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Message par Queenie Ven 16 Juin - 8:04

Je me doute que pas beaucoup dans le coin vont aller le voir. 
Je suis le quota blockbuster de ce forum !

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Message par Arabella Ven 16 Juin - 8:41

Voilà, nous savons au moins que cela existe. grin

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Message par Arabella Lun 19 Juin - 23:41

J'ai vu la version longue de Fantômes d'Ismaël et j'ai encore plus aimé. Les relations du trio (Ismaël et ses femmes) en devient un peu plus à l'arrière plan, en revanche les relations entre Ismaël et son frère, sa famille, et Bloom sont plus précises. Cela donne un autre sens au film, et au travail de cinéaste d'Ismaël.

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Message par domreader Mar 20 Juin - 14:49

Ce Qui Nous Lie
Cedric Klapisch

A l'affiche - Page 9 Lie10

Voir un Klapisch me fait toujours du bien ou presque et ce dernier film a en plus pour contexte la vigne, le vin.

Un fils revient au bercail depuis l'Australie sans avoir repris contact avec sa famille depuis près de dix ans. Le bercail c'est un domaine viticole en Bourgogne, et la famille c'est une soeur et un frère cadet. Le père est très malade, et le problème de la transmission du domaine va se poser brutalement alors que les vendanges s'annoncent, que Jean le frère aîné n'a pas encore vraiment renoué avec sa fratrie et que son couple est en danger à quelques milliers de kilomètres.

Ce n'est pas du grand cinéma certes, mais c'est un film sympathique facile à regarder, si on fait abstraction de quelques défauts, quelques scènes stétéotypées et une belle famille caricaturale. Mais la vigne y est bien mise en scène au fil des saisons et on partage quelques unes des préoccupations des vignerons.

A voir dans une salle climatisée un soir où l'on est fatigué. En tous les cas c'est une vraie rupture avec la sinistrose cannoise.

PS: Après le film j'ai eu droit à une dégustation de bourgogne. C'était bien aussi !

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Message par Aeriale Ven 23 Juin - 16:22

-Ce qui nous lie-

Comme @Domreader, j'avais envie de le voir car après quelques loupés, plutôt l' envie de me faire du bien avec un film sympathique accessible à tous. Et les films de Klapisch le sont forcément.

Cette fois le cinéaste aborde un sujet un peu différent,  il a pris de la bouteille dirons nous, et ce sont les problèmes du patrimoine familial, ce que l'on transmet et ce qu'il nous en reste,  les rapports dans la fratrie  etc, sur lesquels il se penche.

C'est bien vu, rien à dire du côté des acteurs, tous les trois très bien dans leur rôle, avec une mention spéciale pour Ana Girardot qui fait évoluer son personnage avec finesse et de jolies émotions. La campagne bordelaise est magnifiquement filmée et donne très envie, des plans inventifs et une belle lumière. Surtout on en apprend un max sur le vin.

Quelques scènes drôles (j'ai bien ri à la "mise au point" pas trop précisée de Jeremy avec son beau père) d'autres chaleureuses et tendres, on rentre sans problème dans le sujet. Par contre j'ai trouvé que cela manquait de rythme, ou d'idées, surtout vers la fin. Une demi heure en moins aurait resséré le propos, je ne comprendrai jamais pourquoi les metteurs en scène en rajoute toujours. Bref, un bon moment de détente sans prise de tête et au frais, ça ne se refuse pas, même s'il va moins me marquer que ses autres :-)

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Message par Arabella Ven 23 Juin - 21:57

Nothingwood / Sonia Kronlund


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Le film est un documentaire, consacré à Salim Shaheen, un réalisateur afghan, qui a réalisé plus de 100 films, il ne sait pas lui-même combien au juste. Des extraits de ses films se mélangent au film, à certains moments on se pose la question, dans quel film nous sommes. D'autant plus que nous suivons Salim Shaheen sur des tournages (il tourne plusieurs films en même temps). Des films faits avec des moyens très réduits, sans véritables professionnels qui interviennent dans les tournages. Certains "acteurs" payent même pour tourner avec lui, et il fait tourner ses 8 fils. La principale source d'inspiration du réalisateur afghan est le cinéma indien, le fameux Bollywood, qui l'a passionné dès son enfance, et qu'il a voulu imiter. Avec très peu de moyens. Ses films sont populaires en Afghanistan, et il est très connu et apprécié.

Le personnage central crève l'écran, entouré d'une équipe inénarrable, entre un nain, un acteur efféminé, bref une sorte de cour de miracles. Tout cela a des allures de grosse farce, d'autant que les extraits de films présentés, entre action invraisemblable, chansons kitchs avec peu de moyens, et l'improvisation totale. Et en regard, il y a la guerre, les morts dans les attentats, le parcours de Salim Shaheen lui-même, enrôlé de force à 17 ans dans l'armée afghane pour combattre les talibans.

