Ferenc Molnár

Ferenc Molnár, de son vrai nom Ferenc Neumann (né le 12 janvier 1878 à Budapest, dans l'empire austro-hongrois, et mort le 1er avril 1952 à New York), est un écrivain hongrois du XXe siècle.


source et suite

Grâce à ce « tour en images » de différents cafés aux clients littéraires, j’ai fait connaissance de cet auteur.

Voilà un bien joli cadre dans lequel je veux bien m’imaginer qu’il a inventé parties de son roman Les gars de la rue Paul…




Oui, on va dire qu’il s’agit d’un livre de la littérature pour la jeunesse, mais je ne voudrais pas pour autant mettre son fil dans cette catégorie…

L'histoire relate l’affrontement, dans les rues du Budapest du début du XXe siècle, de deux bandes rivales de gamins pour la possession du seul terrain disponible pour les jeux d'enfants. Les enfants font montre de courage et d'amitié dans une ville où ils étouffent. Publié en 1906, ce roman est un classique de la littérature pour la jeunesse. Souvent adapté au cinéma, il est classé en 2005, second roman préféré des Hongrois lors d'une enquête réalisée par le sondage littéraire The Big Readversion hongroise. En hommage, plusieurs statues représentant les jeunes héros du livre, ont été érigées à Budapest.

Les gars de la rue Paul

Présentation de l’éditeur
Le terrain vague de la rue Paul est bien plus qu'un bout de terre pour la bande de Jean Boka. C'est son terrain de jeu et de liberté ! Seulement la bande rivale, les Chemises Rouges, le convoite aussi... Une guerre en règle s'annonce alors ! Entre trahisons et plans de batailles, le combat s'annonce difficile... et les plus courageux ne seront pas forcément ceux auxquels on s'attendait.

Je dois dire que je n’ai jamais lu le livre La Guerre des boutons, seulement vu le film. Mais d’après mes souvenirs (cela date d’un peu), je dirais que l’atmosphère dans ce livre s’y ressemble.

Les jeunes qui se font « la guerre », dans ce livre, le trophée est un terrain de jeu.

En pleine ville on peut s’imaginer combien ils sont contents de pouvoir s’adonner à leur imagination sur ce bout de terre.

Le lecteur a le plaisir de découvrir une partie de Budapest du début du XXème siècle, l’histoire est bien menée, aucun moment d’ennui, on retrouve une écriture fluide… mais surtout à la fin on découvre que l’enjeu est en fait énormément plus important que ce terrain vague…

J’ai beaucoup aimé ce moment de lecture… surtout qu’un si joli hasard m’y a amené !