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Patrick White

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Message par domreader Mar 23 Juil 2019, 10:55 am

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Source Wikipédia

Patrick White est né à Knightsbridge (Londres) en 1912, à la fin du voyage de noces de ses parents, tous deux issus de milieux terriens très fortunés de la vallée de l'Hunter. Asthmatique, il passe son enfance dans les Blue Mountains avant d'entrer au Cheltenham college à 13 ans. De retour en Australie, il travaille comme gardien d'élevage, puis écrit des poèmes et des nouvelles, tout en préparant son entrée à l'université. Il étudie au King's College de Cambridge dont il sort diplômé en 1935. Il entame alors une carrière littéraire à Londres avec un recueil de poésie, The Ploughman And Other Poems, puis avec un roman et une pièce de théâtre.

En 1936, White rencontre le peintre Roy de Maistre, de dix-huit ans son aîné, qui a une influence majeure dans sa vie et sur son œuvre. Les deux hommes n'ont jamais été amoureux, mais sont restés très bons amis. Selon les propres mots de Patrick White : « Il est devenu ce dont j'avais le plus besoin, un mentor intellectuel et esthétique. » Dès leur rencontre, ils se découvrent plusieurs points en commun. Tous deux homosexuels, ils se sentent comme étrangers dans leurs propres familles. Par conséquent, ils partagent les mêmes sentiments ambivalents au sujet de leur milieu socio-familial, bien qu'ils maintiennent des liens étroits et durables avec leurs familles, en particulier avec leurs mères. Ils jouissent également des avantages de leur position sociale et de leurs relations artistiques communes. En outre, la symbolique chrétienne et les thèmes bibliques apparaissent fréquemment dans le travail des deux artistes. Patrick White dédie son premier roman Eden-ville (Happy Valley, 1939) à de Maistre, reconnaissant ainsi son influence sur son écriture. White a également acheté plusieurs tableaux de de Maistre pour lui-même. En 1974, il les a tous légués à la Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud.

Vers la fin des années 1930, White se rend souvent aux États-Unis, notamment à Cap Cod, au Massachusetts, et à New York, où il a écrit Des morts et des vivants (The Living and the Dead, 1941) qui explore les mutations de la société à travers les relations changeantes entre les membres d'une famille, leurs amis et leurs voisins. Au moment du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, il se rend à Londres et est enrôlé dans la Royal Air Force britannique, où il devient agent de renseignement. Il est rapidement affecté au Moyen-Orient et sert en Égypte, en Palestine et aussi en Grèce avant la fin de la guerre. En mission au Moyen-Orient, il a une liaison avec un officier de l'armée grecque, Manoly Lascaris, qui devient son compagnon à vie.

À son retour en Australie, il s'installe comme horticulteur et éleveur avec Lascaris dans une ferme à Castle Hill, dans la banlieue de Sydney. En 1964, il s'établit à Centennial Park, au cœur de la ville. Cet intérêt pour la nature n'est pas nouveau chez lui. Son premier roman, Eden-Ville, avait déjà pour cadre l'Australie rurale, et il en est de même dans ses ouvrages plus tardifs, à l'instar de L'Arbre de l'homme (The Tree of Man, 1955), son chef-d'œuvre, qui traite de l'urbanisation des campagnes et de la lutte d'un paysan dans les grands espaces. Très vite, son œuvre romanesque s'écarte du réalisme social en vigueur dans la littérature australienne, préférant peindre la destinée physique et psychique de personnes humbles. L'auteur se glisse dans l'espace mental de ses personnages qui baignent dans une atmosphère fantasmagorique. Ses romans explorent la force mystique ou mystérieuse des paysages d'Océanie et le caractère irrationnel des Australiens, ce qui les rapproche du travail des peintres Russell Drysdale et Sidney Nolan et du photographe Max Dupain.