Les films qu'il tourne peuvent sembler dérisoires en regard de ce qui vit le pays, et de ce qu'il a vécu lui-même, mais ils semblent essentiels pour le personnage, être sa raison d'exister, sa façon d'affronter le réel. Même s'il échappe un peu à la réalisatrice, et qu'il n'arrête jamais de jouer un personnage, dont j'ai quand même eu la sensation qu'il gardait sa part de mystère derrière les gesticulations. Il m'a au final manqué un petit quelque chose pour me donner le sentiment d'avoir vraiment exploré à fond le bonhomme. Un peu d'émotion peut être. Là on reste à un pittoresque certes sympathique et amusant, mais auquel il manque un peu de profondeur et de perspective.

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Message par Arabella Ven 23 Juin - 22:23

Aeriale a écrit:-L'amant d'un jour-


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Autant le dire de suite, il ne se passe pas grand chose dans ce film de Philippe Garrel. Jeanne entretient une liaison cachée avec son prof de philo à la fac, Gilles. Ariane, la fille de Gilles, est désespérée car son chéri Mattéo l'a mise à la porte. elle se réfugie donc chez son père. De là, une complicité s'établit rapidement entre les deux filles du même age. 

Voilà pour l'essentiel, le reste est surtout fait d'échanges entre les personnages (peu d'acteurs en fait) de réflexions sur la fidélité, l'amour ou ce qu'il représente, le couple en général et ce besoin de s'épanouir au travers, quitte à. 

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Rien d'extrêmement novateur, une ambiance années 60 et des intérieurs très simples éliminant tout effet enjolivant. Les acteurs sont filmés sans maquillage, au lever, décoiffés et un peu foutraques, au plus près des visages souvent, rien n'échappe au cinéaste, rien n'est laissé au hasard dans ce semblant de laisser aller. Le noir et blanc accentue bien sûr cette impression d'être au plus près des choses, aucun aspect superfétatoire n'est visible. C'est délivré brut de décoffrage, y compris dans les scènes de sexe bien sûr, et les dialogues, s'ils disent des choses essentielles, le font simplement mais toujours avec élégance.

C'est ce qui m'a plu sans doute? cette authenticité dénuée de forfanterie, cette touche particulière à contre courant de ce qui se filme souvent à gros effets de sonorités et de couleurs (à laquelle je peux être pourtant très sensible aussi) L'exact opposé de L'amant double surchargé de symboles et perdu dans sa démonstration. Ici tout est clair, même si les méandres amoureux le sont moins. Surprenant et totalement banal à la fois :-)

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Et mention spécial à Esther Garrel qui a le regard noir profond et bourré de malice de son grand frère. Eric Caravaca quant à lui est parfait, sobre à souhait :-) 

NB: Impossible à conseiller, je comprends qu'on puisse s'y ennuyer à mourir, mais sans doute @Arabella y serait sensible aussi? Un petit côté Rohmer en moins abouti.



Un professeur de philo a une liaison avec une de ses étudiantes, qu'ils cachent à l'université, même s'ils vivent ensemble depuis trois mois. La fille de Gilles, Jeanne,  vient un jour frapper à la porte, mise à la porte par son homme. Elle est désespérée, et elle a du mal à tourner la page. Elle a le même âge qu'Ariane, la nouvelle compagne de son père, après un début un peu chaotique elles sympathisent, même si elles sont très différentes, en particulier dans leurs façons d'envisager les rapports avec les hommes. Car comme dans beaucoup de films de Philippe Garrel, c'est de cela qu'il est question, comment vivre les rapports amoureux, les rapports à l'autre si différent, qu'il semble d'une autre espèce.

Un opus très réussi dans l'oeuvre de Philippe Garel, qui semble de plus en plus épurer, aller vers l'essentiel, le plus simple, mais qui est aussi le plus juste. Les acteurs sont parfaits, et filmés d'une façon sublime, très près des visages, des expressions, de l'émotion. Le trio principal fonctionne comme par magie. Cela semble léger, mais ne l'est pas tant que cela, il y a une tristesse, une mélancolie qui affleure, une solitude qui rôde.

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Message par Aeriale Lun 26 Juin - 8:58

Arabella a écrit:Un opus très réussi dans l'oeuvre de Philippe Garel, qui semble de plus en plus épurer, aller vers l'essentiel, le plus simple, mais qui est aussi le plus juste. Les acteurs sont parfaits, et filmés d'une façon sublime, très près des visages, des expressions, de l'émotion. Le trio principal fonctionne comme par magie. Cela semble léger, mais ne l'est pas tant que cela, il y a une tristesse, une mélancolie qui affleure, une solitude qui rôde.
Merci pour ton avis @Arabella. Je suis bien contente que tu l'aies aussi apprécié, ce film, simple d'apparence mais très juste comme tu le dis, avec des sentiments qu'il suggère. 

