Moray Dalton
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Moray Dalton
Katherine Dalton Renoir (« Moray Dalton ») est née à Hammersmith, Londres, en 1881, fille unique d'un père canadien et d'une mère anglaise.
Moray Dalton a publié vingt-neuf mystères, le dernier en 1951. La majorité d'entre eux mettent en vedette ses détectives récurrents, l'inspecteur de Scotland Yard Hugh Collier et l'agent d'enquête privé Hermann Glide.
Moray Dalton épousa Louis Jean Renoir en 1921 et le couple eut un fils un an plus tard. L'auteur a vécu sur la côte sud de l'Angleterre pendant la majeure partie de sa vie après le mariage.
Elle est décédée en Worthing, West Sussex, en 1963.
Source : Editeur
Série Hugh Collier
1928 One by One They Disappeared
1931 The Night of Fear / La nuit de la peur
1933 The Belfry Murder
1933 The Harvest of Tares
1935 The Belgrave Manor Crime
1936 The Mystery of the Kneeling Woman
1936 The Strange Case of Harriet Hall
1938 Death in the Dark
1939 Death in the Forest
1943 The Art School Murders
1945 The Longbridge Murders / Les meurtres de Longbridge
1947 The Condamine Case
1948 The Case Of The Dark Stranger
1949 Inquest On Miriam
1951 Death of a Spinster
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George Gershwin
Re: Moray Dalton
One by One They Disappeared
Tiens, tiens… je n’y croyais plus, mais j’ai en effet détecté une autre série et le premier tome m’a fait passer un bon temps.Présentation de l’éditeur
Elbert J. Pakenham of New York City is among just nine survivors of the sinking of the Coptic – not counting his black cat Jehosaphat. The benevolent Mr. Pakenham has made his fellow survivors joint beneficiaries in his will, his nephew having recently passed away. But it seems that someone is unwilling to share the fortune, as the heirs start to die under mysterious circumstances . . .
Then Mr. Pakenham himself disappears, and Inspector Collier of Scotland Yard suspects dirty work. When a trap is laid that seriously wounds his best friend at the Yard, Superintendent Trask, Collier is certain his suspicions are correct. Into his net are drawn a charming young woman, Corinna Lacy, and her cousin and trustee, Wilfred Stark; a landed gentleman of dubious reputation, Gilbert Freyne, and his sister-in-law, Gladys; an Italian nobleman of ancient lineage and depleted estate, Count Olivieri; and a Bohemian English artist, Edgar Mallory. But Collier will need some unexpected feline assistance before the case is solved.
L’inspecteur Collier n’est pas trop bavard, ni trop maniaque, certainement pas en train de recompter tous les différents détails de ses recherches… en voilà un enquêteur qui pourrait me plaire.
Cette première rencontre a été en tout cas assez dynamique pour me donner envie de poursuivre.
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George Gershwin
Re: Moray Dalton
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The Night of Fear / La nuit de la peur
Bien qu’au début de l’enquête, il y a l’inspecteur Collier présent, mais ses supérieurs ne veulent pas qu’il soit responsable, ainsi on le remplace.
Le cher inspecteur envoie un ami à lui qui est un détective privé. Ainsi l’inspecteur garde quand même un œil sur cette affaire.
Tout comme ma première rencontre avec Moray Dalton, j’étais assez intriguée par l’énigme qu’elle développe.
On y passe vraiment un bon moment en sa compagnie.
The Night of Fear / La nuit de la peur
Noël est mentionné, mais il n’y a pas plus de « Noël » que ça !Présentation de l’éditeur
Un rassemblement de Noël entre petits et grands dans une grande maison de campagne en Angleterre – une mascarade – et les lumières s'éteignent pour une partie de cache-cache. Silence, puis le cri d’un homme demandant « Lumières ! » Les lumières s'allument, révélant Hugh Darrow, aveugle depuis la guerre, debout dans le hall principal, du sang frais coulant de ses mains et recouvrant son costume blanc de Pierrot. Il raconte avoir découvert un homme mort, poignardé en plein cœur, allongé dans l'embrasure d'une fenêtre à rideaux à côté de celle dans laquelle il se cachait. L'homme assassiné s'avère être Stallard, l'un des visiteurs et auteur de contes mystérieux. S'ensuit une histoire passionnante dans laquelle la vie d'un homme innocent est en jeu. Une histoire grandiose et déroutante pour les amateurs de mystère.
