Liliana Magrini
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Liliana Magrini

Liliana Magrini (1917-1985) est née à Venise où elle fait ses études avant de rejoindre l'université de Padoue.
Au début des années 50, elle se rend fréquemment à Paris où elle a une relation amoureuse avec l'écrivain Louis Guilloux.
Elle traduit en italien des ouvrages entre autres de Camus et Malraux, publie un roman, La Vestale, en 1953, et trois ans après Carnet vénitien.
A la mort de sa mère, suivie de peu par celle de Camus, elle s'installe à Rome comme journaliste et se lance dans des activités tiers-mondistes. Elle viendra finir ses jours à Venise.
Source : Éditeur
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Re: Liliana Magrini

Carnet vénitien
Cela faisait longtemps que je n’ai pas fait un petit séjour à Venise.Présentation de l’éditeur
Cet essai sous forme de journal, où la réflexion s'ajoute au tableau, parfois en simple croquis, à la note la plus brève, se situe d'une manière singulière dans l'abondante littérature qu'a inspirée depuis des siècles l'une des villes les plus belles et les plus célèbres du monde : Venise.
Dans ces pages de carnet, dont l'auteur est une Vénitienne de naissance s'exprimant en français, on trouvera une Venise intime, inconnue des touristes, une Venise bourgeoise et artisanale, repliée sur elle-même - une Venise de petites gens, celle des gondoliers et des pêcheurs de la lagune, des habitants des Îles -, une Venise provinciale et difficile.
Après avoir quitté Venise pour Paris, où elle a souvent séjourné, Liliana Magrini en garde un souvenir nostalgique. Cette nostalgie imprègne son récit qui s’étend environ sur une année.
La maison de Goldoni, les dentellières de Burano, le Fresco sur le Grand Canal, tout comme la fête annuelle des verriers ou les manèges de la rive degli Schiavoni sont autant d’étapes de l’auteure qui dépeint sa ville natale.
Sans oublier ses habitants et leurs mœurs, petit peuple, gamins, jeunes gens, femmes, vieux et vieilles… de la Giudecca, du Lido ou de Chioggia…
Une magnifique balade quasi intemporelle dans la Sérénissime !
En ce début d’année, j’ai retrouvé ce livre sur mes étagères et bien que le livre date, écrit en 1956, et que je sais que la ville a entre-temps beaucoup changé, Liliana Magrini était un guide parfait.
Un livre qui utilise des mots qui donnent des images au lecteur, des impressions.
L’auteure fait des descriptions qui présentent une Venise au quotidien mais surtout une ville qui ne connaissait pas encore le tourisme en masse.
On va faire connaissance avec une Venise énigmatique, envoûtante.
Quelle belle balade

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