Je suis très sensible à cette forme cinématographique qui laisse le spectateur libre d' interprétation. Garrel suit au plus près ses interprètes mais rien n'est surligné, tout est dit dans leur regard, leur expression, sans surcharge de mots. On va vraiment à l'essentiel et bravo pour cela! 

Un des films qui m'a le plus touchée ce mois-ci, après celui de Kore-eda (Après la tempête)
<3
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Message par Aeriale Jeu 29 Juin - 14:14

-Retour à Montauk-

A l'affiche - Page 9 Retour10
De Volker Schlöndorff.

Un écrivain Max Zorn est venu rejoindre sa femme Clara, attachée de presse, tous deux réunis pour la présentation de son dernier livre à New York, un roman où il raconte la passion qu'il connut autrefois dans cette même ville avec une femme, allemande comme lui: Rebecca. Tombant par hasard sur un ami commun, il finit par avoir l'adresse de son ancien amour et insiste pour la revoir.

A l'affiche - Page 9 Images12

C'est parait il adapté d"un roman de Max Frish (dont Colm Toibin a tiré ce scénario) qui parle des regrets, de ce que la vie en fait, et d'amours loupés. C'est bien filmé, le rythme est un peu lent mais adapté à la nonchalance du personnage principal qui n'en finit pas de se perdre dans ses souvenirs et les tiraillements entre ces deux femmes. Bien sûr cela se passe dans le milieu littéraire et c'est ce qui m'a plu, la projection que peuvent faire ces écrivains et leur besoin de rêver, de fantasmer leur passé pour créer, le parallèle entre les deux.

A l'affiche - Page 9 Retour11

Un film forcément un peu triste puisque le constat est sans appel: on ne peut reconstruire ce qui a été cassé, la vie passe, restent les remords. Beaucoup de nostalgie donc avec les paysages désolés de Long Island l'hiver, contrastant avec la partie trépidante New yorkaise, ses soirées alcoolisées et son côté underground. Il m'a quand même manqué quelque chose pour que je sois vraiment emportée. La lenteur, le caractère passif et finalement très égoïste du personnage de Zorn aussi. Par contre les femmes, Suzanne Wolff et Nina Hoss qui jouait dans Phoenix, ont de jolis rôles. Un moment agréable mais pas incontournable :-).
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Message par kenavo Ven 30 Juin - 5:59

Aeriale a écrit:Un moment agréable mais pas incontournable :-).
merci pour tes impressions... je m'attendais à ce que cela ne soit pas le film de l'année - vu le livre, cela ne pouvait pas en être autrement... il n'y a rien de spectaculaire qui s'y passe... surtout des pensées et impressions de ce voyage vers la côte... c'est un de mes romans fétiches que j'ai lu et relu, tout simplement pour l'atmosphère... et d'après la BA du film je vais y trouver tout ce que j'ai aimé dans le texte Wink hâte de le voir par ici

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Message par Aeriale Ven 30 Juin - 10:48

kenavo a écrit: c'est un de mes romans fétiches que j'ai lu et relu, tout simplement pour l'atmosphère... et d'après la BA du film je vais y trouver tout ce que j'ai aimé dans le texte Wink hâte de le voir par ici
Dans ce cas, tu vas y trouver ton compte, Kena :-)

Ce sont surtout effectivement des impressions qui se dégagent, dures à retransmettre au cinéma, mais si tu es déjà imprégnée de l'atmosphère très lente et passéiste, tu vas aimer c'est sûr!

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Message par kenavo Ven 30 Juin - 20:06

huh... c'est bien qu'on en a parlé, je viens de voir qu'il est déjà en projection chez nous... je vais y courir Very Happy

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Message par darkanny Dim 2 Juil - 16:20

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Un bon film de Zombies, original, bien interprété et super bien ficelé avec une fin surprenante.


Je le conseille pour les amteurs du genre.
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Message par Queenie Mar 4 Juil - 14:14

Ah merci !
Je me laisse carrément menée de cinéma ces derniers mois... et ne suis plus au courant de rien. Et je rate tellement de choses.

Je suis donc allée voir
It comes at night
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Sans avoir vu de quoi il s'agissait, à part les affiches dans le métro.

Et chouette surprise.

Plus qu'un film d'horreur, c'est un huis clos survivaliste, où la menace se cache partout.
L'ambiance est prenante, oppressante.
Un côté fantasmagorique avec des parties rêves carrément flippantes.

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Message par darkanny Mar 4 Juil - 14:19

Merci aussi, je le guettais.
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