Michiko Aoyama
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Re: Michiko Aoyama

La Bibliothèque des rêves secrets
Présentation de l’éditeur
Femme imposante et énigmatique coincée entre le paravent et le bureau d’angle du coin Conseils d’une petite bibliothèque en plein cœur de Tokyo, Sayuri Komachi attend patiemment ceux qui décident de venir la voir.
Hommes ou femmes, jeunes ou vieux, salariés ou retraités... ils sont au croisement de leur vie. Et à chacun, la mystérieuse bibliothécaire propose un ouvrage totalement inattendu, bien loin de celui qu’ils croyaient être venus chercher.
Mais ce choix ne relève pas du hasard, car derrière cette lecture imprévue et surprenante se dessinent les premiers jalons d’un nouveau départ.
Un roman choral poétique qui célèbre le pouvoir des livres et l’importance qu’une personne attentive et à l’écoute peut avoir sur le destin de chacun d’entre nous.
Après ma lecture, j’ai recherché quelques avis sur la toile. Entre grand enthousiasme et « gna gna « j’en ai trouvé un peu de tout.
Je me situe un peu entre les deux.
Même pas besoin de le nier, une fois de plus, la couverture m’a amené vers ce livre (et pas à cause du chat, bien que Queenie a aussi raison avec sa remarque "Les chats c'est ultra vendeur en librairie. Associé au Japon, c'est carrément jackpot".).
L’illustration est attrayante et sa douceur en rose était une parfaite invitation pour une lecture (légère) d’été.
Il y a cinq chapitres, qu’on pourrait qualifier de nouvelles.
Certes on y trouve des points qui relient les histoires, surtout cette bibliothèque dans laquelle toutes les personnes vont recevoir des bonnes pistes de lecture. Mais sinon les personnes qu’on va rencontre n’ont pas de liens entre eux (ou sinon que très légers).
L’écriture est fluide, la présentation des différents protagonistes de ces histoires est intéressante.
Dès le premier chapitre on sait que la solution du « problème » (parfois ils ne savent même pas qu’ils en ont un) va venir après leur visite de cette bibliothèque.
On attend ce moment et il s’agit toujours d’une surprise comment Sayuri Komachi va venir en aide.
N’attendez pas le roman de l’année, c’est un petit marshmallow (aussi rose que la couverture) qui se déguste avec plaisir.
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George Gershwin
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