Jippensha Ikkû
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Jippensha Ikkû
Portrait de Jippensha Ikkû, par Kunisada
Jippensha Ikkû, de son vrai nom Shigeta Sadakaku, est né en 1765 à Sugura , en Fuchû.
A vingt-cinq ans, il fréquente les écrivains compositeurs de pièces de jôruri. Il se fait ensuite un nom en écrivant des livres satiriques, dont l'un lui vaut , en 1804, une condamnation aux fers pour avoir présenté des personnages historiques de manière par trop insolemment parodique et des "livres plaisants" dont le but était de décrire la vie et le comportement des courtisanes avec leurs clients dans les quartiers de plaisir des grandes villes.
Il décède en 1831.
Source: Editeur
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Re: Jippensha Ikkû
A pied sur le Tôkaidô
Présentation de l’éditeur
Un grand roman classique japonais au comique truculent. Ce célèbre roman d'aventures burlesques, voire scabreuses, paru en 1802, relate un voyage entrepris sur la grande route du Tôkaidô - de l'actuelle Tôkyô jusqu'à Kyôto - par deux joyeux lurons. Devant les cinquante-trois relais du Tôkaidô, c'est tout le Japon traditionnel qui se donne en spectacle.
La route du Tôkaidô, photographiée par Felice Beatoen, 1865
Depuis ma lecture de ce livre en 2015, on a rééedité ce livre et il est ainsi de nouveau disponible... et puisque @Darkanny parlait du Tôkaidô, c'était le bon moment de remettre son fil par ici.
Clairement situé dans son temps, en plus de se dérouler au Japon, de toute façon un pays avec plein de coutumes qui nous sont inconnues, le récit est parfois énigmatique… mais on arrive quand même à suivre, en tout cas la plupart du temps.
On apprend pas mal de choses sur le pays, les coutumes et la mode de vie de ces temps. C’est tout à fait intéressant… en plus d’être vraiment divertissant.
Mariko
À partir de 1802 est publié le roman à épisodes de Jippensha Ikku, le fameux Tōkaidōchū Hizakurige (« À pied sur le Tōkaidō »), racontant les tribulations rocambolesques de ses deux héros, Kita et Yaji, au fil des différentes étapes. On retrouve chez Hiroshige le souvenir des héros de Jippensha Ikku dans plusieurs relais, comme Mariko, ou encore Ōtsu, et leurs maisons de thé.
source: Wikipédia
Ōtsu
Mais ce n’est pas seulement sur ces deux estampes que j’ai suivi les deux guignols.
Puisque la plupart des différentes stations sont mentionnées dans le livre, j’avais devant moi la page internet et après un bout de temps, j’avais l’impression que je pouvais reconnaître tout plein des personnages sur les images de Hiroshige, décrites dans ce roman.
Avec cet atout, j’ai vraiment bien aimé ma lecture…
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