Bien qu’au début de l’enquête, il y a l’inspecteur Collier présent, mais ses supérieurs ne veulent pas qu’il soit responsable, ainsi on le remplace.
Le cher inspecteur envoie un ami à lui qui est un détective privé. Ainsi l’inspecteur garde quand même un œil sur cette affaire.
Tout comme ma première rencontre avec Moray Dalton, j’étais assez intriguée par l’énigme qu’elle développe.
On y passe vraiment un bon moment en sa compagnie.
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Re: Moray Dalton
The Art School Murders
Bonne idée de retrouver Moray Dalton. Son inspecteur, Hugh Collier, ne m’a pas impressionné autant que d’autres du genre, mais je l’avais retenu pour une autre lecture.Présentation de l’éditeur
Artists’ model Althea Greville was, in life, known as something of a femme fatale. But the phrase becomes only too literal. What initially appears to be red paint leads instead to Althea’s dead body, murdered in Morosini’s renowned school of art. Hugh Collier of Scotland Yard is called in, but two more murder victims follow, one of them a female student at the school, stabbed to death at a cinema. After many a twist, Collier selects the right piece in the puzzle to identify a murderer operating under cover of England’s World War Two black-out.
It is a pleasure to accompany Hugh Collier in The Art School Murders as he suavely but relentlessly pursues, and finally brings to justice, a diabolically callous killer.
Et c’est bien fait, j’ai beaucoup aimé.
Elle n’a pas la côte comme d’autres auteurs, ainsi il y a bon nombre de ses livres qui ne sont pas disponibles pour l’instant. Ou parmi ceux qui sont dispo, la lecture du résumé ne m’a pas attiré.
Bon, n’importe, celui-ci était une bonne pioche.
Bien situé dans ce petit monde de cette école d’art, nombre de suspects appréciable, un inspecteur à la hauteur de l’enquête… tout y est pour passer du bon temps.
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George Gershwin
Re: Moray Dalton
The Mystery of the Kneeling Woman
On connaît bien l’image de la couverture – à un moment donné, @Liseron l’avait en avatar.Présentation de l’éditeur
Kindly Reverend John Clare pays a social call upon the saturnine Simon Killick at his forbidding house, The Grange. Killick is a virtual recluse who relies on three dogs and a parrot for company.
Killick is soon found murdered in his home, while in a nearby wood a local schoolboy, Toby, discovers a dying stranger whose last words refer to a "kneeling woman."
This kick-starts a complicated case for the local police and it is not long before Scotland Yard, in the form of Inspector Collier, is called in. Yet more murders follow-this time by poisoned chocolates. Are all the deaths connected, and is the "kneeling woman" the link? What might Sir Henry Webber, the new owner of Brock Hall, know about the case, or, for that matter, his snobbish wife Beryl, and their two ghastly sons? Or odd jobs man Tommy Yates, or Florrie Soper, cook at the Hall, who adores Edgar Wallace thrillers and is intent on marrying Tommy.
At least Collier has the eager assistance of Toby . . . and his widowed mother Sandra. Has love finally entered the life of Inspector Collier? Let's just say Sandra and, especially, Toby reappear in the next Inspector Collier case, Death in the Dark.
Sinon concernant cet épisode de la série avec l'inspecteur Collier, cela commence avec une bonne première partie. Intrigue, personnage, meurtres… tout bon.
Malheureusement cela bascule dans une enquête qui n’est vraiment pas une. L’inspecteur tombe amoureux et perd un peu la vue d’ensemble. En plus il n’y a en fait qu’un seul suspect et cela ne va rien changer quand il revoit les données à partir de trois angles différents.
La dernière partie se concentre sur le tribunal qu’on fait au coupable et c’est d’un ennuie colossal. J’ai zappé des pages, sinon je ne serais jamais arrivée à la fin. Dommage pour un début prometteur.
Si l’envie revient de retrouver l’inspecteur Collier, je vais tenter encore une enquête – celle où on dit qu’il est entre-temps marié… huhu..
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