Istvan Banyai

Istvan Banyai est né à Budapest en 1949. Il reçoit sa licence en beaux-arts de l'Université des arts et design de Moholy-Nagy.

Il se fait connaître lorsqu'il émigre aux États-Unis et qu'il devient illustrateur et animateur commercial.

En 1995, Istvan Banyai publie son premier ouvrage pour enfants, Zoom, qui remporte un franc succès. Il est très rapidement honoré comme étant l'un des meilleurs livres pour enfants par le New York Times et le Publishers Weekly. Il est actuellement traduit dans plus de 18 langues différentes.

L'auteur poursuit en publiant quatre livres, ainsi que plusieurs autres en collaboration avec différents écrivains et poètes. Il produit également des illustrations commerciales pour des journaux et magazines (the New Yorker, the Rolling Stone, Times…). Il est respecté mondialement pour sa vision philosophique et iconoclaste qui transcende le statut de simple illustrateur commercial à celui d'artiste.


Source : Editeur


son site

Zoom

Présentation de l’éditeur
Sur le principe du zoom arrière, ce jeu de poupées russes exclusivement visuel nous invite à une nouvelle lecture de la réalité.

Gros plan : un coq.
Zoom arrière : deux enfants dans une ferme.
Nouveau zoom arrière : la ferme n'est qu'un jouet entre les mains d'un autre enfant...

Et pour les plus jeunes, sous la forme d'un apprentissage du regard, il montre que la vérité n'est parfois qu'une question de point de vue !

Si vous êtes à la recherche d’un livre tout à fait exceptionnel – le voici !

Ce changement d’une image à l’autre est en fait une idée très simple, mais fallait l’avoir !

Chapeau-bas pour Istvan Banyai, c’est tellement ingénieux !

On tourne les pages de ce livre avec étonnement, envie de découvrir la suite…

Un très grand coup de cœur et une découverte que je dois à Sophie van der Linden, qui tient non seulement un blog sublime de ses lectures d’albums pour la jeunesse mais qui a aussi publié deux livres à ce sujet. Des mines d’or !

Re-Zoom

Pas publié pour l’instant chez un éditeur français, mais puisqu’il n’y a pas de mots, tout comme pour le premier, Re-Zoom ne pose pas de problèmes pour un lecteur non-anglophone.

Le principe est le même que pour Zoom, bien que je dois dire que l’effet est moins impressionnant après la découverte du ce premier album.

Cela reste toujours un livre à découvrir, l’idée s’estompe un peu avec ce deuxième tome, mais la lecture reste étonnante…