Nos lectures en cours

Nightingale a écrit:

Aeriale a écrit:Ce soir la suite, j'ai lu 100 pages ...m'en restent 1000 

Tu y es presque !

Merci de tes encouragements !!!

 rhooo c'est méchant
j'admire ton courage Aériale, je n'ai toujours pas lu ce livre à cause des 1000 pages et plus 

(Moi aussi, parfois, je m'admire  )

Mais sérieusement je me délecte. L'écriture, l'ironie, l'étude de moeurs et des caractères, tout ceci forme un petit bijou d'excellence.
Le monsieur est bavard, ce qui explique les débordements et les plus de 1000 pages, mais si ça tient le rythme tout du long, ça promet une belle surprise :-)

J'ai commencé Le réveil des sorcières de Stéphanie Janicot (que je ne connais pas du tout) : un roman qui se passe en Bretagne, une histoire de sorcières sur plusieurs générations, de deuil, d'amitié, de sororité.
Lu 110 pages sur 325. Tranquillement. Pas de bousculade, pas de passion féroce. c'est un peu un docu fiction. Distrayant.

Je suis dans le dernier opus du Poids Des Secrets d'Aki Shimazaki.  Ces petits romans se lisent pratiquement d'une traite et sont assez prenants, j'aime aussi le fait qu'ils se déroulent sur un fond historique sans que cela soit trop pesant. J'aime la façon dont l'auteur nous fait découvrir à chaque roman tous ces destins qui s'entremêlent.

Quelqu'un ici a lu Belle du seigneur? 

J'ai sauté des passages où Ariane, seule dans sa chambre en attendant Solal qui ne vient toujours pas au fameux premier dîner, se parle à elle même. 

C'est plutôt indigeste sur un chapitre! En plus sans ponctuation et cohérence, il faut être armé.

Bizarre, cet auteur mélange l'excellent et le plus improbable facilement, je pense. Va falloir tenir (plus que 850 pages au compteur   )

Aeriale a écrit:Quelqu'un ici a lu Belle du seigneur? 

J'ai sauté des passages où Ariane, seule dans sa chambre en attendant Solal qui ne vient toujours pas au fameux premier dîner, se parle à elle même. 

C'est plutôt indigeste sur un chapitre! En plus sans ponctuation et cohérence, il faut être armé.

Bizarre, cet auteur mélange l'excellent et le plus improbable facilement, je pense. Va falloir tenir (plus que 850 pages au compteur   )

Oui lu il y a un moment déjà et très peu aimé pour diverses raisons. Le flux de conscience (il me semble ou une sorte d'effet de style du même genre) qui passe très bien chez Virginia Woolf devenait longuet chez Albert Cohen. Il faudrait que je retrouve mes notes mais je me souviens de beaucoup d'ennui. Ceci dit, je suis une des rares personnes à n'avoir pas aimé ce livre. Alors.....

Je l'ai lu, il y a pas d'années et j'avais énormément aimé, mais c'est vrai que le livre joue sur plein de registres et genres d'écritures et que pas moments c'est surprenant, et qu'on accroche plus à certains passages qu'à d'autres.

domreader a écrit:Oui lu il y a un moment déjà et très peu aimé pour diverses raisons. Le flux de conscience (il me semble ou une sorte d'effet de style du même genre) qui passe très bien chez Virginia Woolf devenait longuet chez Albert Cohen. Il faudrait que je retrouve mes notes mais je me souviens de beaucoup d'ennui. Ceci dit, je suis une des rares personnes à n'avoir pas aimé ce livre. Alors.....

Clair que la longue logorrhée reflète bien les pensées convulsives de l'héroïne mais quel ennui...

Arabella a écrit:Je l'ai lu, il y a pas d'années et j'avais énormément aimé, mais c'est vrai que le livre joue sur plein de registres et genres d'écritures et que pas moments c'est surprenant, et qu'on accroche plus à certains passages qu'à d'autres.

Tout à fait, on est sans cesse surpris par ces changements de ton, et certains me barbent carrément.

J'ai pris un immense plaisir aux descriptions des soirées à la SDN où chacun est croqué avec une ironie mordante, d'une manière générale à tous ces personnages qui gravitent autour d'un semblant de pouvoir et s'agitent pathétiquement. C'est extrêmement bien ciblé et décrit. Mais on dirait qu'il ne sort pas de ça. 

Page 300, il en remet une couche, on a quand même passé le 1/4 du livre et on ne sait toujours pas ce qu'il en est de l'amorce entre Solal et Ariane. Hâte d'en savoir plus ;-)

Après avoir terminé la très sympathique pentalogie du Poids Des Secrets d'Aki Shimazaki, j'ai attaqué La Méthode Du Crocodile de Maurizio Di Giovanni.

domreader a écrit:j'ai attaqué La Méthode Du Crocodile de Maurizio Di Giovanni.

tu fais des infidélités au commissaire Ricciardi???

Je commence Girl d'Edna O'Brien, encore un sujet difficile mais c'est l'occasion de découvrir cette auteure...

kenavo a écrit:

domreader a écrit:j'ai attaqué La Méthode Du Crocodile de Maurizio Di Giovanni.

tu fais des infidélités au commissaire Ricciardi???

Liseron a écrit:Je commence Girl d'Edna O'Brien, encore un sujet difficile mais c'est l'occasion de découvrir cette auteure...

@kenavo, non c'est le commissaire qui me laisse tomber, je crois bien avoir lu toutes ses enquêtes ! En parallèle, toi qui aime les livres qui se passent à Venise, je lis un classique de Wilkie Collins The Haunted Hotel, A Mystery of Modern Venice.


@Liseron, j'aime bien Edna O'Brien, mais ce qu'elle écrit est parfois très violent et là je pense que le sujet va forcément donner lieu à des scènes très violentes, du coup je ne me suis pas lancée, tu nous diras.

domreader a écrit:@kenavo, non c'est le commissaire qui me laisse tomber, je crois bien avoir lu toutes ses enquêtes !

de même pour moi, j'attends de nouvelles traductions, aussi bien en allemand qu'en français on se prend du temps
ce mec va m'amener à reprendre mes cours d'italien

domreader a écrit:En parallèle, toi qui aime les livres qui se passent à Venise, je lis un classique de Wilkie Collins The Haunted Hotel, A Mystery of Modern Venice.

merci, c'est trop chou de penser à moi, mais je l'ai lu

J'avance dans Belle du Seigneur, j'ai enfin atteint les chapitres liés à la rencontre des deux tourtereaux!

Pour l'instant ce n'est pas non plus le romanesque qui ressort, mais plutôt le cynisme et aussi l'aspect basique qui existe dans tout rapport de séduction, ce que démontre Adrien.

C'est toujours extrêmement bien écrit, un plaisir de la langue que je rencontre finalement peu dans mes lectures. Ironique, percutant et brillant, un peu trop bavard aussi, mais il y a ce style qui accroche...

Presque la moitié...on avance!

Bon.

Page 600 l'amoureuse transie attend son bien aimé en renouvelant sa garde robe et faisant tourner en bourrique son couturier.

Ca devient vraiment long, et certains chapitre sorte sans que l'on comprenne l'intérêt. Quant au parlé de Mariette, il est carrément pénible. (Les mots déformés c'est drôle un moment mais sur plusieurs pages, ça lasse) 

Soupir. Je commence à comprendre certaines critiques parmi vous (Dom, par exemple)

admirative que tu tiens toujours… j'aurais abandonné il y a longtemps