Régis Hautière
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Régis Hautière

Régis Hautière est un scénariste de bande dessinée né à Fougères le 6 juillet 1969.
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George Gershwin
Re: Régis Hautière
Avant la lecture de De Briques & De Sang, j'ai recherché un peu sur cette familistère et c'est très intéressant.. surtout pour moi qui ne connaissait pas du tout cela..



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Le Fondateur : Jean-Baptiste André Godin
C'est en 1846 que cet industriel s'installe à Guise pour fonder une entreprise d'appareils de chauffage et de cuisine, les fameux « poêles Godin », dont il est l'inventeur ; fabriqués en fonte, diffusant bien mieux la chaleur que les anciens modèles en tôle, ces appareils ont permis à Godin, d'origine modeste, de faire rapidement fortune et de s'imposer sur un marché en pleine expansion
Le Familistère
« Familistère » est le nom donné par Godin aux bâtiments d'habitation qu'il fait construire pour ses ouvriers et leurs familles à partir de 1858 et jusqu'en 1883, probablement à partir de plans de l'architecte fouriériste Victor Calland.
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George Gershwin
Re: Régis Hautière
Dessin: David François

De Briques & De Sang
Une histoire qui tient la route, un 'polar' qui fait du plaisir..
Très contente de cette découverte





De Briques & De Sang
Un graphisme que j'adore, des planches intéressantes et dont on peut voir que les deux auteurs se sont rendus à Guise, les images sont à confondre avec ceux qu'on peut trouver sur le net.Présentation de l'éditeur
Octobre 1936. À l’occasion du décès de son père, dont elle vient d’accompagner la fin, une femme évoque de douloureux souvenirs, vieux de plus de vingt ans. Une affaire terrible et secrète, un fardeau dont elle peut enfin s’alléger, puisque tous ses protagonistes ont disparu. Janvier 1914. À Guise, dans l’Ain, la police retrouve le corps d’un ouvrier fondeur assassiné. Puis, quinze jours plus tard, celui d’une veuve, dont tout indique qu’elle a été victime du même assassin. L’enquête d’un journaliste de L’Humanité spécialisé dans les faits divers va être
l’occasion de découvrir le contexte fascinant de ces morts violentes : le « familistère », communauté ouvrière fondée par un patron « social » et visionnaire – une expérience de socialisme réel qui aurait anticipé de plusieurs décennies l’émergence du collectivisme soviétique…
Une histoire qui tient la route, un 'polar' qui fait du plaisir..
Très contente de cette découverte




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Re: Régis Hautière
Dessin : David François

Un homme de joie
Tome 1 La ville monstre
Des planches extra comme je les aime et un scénario qui ne laisse pas voir passer les pages… trop tôt on arrive à la fin du livre et j’attends la suite avec impatience



Un homme de joie
Tome 2 La ville monstre
Voilà une série qu’on aurait pu continuer encore pendant plus d’un album.
Le personnage de Sacha est attachant, son histoire est palpitante et l’atmosphère de New York de ces années est si bien rendue sur les planches, c’est réjouissant.
Définitivement un de mes ‘tandems’ préférés dans le monde de la BD.





Un homme de joie
Tome 1 La ville monstre
Une fois de plus le tandem Hautière/François est à l’œuvre. Et ce premier tome entre bien dans l’atmosphère de cette ville et les gens du début du XXe siècle.Présentation de l’éditeur
New York, début du XXe siècle, à l’heure de la construction des premiers gratte-ciel. Le nouveau monde. L’espoir pour de nombreux immigrants qui débarquent à Ellis Island, dernier rempart avant le rêve américain.
Sacha, jeune émigré d’Europe de l’Est rejoint son cousin Pavlo avec l’espoir de réussir dans ce monde effervescent, mais c’est sans compter sur la femme de son cousin qui le trouvera vite encombrant… Il trouve refuge dans l’appartement qu’une vieille excentrique a légué à sa mort…à ses chiens.
À la recherche d’un travail qui rime alors avec syndicat et mafia… la tâche s’avère complexe, voire sans espoir. C’est sans compter sur l’arrivée inopinée de Tonio…
Des planches extra comme je les aime et un scénario qui ne laisse pas voir passer les pages… trop tôt on arrive à la fin du livre et j’attends la suite avec impatience



