Et si on parlait de concert ?
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Et si on parlait de concert ?
Un petit fil pour parler des concerts qu'on a vus.
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Vu (et entendu) le concert de Pletnev et Rozhdestvensky à la Philharmonie de Paris, le 28 novembre 2016.
Un quart d'heure après l'heure prévue pour le début du concert, on nous annonce que Rozhdestvensky, souffrant, ne peut pas assurer la direction. Du coup, c'est le pianiste (et chef d'orchestre) Mikhail Pletnev qui s'y colle. Ça tombe bien, c'est l'Orchestre national russe, qu'il a l'habitude de diriger. Et on s'est rendu compte qu'il connaissait les oeuvres par coeur (de temps en temps, il tournait un paquet de pages de la partition qu'il n'avait pas eu besoin de lire)
Au programme : trois oeuvres russes.
Tout d'abord, ce fut la Symphonie "Classique" de Prokofiev...
Puis, pour sortir des sentiers battus, une oeuvre rare (de jeunesse) : le concerto pour piano de Scriabine, aux accents romantiques :
Là, Pletnev a laissé la baguette à Alexei Bruni (je crois premier violon de l'orchestre - voir russiannationalorchestra.org/about/musicians/bruni/ - pour se consacrer au piano.
Et pour finir, la Symphonie n°9de Chostakovitch :
C'était la première fois que j'entendais cette oeuvre en concert, et je n'ai pas été déçu.
Pletnev a été excellent. C'était une très, très belle soirée.
Un quart d'heure après l'heure prévue pour le début du concert, on nous annonce que Rozhdestvensky, souffrant, ne peut pas assurer la direction. Du coup, c'est le pianiste (et chef d'orchestre) Mikhail Pletnev qui s'y colle. Ça tombe bien, c'est l'Orchestre national russe, qu'il a l'habitude de diriger. Et on s'est rendu compte qu'il connaissait les oeuvres par coeur (de temps en temps, il tournait un paquet de pages de la partition qu'il n'avait pas eu besoin de lire)
Au programme : trois oeuvres russes.
Tout d'abord, ce fut la Symphonie "Classique" de Prokofiev...
Puis, pour sortir des sentiers battus, une oeuvre rare (de jeunesse) : le concerto pour piano de Scriabine, aux accents romantiques :
Là, Pletnev a laissé la baguette à Alexei Bruni (je crois premier violon de l'orchestre - voir russiannationalorchestra.org/about/musicians/bruni/ - pour se consacrer au piano.
Et pour finir, la Symphonie n°9de Chostakovitch :
"La symphonie fut créée après la fin de la Guerre, le 5 novembre 1945 à Leningrad par Evgeni Mravinski. Elle provoqua la colère de Staline, qui s'attendait à une apothéose et qui avait même demandé que la pièce fût dans le style de la Neuvième Symphonie de Beethoven (d'où le titre de cette symphonie). Ainsi, cette œuvre faillit coûter la vie à son auteur." (Wikipedia)
C'était la première fois que j'entendais cette oeuvre en concert, et je n'ai pas été déçu.
Pletnev a été excellent. C'était une très, très belle soirée.
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Merci eXPie, cela donne envie d'aller plus souvent au concert.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Merci, eXPie, quel bon concert. J'essayerai de parler des concerts que je verrai l'année prochaine.
2017 commence pour moi avec du Jazz @ Berlin Philharmonic Art of Duo, en février Sir Simon Rattle dirigeant des oeuvres de Rhim, Ligeti et Mahler et puis en mars l'innauguration de la salle Pierre Boulez à l'académie Barenboim-Said (architecte Frank Gehry, acoustique Yasuhisa Toyota). J'ai visité récemment la salle en construction. On nous a fait écouter des tests d'acoustique et j'ai hâte d'y entendre Barenboim et Lupu jouer du piano ou du jazz avec John McLaughlin & The 4th Dimension.
2017 commence pour moi avec du Jazz @ Berlin Philharmonic Art of Duo, en février Sir Simon Rattle dirigeant des oeuvres de Rhim, Ligeti et Mahler et puis en mars l'innauguration de la salle Pierre Boulez à l'académie Barenboim-Said (architecte Frank Gehry, acoustique Yasuhisa Toyota). J'ai visité récemment la salle en construction. On nous a fait écouter des tests d'acoustique et j'ai hâte d'y entendre Barenboim et Lupu jouer du piano ou du jazz avec John McLaughlin & The 4th Dimension.
Babur- Messages : 192
Date d'inscription : 06/12/2016
Age : 77
Localisation : Dans une cave où y a du bon vin…
Re: Et si on parlait de concert ?
Baranboim et Lupu c'est forcément passionnant.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
J'ai assisté hier à la Philharmonie à un concert de l'Orchestre de Paris, sous la direction d'Andris Poga. Le concert comprenait Le concerto pour violoncelle de Dvorak, avec Truls Mørk en soliste, suivi de la symphonie numéro 5 de Prokofiev.
Je suis surtout allée pour le concerto de Dvorak, j'aime énormément le violoncelle, et j'apprécie beaucoup les interprétations de Truls Mørk, très subtiles, et en même temps engagées. Et bien retrouvée tout ce que j'aime dans cette musique hier soir. Un extrait :
J'aime beaucoup moins la cinquième de Prokofiev, un peu énorme, pas dans la subtilité à mon sens, et ce n'est pas ce que j'ai entendu hier qui me fera changer d'avis.
Je suis surtout allée pour le concerto de Dvorak, j'aime énormément le violoncelle, et j'apprécie beaucoup les interprétations de Truls Mørk, très subtiles, et en même temps engagées. Et bien retrouvée tout ce que j'aime dans cette musique hier soir. Un extrait :
J'aime beaucoup moins la cinquième de Prokofiev, un peu énorme, pas dans la subtilité à mon sens, et ce n'est pas ce que j'ai entendu hier qui me fera changer d'avis.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Est-ce que je dois faire un fil à part, ou est-ce que je glisse entre vos trucs de maestro mes concerts de guitares saturées et de gens excentriques qui boivent à la bouteille ?
En attendant je laisse quand même une petite bafouille sur le concert où je me suis décidée à aller la semaine dernière. Et Ô combien j'ai eu raison.
July Talk.
Groupe de rock alternatif canadien, fondé en 2012.
Deux albums à leur actif.
Alors... C'est quoi qui accroche dans ce groupe.
C'est ça : la voix de Peter qui rocaille (ça peut rappeler Tom Waits), les riffs lourds de guitare, le rythme qui cogne et les douces incursions vocales de Leah
Et que dire..
Sur scène, c'est Parfait.
Ils sont drôles, sensuels, rock, énergiques, beaux, complices, généreux, tout ça tout ça.
J'en suis ressortie toute vibrante et conquise.
Si vous aimez, faut les voir absolument sur scène, un délice !
En attendant je laisse quand même une petite bafouille sur le concert où je me suis décidée à aller la semaine dernière. Et Ô combien j'ai eu raison.
July Talk.
Groupe de rock alternatif canadien, fondé en 2012.
Deux albums à leur actif.
Alors... C'est quoi qui accroche dans ce groupe.
C'est ça : la voix de Peter qui rocaille (ça peut rappeler Tom Waits), les riffs lourds de guitare, le rythme qui cogne et les douces incursions vocales de Leah
Et que dire..
Sur scène, c'est Parfait.
Ils sont drôles, sensuels, rock, énergiques, beaux, complices, généreux, tout ça tout ça.
J'en suis ressortie toute vibrante et conquise.
Si vous aimez, faut les voir absolument sur scène, un délice !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Et si on parlait de concert ?
Une du concert
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Et si on parlait de concert ?
Merci du top Queenie!
Je n'aime pas tout d'eux, je pense que cela rend différemment si on les voit en concert.
J'ai connu par toi sur ce morceau Touch mais celui ci est extra aussi !!!
Je n'aime pas tout d'eux, je pense que cela rend différemment si on les voit en concert.
C'est sûr que cela fait envie!Ils sont drôles, sensuels, rock, énergiques, beaux, complices, généreux, tout ça tout ça.
J'ai connu par toi sur ce morceau Touch mais celui ci est extra aussi !!!
Aeriale- Messages : 11930
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Pareil à l'écoute des albums (surtout le deuxième), j'avais un peu peur. Des morceaux sont sans trop d'intérêt.
Mais en concert ! Tout passe crème !
D'ailleurs ils disent que leur deuxième album a été créé pour la scène. Ceci explique peut-être cela.
Tu adorerais !
Mais en concert ! Tout passe crème !
D'ailleurs ils disent que leur deuxième album a été créé pour la scène. Ceci explique peut-être cela.
Tu adorerais !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Et si on parlait de concert ?
Rrrr... Sûr que ça fait envie!
Surtout dans une petite salle où on peut les voir de près, le must! (Arf. Souvenir du café de la danse)
Ils sont partis pour une tournée en Europe, et ensuite au Canada- US, j'ai vu: une ville chaque jour!
C'pas demain que je vais les choper
Surtout dans une petite salle où on peut les voir de près, le must! (Arf. Souvenir du café de la danse)
Ils sont partis pour une tournée en Europe, et ensuite au Canada- US, j'ai vu: une ville chaque jour!
