Sue Hubbell
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Re: Sue Hubbell
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A Country Year: Living the Questions / Une année à la campagne : Vivre les questions
J’ai découvert ce livre à cause de la couverture de la version allemande, une image de Edward Hopper
Il s’agit d’une lecture apaisante… j’en ressors tellement enthousiaste…
Mais je suis aussi triste. C’est seulement en ouvrant ce fil, j’ai vu que Sue Hubbell est morte l’année dernière… et moi je la croyais encore travailler parmi ses ruchers.
Je dois avouer, avant de me lancer dans ce livre, je n’étais pas sûre que j’allais aimer autant. Mais la façon dont elle emporte son lecteur dans son monde est extraordinaire.
J’ai vécu près d’elle, savourant la nature autour, travaillant avec les abeilles… c’est un vrai bon moment zen.
Seulement les moments quand elle parle des araignées, serpents ou autres « visiteurs » qu’elle rencontre autour et souvent dans sa maison, là j’étais contente de me retrouver devant son livre et non à côté d’elle
Ses descriptions de la nature, de sa vie « simple » dans cet environnement, ses rencontres avec animaux et voisins… c’est vraiment magique.
Très beau moment de lecture.
A Country Year: Living the Questions / Une année à la campagne : Vivre les questions
Présentation de l‘éditeur
Un jour, Sue Hubbell, biologiste de formation, ayant travaillé comme bibliothécaire, lasse de vivre en marge de la société de consommation de l'Est américain, décide de changer de vie. Avec son mari, elle part à la recherche d'un endroit où ils pourraient vivre loin des villes, suivant l'exemple du poète Thoreau. Après avoir cherché, ils trouvent cette ferme dans les monts Ozark, au sud-est du Missouri, et, ne connaissant rien à l'agriculture ni à l'élevage, ils décident de créer une «ferme d'abeilles». Alors commence pour Sue Hubbell une aventure dont elle n'imagine pas les conséquences. Les saisons, les années passent, maintenant dans la solitude car son mari l'a quittée, et cette femme qui n'avait de la nature qu'une connaissance théorique découvre lentement l'immensité de l'univers qu'elle s'est choisi : sur ces quelques hectares de collines où, depuis la disparition des Indiens Osages, aucun être humain ne s'est vraiment arrêté, la vie a établi ses lois et ses règles, tissant un réseau de dépendances entre tous les habitants : les plantes, les insectes, les araignées, les serpents, les oiseaux, les mammifères, et même les parasites et les bactéries. L'entrée dans ce monde n'est pas simple. Pour Sue Hubbell, c'est un véritable bouleversement. Elle qui croyait tout savoir de la vie animale découvre sur ces arpents de terre que la vie naturelle est un bien meilleur professeur, parce qu'elle ne donne pas la même réponse à toutes les questions, et qu'elle laisse le savoir germer et mûrir comme tout ce qui est vivant et vrai.
de la préface de J.M.G. Le Clézio
J’ai découvert ce livre à cause de la couverture de la version allemande, une image de Edward Hopper
Il s’agit d’une lecture apaisante… j’en ressors tellement enthousiaste…
Mais je suis aussi triste. C’est seulement en ouvrant ce fil, j’ai vu que Sue Hubbell est morte l’année dernière… et moi je la croyais encore travailler parmi ses ruchers.
Je dois avouer, avant de me lancer dans ce livre, je n’étais pas sûre que j’allais aimer autant. Mais la façon dont elle emporte son lecteur dans son monde est extraordinaire.
J’ai vécu près d’elle, savourant la nature autour, travaillant avec les abeilles… c’est un vrai bon moment zen.
Seulement les moments quand elle parle des araignées, serpents ou autres « visiteurs » qu’elle rencontre autour et souvent dans sa maison, là j’étais contente de me retrouver devant son livre et non à côté d’elle
Ses descriptions de la nature, de sa vie « simple » dans cet environnement, ses rencontres avec animaux et voisins… c’est vraiment magique.
Très beau moment de lecture.
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