P. G. Wodehouse
3 participants
Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature de culture anglaise et gaëlique
Page 1 sur 1
P. G. Wodehouse
photo de Irving Penn
Pelham Grenville Wodehouse, né à Guildford, Surrey, le 15 octobre 1881, mort à New York le 14 février 1975, est un auteur humoriste britannique naturalisé citoyen des États-Unis d'Amérique en 1955.
Son personnage du valet de chambre Jeeves est devenu internationalement célèbre. Sa série Jeeves and Wooster fut adaptée pour la chaine de télévision ITV en 1990, et a été très bien reçue.
source et suite
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: P. G. Wodehouse
/
The Inimitable Jeeves / L'Inimitable Jeeves
Ces deux personnages sont vraiment très attachants et n’importe la situation dans laquelle Bertie arrive à se mettre, Jeeves sait le remède et peut tourner le mauvais pour le bon.
Cela faisait une éternité que je n’avais rien lu de cet auteur… et c’était un vrai bon plaisir de le retrouver.
The Inimitable Jeeves / L'Inimitable Jeeves
La première apparition de Jeeves et Wooster s’est faite dans une nouvelle en 1917, dans un recueil avec plein d’autres. Par après il y a eu encore une autre nouvelle en 1919. A partir de 1923 ces deux étaient « les stars » et aussi bien recueil de nouvelles que romans, P.G. Wodehouse s’est réjoui de les faire figurer dans tout pleines de situations farfelues et loufoques.Présentation de l’éditeur
Dans une Angleterre éternelle peuplée de jeunes filles énergiques et épuisantes, de tantes redoutables, d'oncles débonnaires et passifs, de toute une galerie de personnages excentriques, domine la figure de Jeeves, le génial et flegmatique majordome du narrateur Bertie Wooster, jeune célibataire oisif et écervelé qui a l'art de se fourrer dans des situations inextricables. Ce sommet de l'humour anglais a enthousiasmé des générations de lecteurs, et a inspiré à un critique ce commentaire définitif : " Il n'y a que deux sortes de lecteurs de Wodehouse, ceux qui l'adorent et ceux qui ne l'ont pas lu. "
En voilà donc mon choix de classique pour mars. Et j’ai bien choisi. Un peu d’humour anglais ne fait pas mal de temps en temps.Jeeves et Bertie sont aussi connus au Royaume-Uni que Sherlock Holmes et le docteur Watson. Jeeves est le valet de chambre plein de style qui sauve toujours son jeune maître, l'inepte Bertram Wooster (dit « Bertie »), de situations invraisemblables.
Ces deux personnages sont vraiment très attachants et n’importe la situation dans laquelle Bertie arrive à se mettre, Jeeves sait le remède et peut tourner le mauvais pour le bon.
Cela faisait une éternité que je n’avais rien lu de cet auteur… et c’était un vrai bon plaisir de le retrouver.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: P. G. Wodehouse
Tu as raison, on passe un bon moment avec ce Mr Jeeves ! Mes lectures remontent à longtemps mais j'en garde un bon souvenir. Tu as vu l’adaptation ?
_________________
"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 4308
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: P. G. Wodehouse
Jeeves est assez délectable dans l'ensemble.
_________________
Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4820
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: P. G. Wodehouse
Spring and all that
[...]
I don’t know if you know that sort of feeling you get on these days round about the end of April and the beginning of May, when the sky’s a light blue, with cotton-wool clouds, and there’s a bit of a breeze blowing from the west? Kind of uplifting. Romantic, if you know what I mean.
The Inimitable Jeeves
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: P. G. Wodehouse
/
The Clicking of Cuthbert / Le Doyen du club-house
En voici un premier recueil dans lequel on retrouve un de ses personnages éponymes (Oldest Member, Le Doyen en version française).
Il ne faut pas avoir peur quand vous voyez le mot « golf » dans la présentation de l’éditeur. On peut déguster ses nouvelles, même sans connaissances du jeu.
Je ne suis moi-même pas l’experte, mais il y a une certaine atmosphère autour du green qui est réjouissante.
Et en ce qui concerne ces nouvelles, il y a surtout l’humour de l’auteur qui s’en dégage.
Chacune des histoires qu’il raconte se lit avec le grand sourire et le plus souvent avec une bonne rigolade vers la fin.
Je ne vois pas mieux pour passer quelques heures de bonne entente.