Un homme de joie
Tome 2 La ville monstre
Oh comme c’est dommage que cela se termine déjà.Présentation de l'éditeur
Le second volet du diptyque retraçant le parcours d'un immigré dans le New-York des années 30.
« Les monstres, ça tombe pas amoureux. C'est même pour ça que ce sont des monstres. »
Voilà une série qu’on aurait pu continuer encore pendant plus d’un album.
Le personnage de Sacha est attachant, son histoire est palpitante et l’atmosphère de New York de ces années est si bien rendue sur les planches, c’est réjouissant.
Définitivement un de mes ‘tandems’ préférés dans le monde de la BD.




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George Gershwin
Re: Régis Hautière
Dessin: Hardoc, Couleurs : François David, Hardoc

La Guerre des Lulus, Tome 1 : 1914 : La maison des enfants trouvés
J’apprécie surtout ce sens d’humour qu’il donne aux Lulus, tellement utile lors de ces temps qu’ils vivent.
Si on peut dire qu’une BD est un ‘tourne-page’, on peut considérer ce livre certainement d’en faire partie. Dès la première page on est en plein dans une histoire qu’on a hâte de poursuivre.
Les images suivent le tout avec une verve et un amour pour le détail, tout à fait sublime. On s’y croit à côté de ces petits héros…


La Guerre des Lulus, Tome 2 : 1915 : Hans
On ne peut pas rester de marbre envers tout ce qui se passe sur ces pages…
La petite ‘famille’ des Lulus s’agrandit et on a envie d’en faire partie !


La Guerre des Lulus, Tome 3 : 1916 : Le tas de briques
En plus on se retrouve pendant quelques pages dans la fameuse Familistère de Guise, un sujet qu’il connaît très bien
Hâte de voir la suite…


La Guerre des Lulus, Tome 4: 1917 : La déchirure
Nous voilà dans le quatrième volet des Lulus et on les suit toujours passionnément.
Leur périple les amène dans cet album en Belgique chez la grand-mère de Luce.
Je me suis tellement attachée à cette bande d’amis…


La Guerre des Lulus, Tome 5 : 1918 : Le der des ders
J’adore le scénario de Régis Hautière pour montrer des aspects de ces années de guerre à travers les yeux de ce groupe d’enfants.
Les images de Hardoc sont parfaits, j’adore ce genre de graphisme.
S’agissant de la dernière année de guerre, je pensais que ce tome allait être le dernier… mais à la fin il y a des informations sur la suite… contente de pouvoir retrouver ces personnages.


La Guerre des Lulus, Tome 1 : 1914 : La maison des enfants trouvés
J’adore Régis Hautière comme scénariste. Quelles belles histoires qu’il nous raconte.Présentation de l’éditeur
Lucas, Lucien, Luigi et Ludwig sont quatre des pensionnaires de l'orphelinat de l'abbaye de Valencourt en Picardie. Tout le monde les surnomme les Lulus. En cet été 1914, lorsque l'instituteur est appelé comme tant d'autres sous les drapeaux, personne n'imagine que c'est pour très longtemps. Et les Lulus ne se figurent évidemment pas une seconde que la guerre va déferler sur le monde finalement rassurant qu'ils connaissent. Bientôt, le fracas de l'artillerie résonne dans le ciel d'été. Il faut partir, vite. Mais lorsque la troupe évacue l'abbaye manu militari, les Lulus, qui ont une fois de plus fait le mur, manquent à l'appel. Sans l'avoir voulu, ils se retrouvent soudain à l'arrière des lignes allemandes.
J’apprécie surtout ce sens d’humour qu’il donne aux Lulus, tellement utile lors de ces temps qu’ils vivent.
Si on peut dire qu’une BD est un ‘tourne-page’, on peut considérer ce livre certainement d’en faire partie. Dès la première page on est en plein dans une histoire qu’on a hâte de poursuivre.
Les images suivent le tout avec une verve et un amour pour le détail, tout à fait sublime. On s’y croit à côté de ces petits héros…


