Nos lectures en cours

Après Ecoute la ville tomber, je commence L'Indésirable de Sarah waters

Liseron a écrit:Après Ecoute la ville tomber, je commence L'Indésirable de Sarah waters

Mais quel enchaînement de bons livres !

J'ai commencé Cool Gray City of Love: 49 Views of San Francisco de Gary Kamiya, parce qu'en ce moment je n'ai qu'une envie, partir là-bas.
Et toujours dans le Muriel Spark.

Epi a écrit:J'ai commencé Cool Gray City of Love: 49 Views of San Francisco de Gary Kamiya, parce qu'en ce moment je n'ai qu'une envie, partir là-bas.

ah oui, un très bon livre, je l'avais découvert quand je regardais la série Looking qui se situait à San Fransisco et je cherchais tout pour prolonger ce "voyage"

Liseron a écrit:Après Ecoute la ville tomber, je commence L'Indésirable de Sarah waters

Super, j'ai lu ton commentaire

Et ça fait long que je n'ai plus lu Sara Waters, celui ci parait bien...

Suis toujours dans le Desarthe, je ne sais pas trop où elle veut en venir, mais son écriture capte, c'est indéniable.

De bien bonnes lectures en ce moment :
L'île de Sigridur Hagalin Björnsdottir puis
La route étroite vers le nord lointain de Richard Flanagan, un grand texte !

silou a écrit:La route étroite vers le nord lointain de Richard Flanagan, un grand texte !

Oh quel dommage, je n'étais pas rentrée du tout dedans.

Mauvaise période? Manque de concentration..?

Tu nous diras, @Silou.

kenavo a écrit:

Epi a écrit:J'ai commencé Cool Gray City of Love: 49 Views of San Francisco de Gary Kamiya, parce qu'en ce moment je n'ai qu'une envie, partir là-bas.

ah oui, un très bon livre, je l'avais découvert quand je regardais la série Looking qui se situait à San Fransisco et je cherchais tout pour prolonger ce "voyage"

Je le lis par petits bouts, l'auteur est passionné par sa ville, je dois me faire violence pour ne pas le lire toute la nuit.

Fini Desarthe, je commence Leurs enfants après eux.

Très très hâte après l'avoir écouté présenter son livre, à Manosque!!

Je lis Anna Hope : La salle de bal.

Je viens de commencer Lumière pâle sur les collines, de Kazuo Ishiguro.

Ruth May a écrit:Je lis Anna Hope : La salle de bal.

Je l'avais lu (et bien aimé) Tu viendras nous en parler Ruth? Je me sentirai moins seule sur son fil ;-)

Nightingale a écrit:Je viens de commencer Lumière pâle sur les collines, de Kazuo Ishiguro.

Je ne l'ai plus lu depuis Un artiste du monde flottant. Mais je voudrais le relire. Peut-être pour Les vestiges du jour que j'avais adoré au cinéma.

...

J'ai entamé hier Leurs enfants après eux. Et j'en ai lu pas loin de 100 pages. Super bien décrit. J'aime beaucoup le personnage d'Anthony, celui de Hacine m'inquiète pour l'instant..

Aeriale a écrit:

silou a écrit:La route étroite vers le nord lointain de Richard Flanagan, un grand texte !

Oh quel dommage, je n'étais pas rentrée du tout dedans.

Mauvaise période? Manque de concentration..?

Tu nous diras, @Silou.

Oui Aeriale j'ai trouvé ce texte très fort, j'ai eu aussi un peu de mal à y entrer à cause de la succession des chapitres du début dont je ne voyais pas bien le lien ni l'intérêt, mais en entrant dans la linéarité du récit, j'ai été saisie par sa force. Il y a l'horreur totale, la violence insoutenable à laquelle sont soumis les prisonniers australiens de la part des japonais (folie de l'Histoire dont j'ignorais tout), comment des hommes arrivent à donner sens à toute cette horreur, mais aussi et peut-être ce qui m'a plus particulièrement marqué la place et le sens de la mémoire.

Aeriale a écrit:

Ruth May a écrit:Je lis Anna Hope : La salle de bal.

Je l'avais lu (et bien aimé) Tu viendras nous en parler Ruth? Je me sentirai moins seule sur son fil ;-)

J'ai aussi lu et bien aimé La salle de bal ainsi que le Chagrin des vivants. 

Je viens de retrouver le fil mais il me semble que l'on ne peut pas accéder à "Hope" par l'index alphabétique .

@Silou, j'ai sur mes étagères le livre de R Flanagan : et hop, le voilà sorti pour une lecture prochaine ! Merci!!


J'aime beaucoup La salle de bal mais c'est terrible comme toutes ces vies ont été brisées, celles des pensionnaires de l'asile mais celles de ces enfants qui travaillaient dans les filatures à 8 ans.