Des images en passant...
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Re: Des images en passant...
Zinaida Yevgenyevna Serebriakova, Autoportrait en blouse blanche, 1922
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Re: Des images en passant...
Kenavo a écrit:
Zinaida Yevgenyevna Serebriakova, Autoportrait en blouse blanche, 1922
Elle semblait bien aimer les autoportraits, je l'ai découverte avec cet autre, assez pétillant et vivant je trouve:
Autoportrait à la table de toilette (1909)
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Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Des images en passant...
C'est curieux, ce bel autoportrait n'a vraiment pas l'air de dater de plus d'un siècle mais plutôt de représenter une jeune femme d'aujourd'hui.
Moune- Messages : 611
Date d'inscription : 16/12/2016
Re: Des images en passant...
ah oui, aussi très beau...Céline a écrit:Elle semblait bien aimer les autoportraits, je l'ai découverte avec cet autre, assez pétillant et vivant je trouve
en effetMoune a écrit:C'est curieux, ce bel autoportrait n'a vraiment pas l'air de dater de plus d'un siècle mais plutôt de représenter une jeune femme d'aujourd'hui.
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Re: Des images en passant...
Je n'arrête pas de dire que je n'aime pas Magritte, puis je tombe sur ça ...
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Queenie- Messages : 7115
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Re: Des images en passant...
Très beau.
Je pense qu'il faut voir une grande exposition sur un artiste pour se faire vraiment une idée (par exemple Buffet). J'en avais vu une sur Magritte, il y a longtemps, qui a changé mon point de vue et me l'a fait bien apprécier. En vrai, on se rend mieux compte de la taille, des couleurs, et puis on voit surtout les oeuvres importantes de l'artiste. En plus, on bénéficie d'explications qui peuvent être très utiles pour mieux comprendre l'oeuvre.
Je pense qu'il faut voir une grande exposition sur un artiste pour se faire vraiment une idée (par exemple Buffet). J'en avais vu une sur Magritte, il y a longtemps, qui a changé mon point de vue et me l'a fait bien apprécier. En vrai, on se rend mieux compte de la taille, des couleurs, et puis on voit surtout les oeuvres importantes de l'artiste. En plus, on bénéficie d'explications qui peuvent être très utiles pour mieux comprendre l'oeuvre.
Moune- Messages : 611
Date d'inscription : 16/12/2016
Re: Des images en passant...
C'est vrai.
Mais j'en ai vu quelques unes de lui "en vrai", et le déclic ne s'est pas du tout fait.
Mais j'en ai vu quelques unes de lui "en vrai", et le déclic ne s'est pas du tout fait.
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Queenie- Messages : 7115
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Des images en passant...
Le fil Marval ouvert par @Kenavo et une toile en particulier m'ont rappelé à quel point j'adore depuis toujours la peinture de Raoul Dufy. Pour moi elle est synonyme de bonheur et de légèreté (dans son sens le plus beau) et son art de la couleur me ravit.
La visite de l'escadre anglaise au Havre, avant 1935
Baie des Anges, Nice, 1929
La visite de l'escadre anglaise au Havre, avant 1935
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Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Des images en passant...
Céline a écrit:Le fil Marval ouvert par @Kenavo et une toile en particulier m'ont rappelé à quel point j'adore depuis toujours la peinture de Raoul Dufy. Pour moi elle est synonyme de bonheur et de légèreté (dans son sens le plus beau) et son art de la couleur me ravit.
La visite de l'escadre anglaise au Havre, avant 1935
Baie des Anges, Nice, 1929
(Wikipédia)En 1936-1937, aidé par son frère Jean Dufy, il réalise pour le pavillon de l'Électricité de l’Exposition universelle de 1937, la plus grande peinture existante au monde : La Fée Électricité (624 m2), aujourd'hui visible au musée d'art moderne de la ville de Paris.
C'est vraiment exceptionnel, une somme. J'avais vu aussi une exposition qui montrait certains des dessins et huiles préparatoires. C'était vraiment intéressant et beau.
Moune- Messages : 611
Date d'inscription : 16/12/2016
Re: Des images en passant...
merci pour lui... un des fils qui se trouve encore sur ma 'to do list'Céline a écrit:Le fil Marval ouvert par @Kenavo et une toile en particulier m'ont rappelé à quel point j'adore depuis toujours la peinture de Raoul Dufy. Pour moi elle est synonyme de bonheur et de légèreté (dans son sens le plus beau) et son art de la couleur me ravit.
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Re: Des images en passant...
Kenavo a écrit:merci pour lui... un des fils qui se trouve encore sur ma 'to do list'Céline a écrit:Le fil Marval ouvert par @Kenavo et une toile en particulier m'ont rappelé à quel point j'adore depuis toujours la peinture de Raoul Dufy. Pour moi elle est synonyme de bonheur et de légèreté (dans son sens le plus beau) et son art de la couleur me ravit.
Merci d'avance. Ce sera un régal!
Chaque toile est comme une bouffée d'air frais.
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Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Des images en passant...
Faith Ringgold, Street Story Quilt, 1985
- Spoiler:
- In this triptych, Ringgold combines language and imagery to structure her complex, fantastical narrative of survival and redemption set in an apartment building in Harlem. By 1983, Ringgold had immersed herself in a new art form, story quilts, which seemed a natural progression from her painting, fabric sculpture, and performance art. With story quilts, this activist artist-concerned throughout her career with issues of feminism and race-creates a new expression that acknowledges cultural and personal history. Domestic arts-sewing, quilting, weaving-have long been associated with women, and quilting reflects the folk traditions (and the struggles and achievements) of black women. For Ringgold, the fact that her mother was a dressmaker and fashion designer adds another evocative layer of meaning and history to an already loaded medium. Storytelling, too-the expression of narrative-carries dense referents with legends, tales, even jokes associated with African-American community life and oral history.
In Street Story Quilt, one stylized Harlem facade-a grid of fifteen windows-is depicted three times at different moments in a story that transpires over decades. Handwritten text fills panels above each window. In the first panel, "The Accident," a character named Grace narrates the story of ten-year-old A.J. and his grandmother, Ma Teedy, who have just witnessed a car accident that kills A.J.'s mother and four brothers. The central panel, "The Fire," depicts the devastating effects of a blaze inadvertently set by A.J.'s drunken father, who dies in the fire. Text reveals that "A.J. ran away from home right after big Al's funeral. He was picked up a few days later for sellin dope to a cop." The traumas continue, one compounding the other, but through it all, Grace notes: "Say what you want 'bout Ma Teedy but she was a real woman … I like her because she a survivor. Always keep herself and her family lookin good."
The final panel is "The Homecoming," in which A.J., now a man who has fully redeemed himself and become a successful writer and actor, returns to the scene to pick up his grandmother and take her back to California with him. Grace describes her insights: "I knew that boy was special from the day he was born. He was just different, with his badness. Peoples used to talk bout him after his Ma died, then his Pa died and he had to run and hide from the Mafia. That's that kick in the ass the black man gets. But A.J. done made that kick into a kiss. And I just love him cause he ain forget Ma Teedy. An he ain forget where he come from, or who he is."
source
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Re: Des images en passant...
en parlant de Keyserling, j'ai retrouvé une image qui a fait couverture d'un de ses livres...
Arthur Hacker, Lost Parasol
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Re: Des images en passant...
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Merlette- Messages : 2334
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