C'pas demain que je vais les choper
Aeriale- Messages : 11930
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Le Messie
Haendel - Philarmonie de Paris
Une œuvre de saison puisqu'elle est considérée comme l'œuvre phare au moment de Noël outre-Manche. Ici elle était interprétée par un des spécialistes du genre à savoir l'orchestre : Le Concert des Nations et le chœur La Capella Reial de Catalunya dirigés par Jordi Savall.
Jordi Savall est musicien (viole et violoncelle), chef d'orchestre et chef de chœur spécialiste de musique médiévale, de musique de la Renaissance et de musique baroque, il est le fondateur de l'orchestre : Le Concert des Nations. C'est un orchestre sur instruments d'époque destiné à interpréter les œuvres du baroque au romantisme et à accompagner le chœur La Capella Reial de Catalunya.
Le Messie - présentation de la Philarmonie :
''Dans cette vaste fresque composée en 1741, Haendel déploie toutes les nuances de son art consommé de la peinture sonore : l’orchestre tremble littéralement lorsque Dieu ébranle le monde, la Nativité est une pastorale à la Corelli, tandis que la majesté de la fugue traduit l’idée d’éternité dans l’Hallelujah.''
Un moment magique, magnifiquement interprété et pourtant je ne suis pas très férue de ce genre de musique. Le chœur était particulièrement impressionnant, une parenthèse de bonheur musical. Un peu longue pour moi (presque 3 heures, j'ai un peu craqué au bout de deux heures et quelques). C'était aussi l'occasion de découvrir la très belle salle de la Philarmonie, circulaire, avec de grandes alvéoles rondes sur plusieurs niveaux et des fauteuils confortables, ça compte quand on est assis pour 3 heures ! photo de la salle ci-dessus.
On peut trouver des versions du Messie sur YouTube mais pas celle de Jordi Savall.
Haendel - Philarmonie de Paris
Une œuvre de saison puisqu'elle est considérée comme l'œuvre phare au moment de Noël outre-Manche. Ici elle était interprétée par un des spécialistes du genre à savoir l'orchestre : Le Concert des Nations et le chœur La Capella Reial de Catalunya dirigés par Jordi Savall.
Jordi Savall est musicien (viole et violoncelle), chef d'orchestre et chef de chœur spécialiste de musique médiévale, de musique de la Renaissance et de musique baroque, il est le fondateur de l'orchestre : Le Concert des Nations. C'est un orchestre sur instruments d'époque destiné à interpréter les œuvres du baroque au romantisme et à accompagner le chœur La Capella Reial de Catalunya.
Le Messie - présentation de la Philarmonie :
''Dans cette vaste fresque composée en 1741, Haendel déploie toutes les nuances de son art consommé de la peinture sonore : l’orchestre tremble littéralement lorsque Dieu ébranle le monde, la Nativité est une pastorale à la Corelli, tandis que la majesté de la fugue traduit l’idée d’éternité dans l’Hallelujah.''
Un moment magique, magnifiquement interprété et pourtant je ne suis pas très férue de ce genre de musique. Le chœur était particulièrement impressionnant, une parenthèse de bonheur musical. Un peu longue pour moi (presque 3 heures, j'ai un peu craqué au bout de deux heures et quelques). C'était aussi l'occasion de découvrir la très belle salle de la Philarmonie, circulaire, avec de grandes alvéoles rondes sur plusieurs niveaux et des fauteuils confortables, ça compte quand on est assis pour 3 heures ! photo de la salle ci-dessus.
On peut trouver des versions du Messie sur YouTube mais pas celle de Jordi Savall.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Et si on parlait de concert ?
Récital Victor Julien-Laferrière Musée Gustave Moreau
Le violoncelle est mon instrument préféré, et Bach l'un de mes musiciens préféré, tout particulièrement les suites pour violoncelle seul. Je n'ai donc pas hésité à la possibilité de découvrir un jeune violoncelliste auréolé de prix prestigieux, dont la première édition du concours Reine Elisabeth consacrée à cet instrument, dans le cadre privilégié du musée Gustave Moreau dans ce répertoire. Même si la comparaison avec d'illustres prédécesseurs, dans ces oeuvres, considérés souvent comme le sommet de l'oeuvre pour violoncelle seul, pouvait se révéler impitoyable.
