May Sinclair

May Sinclair, pseudonyme de Mary Amelia St. Clair, née le 24 août 1863 à Rock Ferry, Cheshire et morte le 14 novembre 1946 dans le Buckinghamshire, est une écrivaine et critique littéraire britannique.

Elle est connue également comme suffragiste engagée, membre de la Women Writers' Suffrage League.


source et suite

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Life and Death of Harriett Frean / Vie et Mort de Harriett Frean

Présentation de l’éditeur
Bébé, Harriett était déjà adorable. Puis, de charmante enfant, elle est devenue une ravissante jeune femme. Quoi de plus normal, puisque Harriett est la fille de Mr. et Mrs. Hilton Frean, un couple qui se distingue par son élégance et sa moralité irréprochable. Au fur et à mesure que les années passent et se ressemblent, Harriett se laisse bercer par la douce torpeur de son foyer, entourée de ses deux parents adorés, image idyllique d’une famille parfaite.
Mais un jour, Harriett se retrouve face à un choix dont les conséquences pourraient bien finir par ébranler ses certitudes. Derrière le rôle de petite fille modèle qu’elle a jusqu’ici docilement endossé se cache peut-être une réalité moins séduisante. Avec une ironie douce-amère, May Sinclair brosse le portrait implacable d’une Angleterre victorienne et bourgeoise, au conservatisme délétère, particulièrement impitoyable pour les femmes de son époque.

Ce commentaire ne concerne que moi.

L’écriture de May Sinclair est très agréable, on ne sent pas les 100 ans qui séparent l’année de création et ma lecture.

Et je veux bien croire aussi que le message de ce texte reste encore valable pour bon  nombre de gens.

Quant à moi, je n’aime pas trop le sujet de faire un sacrifice. Et c’est ce que Harrriett considère comme son sort. Elle n’ose pas vivre sa propre vie et ainsi elle passe à côté de toutes les possibilités qui s’offrent à elle.

Il y a aussi bon nombre de lecteurs qui savent rester « en dehors » du livre. Moi, je n’y arrive pas. Je m’engage, je suis à 100 % aux côtés des événements, je m’implique… et ainsi j’ai naturellement aussi du mal quand les événements m’énervent. Et cet envie de Harriet pour souffrir m’a agacé.

Très courte lecture (70 pages), ainsi faisable… et comme je l’ai dit, peut-être un bon moment pour plein d’autres.

Il doit y avoir des enthousiastes puisque la maison d’édition Cambourakis vient de ressortir ce texte en ce début de 2023.

Tiens... ça m’intrigue au contraire, ce comportement en dehors de la vie. Comment quand on a eu une enfance privilégiée et aimante, tourner le dos à l’existence? 

C’est étrange tout de même. Il n’est pas long, peut être je le lirai.. Merci Kenavo!

ah mais oui, je disais que mon impression ne concernait que moi, je serais curieuse de ton avis

le 7 février ce livre va paraître avec en couverture une belle image de John Singer Sargent