Vendela Vida
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Vendela Vida
Vendela Vida est une journaliste et écrivaine américaine née à San Francisco le 6 septembre 1971.
Elle est rédactrice en chef de la revue littéraire The Believer. Elle tient une librairie à San Francisco : 826 Valencia.
Elle est l'épouse de l'écrivain Dave Eggers.
source et suite
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Re: Vendela Vida
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The Diver's Clothes Lie Empty / Les habits du plongeur abandonnés sur le rivage
Pour bon nombre de lecteurs et certainement pour beaucoup d’Américains, mentionner seulement le mot « Maroc » donne encore aujourd’hui l’idée de Paul Bowles. Et ainsi Vendela Vida le mentionne aussi… et naturellement j’ai dû penser à son Thé au Sahara.
Le périple que son héroïne va vivre n’est pas aussi extraordinaire, mais il y a quand même tout plein de mouvements, changements et de belles actions dans ce roman.
La jeune femme (qui change autant de fois de nom qu’on oubli celui du début en cours de route) est par moment paranoïaque, surmenée, lucide, pleine de ressource… après ce premier malheur de perdre passeport et argent, elle va se débrouiller à merveille et on y passe un très bon moment à suivre son séjour inhabituel au Maroc.
The Diver's Clothes Lie Empty / Les habits du plongeur abandonnés sur le rivage
Je dois avouer, le titre et la couverture de la version française m’ont tenté… et même si je ne suis pas enthousiaste à 100%, cette aventure rocambolesque était quand même assez divertissante pour mériter un petit commentaire.Présentation de l’éditeur
Comment prouver qui on est lorsqu'on se retrouve seul à l'étranger et qu'on se fait voler tous ses effets personnels ? C'est le cauchemar auquel est confrontée l'héroïne du nouveau roman de Vendela Vida, en voyage à Casablanca.
Endossant d'abord, faute de mieux, l'identité d'une autre Américaine dont la police marocaine lui a rendu par erreur le passeport, elle est embauchée pour remplacer au pied levé la doublure d'une actrice en tournage dans son hôtel. Affublée d'une perruque et d'un nouveau nom, la jeune femme se voit alors embarquer dans un étrange et vertigineux voyage intérieur qui l'amène à se replonger dans les circonstances douloureuses de son départ des Etats-Unis...
Avec ce magnifique personnage de femme blessée qui cherche à s'affranchir du passé, Vendela Vida continue d'explorer le thème de l'identité et signe un livre envoûtant, entre comédie rocambolesque, roman à suspense et drame psychologique.
Pour bon nombre de lecteurs et certainement pour beaucoup d’Américains, mentionner seulement le mot « Maroc » donne encore aujourd’hui l’idée de Paul Bowles. Et ainsi Vendela Vida le mentionne aussi… et naturellement j’ai dû penser à son Thé au Sahara.
Le périple que son héroïne va vivre n’est pas aussi extraordinaire, mais il y a quand même tout plein de mouvements, changements et de belles actions dans ce roman.
La jeune femme (qui change autant de fois de nom qu’on oubli celui du début en cours de route) est par moment paranoïaque, surmenée, lucide, pleine de ressource… après ce premier malheur de perdre passeport et argent, elle va se débrouiller à merveille et on y passe un très bon moment à suivre son séjour inhabituel au Maroc.
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