D'emblée, ce qui frappe, c'est l'incroyable beauté sonore déployée par le jeune musicien. Rarement autant le violoncelle a sonné avec une telle splendeur du son, une telle sensualité, un tel rayonnement. Le rythme, la mélodie en semblent presque au second plan, même si pourtant Victor Julien-Laferrière arrive incontestablement à retrouver la cadence de la danse, occultée par certains, et qui est pourtant à la base de cette musique (il s'agit de "suites de danses"); qui plus est, une danse joyeuse et festive. C'est un Bach solaire, loin de l'image austère voire aride qu'on lui accole parfois. Si l'on veut aller dans le criticisme, c'est cela qu'on pourrait reprocher à l'interprète, d'être trop dans la griserie d'une beauté voluptueuse, et gommer ou rendre inaudible, les aspects moins aimables de cette musique, ses aspérités,sa mélancolie profonde, son exigeante architecture. Mais la vision est cohérente, elle s'appuie qui plus sur un choix de suites (1,3 et 5) qui y correspondent le plus, et Victor Julien-Laferrière a le temps de donner d'autres versions et visions de ces oeuvres essentiels et d'une riche inépuisable. En espérant qu'il gardera cette beauté sonore et ce visible plaisir de jouer cette musique.
Incontestablement un interprète à suivre pour ceux qui aiment le violoncelle.
Le violoncelle est mon instrument préféré, et Bach l'un de mes musiciens préféré, tout particulièrement les suites pour violoncelle seul. Je n'ai donc pas hésité à la possibilité de découvrir un jeune violoncelliste auréolé de prix prestigieux, dont la première édition du concours Reine Elisabeth consacrée à cet instrument, dans le cadre privilégié du musée Gustave Moreau dans ce répertoire. Même si la comparaison avec d'illustres prédécesseurs, dans ces oeuvres, considérés souvent comme le sommet de l'oeuvre pour violoncelle seul, pouvait se révéler impitoyable.
D'emblée, ce qui frappe, c'est l'incroyable beauté sonore déployée par le jeune musicien. Rarement autant le violoncelle a sonné avec une telle splendeur du son, une telle sensualité, un tel rayonnement. Le rythme, la mélodie en semblent presque au second plan, même si pourtant Victor Julien-Laferrière arrive incontestablement à retrouver la cadence de la danse, occultée par certains, et qui est pourtant à la base de cette musique (il s'agit de "suites de danses"); qui plus est, une danse joyeuse et festive. C'est un Bach solaire, loin de l'image austère voire aride qu'on lui accole parfois. Si l'on veut aller dans le criticisme, c'est cela qu'on pourrait reprocher à l'interprète, d'être trop dans la griserie d'une beauté voluptueuse, et gommer ou rendre inaudible, les aspects moins aimables de cette musique, ses aspérités,sa mélancolie profonde, son exigeante architecture. Mais la vision est cohérente, elle s'appuie qui plus sur un choix de suites (1,3 et 5) qui y correspondent le plus, et Victor Julien-Laferrière a le temps de donner d'autres versions et visions de ces oeuvres essentiels et d'une riche inépuisable. En espérant qu'il gardera cette beauté sonore et ce visible plaisir de jouer cette musique.
Incontestablement un interprète à suivre pour ceux qui aiment le violoncelle.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Tellement déçue de pas avoir pu retrouver Stéphane Eicher à son concert du 13 mars à l'Olympia (annulé bien sûr) j'ai passé une bonne partie de l'après midi à me visionner un mix de ses concerts, des vidéos et quelques interviews.
Eicher, c'est toujours ce même charisme, le charme allié à une forme de décontraction toujours classy. Un savant mélange d'exotisme due à son accent chantant (ces r qui roulent!) et d'élégance qui donne l'impression d'une proximité naturelle. Un gars qu'on inviterait presque à boire un verre si on le croisait dans un café.
Et puis ces mélodies parfois dépouillées, en acoustique, ou bien orchestrées génialement et portées par cette voix particulière, chaude ou trop éraillée pour certains...
Bref, je kiffe. Mais ça vous le savez déjà ;-)
10 minutes de medley lors du concert des Francofollies de La Rochelle. 2008
@Nightingale, peut être tu me suivras!
Eicher, c'est toujours ce même charisme, le charme allié à une forme de décontraction toujours classy. Un savant mélange d'exotisme due à son accent chantant (ces r qui roulent!) et d'élégance qui donne l'impression d'une proximité naturelle. Un gars qu'on inviterait presque à boire un verre si on le croisait dans un café.
Et puis ces mélodies parfois dépouillées, en acoustique, ou bien orchestrées génialement et portées par cette voix particulière, chaude ou trop éraillée pour certains...
Bref, je kiffe. Mais ça vous le savez déjà ;-)
10 minutes de medley lors du concert des Francofollies de La Rochelle. 2008
@Nightingale, peut être tu me suivras!
Aeriale- Messages : 11930
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Et si on parlait de concert ?
Ah oui, j'aime bien Stephan Eicher aussi sans être une inconditionnelle. C'est un chanteur particulier pour moi car il est yéniche et je le suis un peu aussi.
Volga- Messages : 16
Date d'inscription : 28/12/2019
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