La Guerre des Lulus, Tome 2 : 1915 : Hans
Oh quel épisode touchant et tout à fait extraordinaire.Présentation de l’éditeur
Janvier 1915. Lucien, Lucas, Luigi et Ludwig, isolés à l'arrière des lignes allemandes, ont été rejoints par une autre réfugiée, Luce, 13 ans. C'est dans une cabane en forêt qu'ils apprennent à survivre dans un environnement devenu très hostile. Entièrement livrés à eux-mêmes, ils doivent en outre gérer l'irruption d'un adulte dans leur groupe : Hans, un soldat allemand devenu leur prisonnier...
On ne peut pas rester de marbre envers tout ce qui se passe sur ces pages…
La petite ‘famille’ des Lulus s’agrandit et on a envie d’en faire partie !


La Guerre des Lulus, Tome 3 : 1916 : Le tas de briques
Le moment qu’on se dit, mais qu’est-ce qui va suivre, comment donner une suite valable aux aventures de ces enfants, Régis Hautière nous fait un petit tour de magie.Présentation de l’éditeur
1916. Encore une année qui passe. À cet âge, une année c’est presque une vie. Orphelins, laissés à leur propre destin dans un monde entré en guerre, les Lulus poursuivent leur chemin de survie.
Après la mort de leur ami Hans, leur monde a basculé brutalement dans la réalité de cette guerre qu’ils évitaient si bien. S’enfonçant dans la forêt, ils découvrent une cabane qui se présente encore comme un nouveau signe d’espoir. La cabane est tenue par un Gustave, un vieux sabotier, mi bûcheron, mi ermite… Celui-ci leur permettra de faire étape avant de leur conseiller de repartir sur la route de Guise. La ville… si grande qui s’ouvre à eux pour prolonger leur destin commun.
En plus on se retrouve pendant quelques pages dans la fameuse Familistère de Guise, un sujet qu’il connaît très bien
Hâte de voir la suite…


La Guerre des Lulus, Tome 4: 1917 : La déchirure
Régis Hautière déborde d’imagination. Plusieurs séries différentes et les scénarios sont toujours impeccables.Présentation de l’éditeur
1917. La guerre s'éternise.
Le blocus naval mis en place par l'Angleterre, pour empêcher le ravitaillement des puissances centrales, provoque une pénurie alimentaire dans toutes les zones contrôlées par l'armée allemande.
Dans cette Europe meurtrie, le périple des Lulus se poursuit. Malgré leur optimisme naturel, ils commencent à désespérer de revoir un jour l'abbé et les copains de l'orphelinat.
Et, s'ils restent soudés dans l'adversité, des lézardes apparaissent dans leur belle amitié. Leur route, semée d'embûches, leur réserve toutefois de belles surprises et c'est d'un pas décidé qu'ils partent à la rencontre d'un pays qui leur est inconnu et de ses drôles d'habitants...
Nous voilà dans le quatrième volet des Lulus et on les suit toujours passionnément.
Leur périple les amène dans cet album en Belgique chez la grand-mère de Luce.
Je me suis tellement attachée à cette bande d’amis…


La Guerre des Lulus, Tome 5 : 1918 : Le der des ders
Depuis le début de cette série je suis une adepte enthousiaste.Présentation de l’éditeur
1918
Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, les Lulus tentent de survivre en zone occupée. Enrôlés malgré eux par une société secrète, les quatre orphelins sont contraints de se séparer. Cette séparation, la toute première depuis qu'ils se connaissent, pourrait être beaucoup plus longue qu'ils ne l'imaginent...
J’adore le scénario de Régis Hautière pour montrer des aspects de ces années de guerre à travers les yeux de ce groupe d’enfants.
Les images de Hardoc sont parfaits, j’adore ce genre de graphisme.
S’agissant de la dernière année de guerre, je pensais que ce tome allait être le dernier… mais à la fin il y a des informations sur la suite… contente de pouvoir retrouver ces personnages.

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