Nos lectures en cours

Pareil, on m'en a dit du bien.
Je l'ai d'ailleurs en extrait sur ma liseuse je crois.

Je suis dans "La disparition de Josef Mengele" d'Olivier Guez, prix Renaudot 2017.
C'est très bien, assez édifiant sur cette période des années 60 où les recherches pour retrouver les nazis qui avaient trouvé refuge en Amérique du sud s'activaient.

Je commence L'un des nôtres, de Willa Cather

Je viens de terminer Frères d'âme de David Diop (des avis ?). Je vais me lancer dans la lecture de Le triomphe de Thomas Zins de Matthieu Jung (pour le prix des lecteurs Points).

ekivhoc a écrit:Je viens de terminer Frères d'âme de David Diop (des avis ?). Je vais me lancer dans la lecture de Le triomphe de Thomas Zins de Matthieu Jung (pour le prix des lecteurs Points).

Je ne connais ni l'un ni l'autre mais je suis curieuse.

domreader a écrit:

ekivhoc a écrit:Je viens de terminer Frères d'âme de David Diop (des avis ?). Je vais me lancer dans la lecture de Le triomphe de Thomas Zins de Matthieu Jung (pour le prix des lecteurs Points).

Je ne connais ni l'un ni l'autre mais je suis curieuse.

dito

ekivhoc a écrit:Je viens de terminer Frères d'âme de David Diop (des avis ?). Je vais me lancer dans la lecture de Le triomphe de Thomas Zins de Matthieu Jung (pour le prix des lecteurs Points).

Le David Diop était sur la liste des 4 finalistes du Goncourt, j'imagine qu'il doit être plutôt réussi, mais pas lu!

Tu nous diras @ekivhoc?

Pas eu le temps de lire beaucoup cette semaine passée, mais j'ai enfin fait un peu connaissance avec l'adjudant Guarnaccia dans Le gentleman florentin

L'hiver du mécontentement, de Reverdy : c'est rock, c'est punk, c'est Shakespeare, c'est la fin des années 70 à Londres, c'est Candice qui fonce sur son vélo, et comble les silences et la solitude de musique. C'est des questionnements sur le pouvoir, sur la folie, sur l'amour.

C'est excellent !

@Aeriale Oui, je vais essayer. Mais comme j'ai quelques interrogations sur la dernière partie du roman, j'aurais voulu avoir des avis divers pour clarifier un peu tout ça...

Aeriale a écrit:mais j'ai enfin fait un peu connaissance avec l'adjudant Guarnaccia dans Le gentleman florentin

j'espère que tu vas passer un bon moment avec lui...

Queenie a écrit:L'hiver du mécontentement, de Reverdy : c'est rock, c'est punk, c'est Shakespeare, c'est la fin des années 70 à Londres, c'est Candice qui fonce sur son vélo, et comble les silences et la solitude de musique. C'est des questionnements sur le pouvoir, sur la folie, sur l'amour.

C'est excellent !

cela donne envie tout ça

Je continue la pentalogie d'Aki Shimazaki, et puis tiens, je vais en profiter pour la terminer. Allez hop ! Tsubame, suivi de Wasurenagusa, puis Hotaru dans la foulée !

Nightingale a écrit:Je continue la pentalogie d'Aki Shimazaki, et puis tiens, je vais en profiter pour la terminer. Allez hop ! Tsubame, suivi de Wasurenagusa, puis Hotaru dans la foulée !

J'ai lu récemment Tsubaki et j'ai beaucoup aimé, je vais sûrement faire comme toi, continuer la pentalogie !

Après un bon moment avec L'échelle de Jacob de Lioudmila Oulitskaïa je n'ai pas eu envie de quitter la Russie,
je poursuis avec Zouleikha ouvre les yeux de Gouzel Iakhina et ça s'annonce bien !

silou a écrit:Après un bon moment avec L'échelle de Jacob de Lioudmila Oulitskaïa je n'ai pas eu envie de quitter la Russie,
je poursuis avec Zouleikha ouvre les yeux de Gouzel Iakhina et ça s'annonce bien !

Les deux sont dans mes piles, j'espère un jour trouver le temps de les lire...

Oh Zoueikha ! J'ai adoré !

Nightingale a écrit:Je continue la pentalogie d'Aki Shimazaki, et puis tiens, je vais en profiter pour la terminer. Allez hop ! Tsubame, suivi de Wasurenagusa, puis Hotaru dans la foulée !

Liseron a écrit:

Nightingale a écrit:Je continue la pentalogie d'Aki Shimazaki, et puis tiens, je vais en profiter pour la terminer. Allez hop ! Tsubame, suivi de Wasurenagusa, puis Hotaru dans la foulée !

J'ai lu récemment Tsubaki et j'ai beaucoup aimé, je vais sûrement faire comme toi, continuer la pentalogie !

 l'effet Aki Shimazaki auquel on ne peut pas résisiter