Tony Sarg pour la nouvelle The Long Hole
j’ai parlé de lui ici
il était aussi illustrateur et on lui doit des images du Doyen qui raconte les histoires autour du golf
The Clicking of Cuthbert / Le Doyen du club-house
Après la belle enquête au golf de La Baule en compagnie de Mary Lester, j’avais envie de rester un peu dans l’atmosphère de ce jeu et je savais que P.G. Wodehouse avait écrit toute une série de nouvelles autour de ce sport.Présentation de l’éditeur
Années 1920, le club de golf d'une banlieue aisée. Le Doyen du club ne joue plus mais il passe toutes ses journées, soit dans le fumoir quand il fait froid, soit sur la terrasse qui surplombe le terrain, d'où il peut observer les stratégies de la jeune génération. Dans chacune des dix nouvelles qui composent ce recueil, il interpelle un jeune homme, sous différents prétextes, et l'oblige à écouter une histoire. Il décrit alors des personnages excentriques, tous plus mordus de golf les uns que les autres, jusqu'à envisager la vie comme un vaste green et les coups du destin aussi désespérants qu'un swing raté, jusqu'à délaisser les jeunes filles qui ne voient dans le golf qu'un jeu. L'humour pince-sans-rire de l'auteur se distille au fil des récits du Doyen, surnommé " Le Sage ", mais qui s'avère être le plus toqué de golf et le plus fou de tous ces personnages. Le résultat est désopilant et réjouira le lecteur, qui n'est absolument pas obligé de jouer au golf pour savourer l'humour de l'auteur.
En voici un premier recueil dans lequel on retrouve un de ses personnages éponymes (Oldest Member, Le Doyen en version française).
Il ne faut pas avoir peur quand vous voyez le mot « golf » dans la présentation de l’éditeur. On peut déguster ses nouvelles, même sans connaissances du jeu.
Je ne suis moi-même pas l’experte, mais il y a une certaine atmosphère autour du green qui est réjouissante.
Et en ce qui concerne ces nouvelles, il y a surtout l’humour de l’auteur qui s’en dégage.
Chacune des histoires qu’il raconte se lit avec le grand sourire et le plus souvent avec une bonne rigolade vers la fin.
Je ne vois pas mieux pour passer quelques heures de bonne entente.
Tony Sarg pour la nouvelle The Long Hole
j’ai parlé de lui ici
il était aussi illustrateur et on lui doit des images du Doyen qui raconte les histoires autour du golf
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: P. G. Wodehouse
/
The Heart of a Goof / Courtes histoires de green
Retrouver le doyen et les histoires de green qu’il raconte, était un très grand plaisir.
P.G. Wodehouse connaît bien ce sport mais le plus important n’est pas ce qu’il raconte au sujet du golf, mais des personnes qui l’exercent.
C’est le plus souvent très joyeux.
On doit sourire plus d’une fois à cause des situations qu’il a inventé.
Je me suis en tout cas régalée avec ses histoires… et c’est dommage qu’il n’y en a plus. En ce qui me concerne, j’aurais accompagné ce doyen encore pendant plus d’une soirée.
The Heart of a Goof / Courtes histoires de green
Je vais garder cette année en très bonne mémoire… celle où je n’ai pas arrêté de jouer au golfPrésentation de l’éditeur
Autour du doyen d’un club-house au parfum tout edwardien, le narrateur de ces Courtes histoires de green dresse une saisissante galerie de personnages hauts en couleur, tous unis par une seule préoccupation et une seule passion: le golf, « le plus noble des sports».
Dans les situations les plus cocasses, portées par des dialogues des plus drôles, se croisent jeunes aristocrates, bourgeois britanniques ou milliardaires américains, flanqués de leurs inévitables majordomes anglais. De l’apprenti golfeur au champion reconnu en passant par le joueur confirmé, c’est tout l’univers du golf qui est ainsi décrit, sur fond d’amours contrariées, de tensions conjugales, de tractations financières et de vanités froissées. Car les greens, sous la plume inimitable de P. G. Wodehouse, se transforment en théâtre de toutes les passions.
Ces neuf Courtes histoires de green, pour la première fois éditées en français, raviront à la fois les inconditionnels du grand humoriste britannique et les amateurs de golf qui, comme chacun sait, ont un sens de l’humour inné.
Retrouver le doyen et les histoires de green qu’il raconte, était un très grand plaisir.
P.G. Wodehouse connaît bien ce sport mais le plus important n’est pas ce qu’il raconte au sujet du golf, mais des personnes qui l’exercent.
C’est le plus souvent très joyeux.
On doit sourire plus d’une fois à cause des situations qu’il a inventé.
Je me suis en tout cas régalée avec ses histoires… et c’est dommage qu’il n’y en a plus. En ce qui me concerne, j’aurais accompagné ce doyen encore pendant plus d’une soirée.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature de culture anglaise et gaëlique
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum