Elwood Curtis prend très à cœur le message de paix de Martin Luther King. Prêt à intégrer l’université pour y faire de brillantes études, il voit s’évanouir ses rêves d’avenir lorsque, à la suite d’une erreur judiciaire, on l’envoie à la Nickel Academy, une maison de correction qui s’engage à faire des délinquants des « hommes honnêtes et honorables ». Sauf qu’il s’agit en réalité d’un endroit cauchemardesque, où les pensionnaires sont soumis aux pires sévices. Elwood trouve toutefois un allié précieux en la personne de Turner, avec qui il se lie d’amitié. Mais l’idéalisme de l’un et le scepticisme de l’autre auront des conséquences déchirantes.
Couronné en 2017 par le prix Pulitzer pour Underdground Railroad puis en 2020 pour Nickel Boys, Colson Whitehead s’inscrit dans la lignée des rares romanciers distingués à deux reprises par cette prestigieuse récompense, à l’instar de William Faulkner et John Updike. S’inspirant de faits réels, il continue d’explorer l’inguérissable blessure raciale de l’Amérique et donne avec ce nouveau roman saisissant une sépulture littéraire à des centaines d’innocents, victimes de l’injustice du fait de leur couleur de peau.
« Le roman de Colson Whitehead est une lecture nécessaire. Il détaille la façon dont les lois raciales ont anéanti des existences et montre que leurs effets se font sentir encore aujourd’hui. » Barack Obama
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Lire nuit gravement à la bêtise !
Nightingale- Messages : 2694
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Re: nouveautés - grand format
ah oui, la version anglaise m'attend
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Re: nouveautés - grand format
J'en ai entendu parler à plusieurs reprises.
J'attends vos retours, je n'avais pas lu son premier, d'ailleurs.
J'attends vos retours, je n'avais pas lu son premier, d'ailleurs.
Aeriale- Messages : 11439
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: nouveautés - grand format
noté, merci pour l'info
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Re: nouveautés - grand format
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: nouveautés - grand format
Friedrich Dürrenmatt : Oeuvres complètes - Tome 1, La Promesse ; La Panne ; Le Juge et son bourreau ; Le Soupçon.
Cette année, c'est le centenaire Dürrenmatt !
Il aurait pu entrer en Pléiade, mais non. Enfin, si ça avait été le cas, il n'aurait sans doute pas eu une préface d'Amélie Nothomb (si, si).
J'espère que c'est vraiment le premier volume de ses oeuvres complètes, avec toutes les pièces de théâtre, et ses nouvelles, et pas "seulement" ses romans.
S'ils pouvaient aussi mettre pas mal de ses oeuvres picturales, ça serait encore mieux.
Cette année, c'est le centenaire Dürrenmatt !
Il aurait pu entrer en Pléiade, mais non. Enfin, si ça avait été le cas, il n'aurait sans doute pas eu une préface d'Amélie Nothomb (si, si).
J'espère que c'est vraiment le premier volume de ses oeuvres complètes, avec toutes les pièces de théâtre, et ses nouvelles, et pas "seulement" ses romans.
S'ils pouvaient aussi mettre pas mal de ses oeuvres picturales, ça serait encore mieux.
eXPie- Messages : 776
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: nouveautés - grand format
ah tiens... bonne occasion de le lire... je le remets dans mes projets de lectureseXPie a écrit:Cette année, c'est le centenaire Dürrenmatt !
eXPie a écrit:Il aurait pu entrer en Pléiade, mais non. Enfin, si ça avait été le cas, il n'aurait sans doute pas eu une préface d'Amélie Nothomb (si, si).
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Re: nouveautés - grand format
Quelques parutions très prochaines qui me font envie :
La Fin de Casanova, pièce majeure du théâtre de Marina Tsvétaïéva (1892-1941), l'une des poètesse de langue russe les plus exceptionnels, a été composée en 1919, juste avant l’exil en Tchécoslovaquie, puis en France.
C'est l'histoire d'un adieu, l’histoire d'une passion, écrite dans une langue brûlante, à la limite extrême de la rupture – une méditation lyrique sur la mort et l'amour impossible.
Pour la première fois traduite dans le respect de sa forme, cette pièce tragique est tout à la fois l’un des sommets de la poésie de Marina Tsvétaïéva et une œuvre dramatique dont la force éclate à l’épreuve de la scène.
Edna O’Brien n’a jamais caché que James Joyce lui avait ouvert les portes de la littérature. Vibrant hommage à un « mec funnominal » – mot emprunté à Joyce – et à son stupéfiant corps-à-corps avec la langue, James & Nora retrace la vie de l’artiste en couple, depuis sa rencontre à Dublin en juin 1904 avec une belle fille de la campagne originaire de Galway, Nora Barnacle, jusqu’à sa mort, en 1941. Leur fuite en Italie, la naissance de leurs enfants, leur misère matérielle, leur flamboyante vie sexuelle, et aussi leurs deux solitudes, Edna O’Brien les concentre en autant de fulgurants instantanés.
Dans une passionnante postface, Pierre-Emmanuel Dauzat, son traducteur, éclaire sa proximité avec l’écriture réputée si complexe de James Joyce. Le « yiddish de Joyce », ce creuset de langues – dix-sept – qu’il écrivait toutes en anglais, serait « plus familier à Edna O’Brien qu’à d’autres lecteurs européens pour une raison évidente : elle connaît la prononciation de l’anglais dans les différentes régions de l’Irlande […] et pratique aussi, comme une seconde langue maternelle (pourquoi n’y en aurait-il qu’une ?), l’anglais irlandais. »
De fait, ce volume si bref se déploie telle une étoffe précieuse miroitant en d’infinis reflets, dont chacun est une nouvelle invitation à la lecture.
Vers la fin du IIIᵉ millénaire av. J.-C., des cavaliers-migrateurs, venus peut-être du sud de la Russie, submergèrent par vagues successives la majeure partie du continent européen et poussèrent jusqu'aux confins de l'Inde. À ces conquérants, qui parlaient approximativement la même langue, on a attribué par convention le nom d'Indo-Européens. Ils partageaient une vision du monde tripartite - le système des trois fonctions - où s'articulent, selon un ordre hiérarchique : la souveraineté magique et juridique (la première fonction) ; la force physique et principalement guerrière (la deuxième fonction) ; la richesse tranquille et féconde (la troisième fonction). Ainsi ces très lointains ancêtres se fondaient-ils sur une conception de la société qui distingue en les hiérarchisant les prêtres, les guerriers et les éleveurs-agriculteurs.Mythe et Épopée est consacré aux usages littéraires et non pas théologiques ou religieux que les principaux peuples indo-européens ont faits de leur commun héritage. Car si la structure des trois fonctions se présente d'abord comme une machine à faire les dieux, elle se révèle aussi être un formidable instrument de fabrication d'histoires. Pas uniquement de mythes, mais de récits profanes, de légendes, d'épopées, de contes où les dieux et les hommes s'en vont par trois.
Étudiant boursier à Oxford, Eustache Sherrington doit apprendre à concilier ses études et les joyeuses soirées entre amis. Sa sœur Hilda est devenue directrice d’une clinique. Sa réussite, sa beauté et jusqu’à son étrangeté fascinent les camarades d’Eustache.
Quand Dick Staveley, qu’ils n’ont pas revu depuis l’enfance, les invite à passer le week-end chez ses parents à Anchorstone, Eustache s’inquiète de l’image qu’ils renverront aux autres invités – Hilda si solide, et lui si fragile… Alors qu’il n’aspirait qu’à se promener sur la plage, Hilda part faire un tour en avion avec Dick. « Avez-vous toujours cet air-là quand vous expédiez votre sœur dans le néant ? » plaisante lady Nelly, la charmante tante de Dick, en observant le décollage. Deuxième tome de la trilogie Eustache & Hilda, Le Sixième Ciel nous conduit dans le labyrinthe de la personnalité d’Eustache, qui contient autant de portes que la propriété des Staveley. À la lueur d’une bougie, on le suit dans l’obscurité des couloirs, scrutant avec curiosité les personnages qui gravitent autour de cette figure de proue qu’est Hilda.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: nouveautés - grand format
L'appétit t'est revenu!
Le dernier me dit bien. Je voulais déjà lire Le messager de lui et je ne l'ai pas fait. Celui ci parait édité chez Quai Voltaire, non? (j'aime bien cette maison d'édition)
Le dernier me dit bien. Je voulais déjà lire Le messager de lui et je ne l'ai pas fait. Celui ci parait édité chez Quai Voltaire, non? (j'aime bien cette maison d'édition)
Aeriale- Messages : 11439
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: nouveautés - grand format
il s'agit du deuxième tome de la trilogie dont on voulait lire le 1er, La Crevette et l’anémone, en lecture commun (juin/juillet)Aeriale a écrit:Le dernier me dit bien. Je voulais déjà lire Le messager de lui et je ne l'ai pas fait. Celui ci parait édité chez Quai Voltaire, non? (j'aime bien cette maison d'édition)
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Re: nouveautés - grand format
Oui, il vaut mieux commencer par le premier tome. Je ne sais pas trop quand est prévu le troisième. C'est au Petit Quai Voltaire, leur collection semi-poche, pas très chère.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: nouveautés - grand format
piste de lecture pour @Nightingale ?
Guy Boley, Funambule majuscule: Lettre à Pierre Michon suivie de Réponse de Pierre Michon
Guy Boley, Funambule majuscule: Lettre à Pierre Michon suivie de Réponse de Pierre Michon
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Re: nouveautés - grand format
kenavo a écrit:piste de lecture pour @Nightingale ?
Guy Boley, Funambule majuscule: Lettre à Pierre Michon suivie de Réponse de Pierre Michon
C'est gentil de penser à moi @kenavo.... Déjà lu !
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Nightingale- Messages : 2694
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