Rédigé pendant la guerre, L'Histoire de ma tante (The Aunt's story, 1948) se veut une œuvre expérimentale. Auteur d'une dizaine de romans, de nouvelles et de pièces de théâtre, White s'est toujours voulu proche de la modernité littéraire. Plusieurs de ses textes ont pour thèmes l'intimité, la recherche d'identité et le parcours initiatique sans se couper d'interrogations politiques et sociales. Ils ont recours aux courants de conscience et à la démultiplication des points de vue narratifs. Centrée sur l'intériorité et le ressenti, son œuvre trahit l'influence de James Joyce, Virginia Woolf, T. S. Eliot et D. H. Lawrence. Elle est aussi proche de celle d'André Gide et Thomas Mann. Son écriture privilégie l'humour et l'épigramme. Plusieurs de ses ouvrages comme Le Char des élus (Riders in the Chariot, 1961), Le Mystérieux Mandala (The Solid Mandala, 1966) et L'Œil du cyclone (The Eye of the Storm, 1973) mettent en scène des héros ordinaires dotés d'une grande force de caractère, luttant contre l'adversité et prenant en main leur destin. Quant au roman Les Incarnations d'Eddie Twyborn (The Twyborn Affair, 1979), il narre les troubles sexuels et existentiels d'un individu androgyne qui s'incarne en trois personnages différents (deux femmes et un homme) à des époques distinctes. Le récit s'ouvre à la Belle Époque, sur la Riviera française et s'achève sur les bombardements londoniens de 1940. Le style de White, ornementé, bouillonnant et riche en métaphores, manifeste parfois une certaine préciosité. L'auteur est célébré par la critique pour son originalité, son aisance à passer d'un registre à l'autre (du trivial au sublime) et son pouvoir de suggestion, donnant à voir sans décrire[1].

Considéré comme un écrivain anglophone majeur du XXe siècle, White est le premier Australien (et à ce jour le seul) à recevoir le prix Nobel de littérature en 1973. L'Académie suédoise l'a ainsi cité pour « son art de la narration psychologique et épique qui a fait entrer un nouveau continent dans le monde de la littérature ».[]

Dès l'année suivante, il utilise la récompense du prix Nobel pour fonder en Australie son propre prix littéraire, le prix Patrick-White, qui accorde une dotation de plusieurs milliers de dollars australiens à un auteur ou une autrice à la créativité remarquable vivant en Australie, qui s'illustre dans n'importe quel genre littéraire, mais dont l'œuvre déjà avancée n'a pas bénéficié de la reconnaissance méritée. La première récipiendaire de son prix en 1974 est la romancière Christina Stead, tandis que la première personne qui le recevra pour une œuvre dramatique, après la mort de l'auteur, sera la dramaturge Alma De Groen en 1998.

Patrick White publie son autobiographie, Défauts dans le miroir (Flaws in the Glass), en 1981. Ses prises de position politique, notamment contre la guerre du Viêt Nam, ses origines terriennes, sa critique acerbe d'une société australienne violente, hypocrite et fruste ou encore son refus du conservatisme l'ont privé dans son pays de l'estime et de la popularité dont il a joui à l'étranger.


Bibliographie ( wikipedia)

* The Ploughman And Other Poems, 1935
* The Living and the Dead, 1941, Des morts et des vivants, 1990 (Gallimard)
* The Aunt's Story, 1948
* The Tree of Man, 1955, L'Arbre de l'homme
* Voss, 1957
* Riders in the Chariot, 1961
* The Solid Mandala, 1966, Le Mystérieux Mandala, 1970 (Gallimard)
* Les Échaudés, 1969 (Gallimard)
* The Vivisector, 1970, Le Vivisecteur, 2 tomes, 1979 (Gallimard)
* The Eye of the Storm, 1973, L'Œil du cyclone, 2 tomes, 1978 (Gallimard)
* A Fringe Of Leaves, 1976, La ceinture de feuille, 1981 (Gallimard - Coll. L'Imaginaire)
* The Twyborn Affair, 1979, Les incarnations d'Eddie Twyborn, 1983 (Gallimard)
* Flaws in the Glass, (1981), Défauts dans le miroir, 1985 (Gallimard)
* Histoires peu Ordinaires, 1994 (Arléa)


Dernière édition par domreader le Mer 24 Juil 2019, 9:09 am, édité 1 fois

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Message par Arabella Mar 23 Juil 2019, 7:33 pm

Une ceinture de feuilles


Nous suivons les pérégrinations d'Helen Roxburgh, jeune femme d'origine modeste, qui par son mariage a accédé à la partie huppée de la société. Son mari rend visite à son frère qui s'est installé en Tasmanie, le bateau qui doit ramener le couple en Angleterre fait naufrage, et un dangereux périple commence. Tous les hommes sont tués par les Aborigènes d'Australie, et Helen se retrouve esclave de la tribu. Elle arrivera à s'enfuir grâce à un bagnard évadé.

Un livre très surprenant, dans lequel les péripéties sont nombreuses et l'action ne s'arrête pratiquement jamais. Sans pour autant sacrifier l'analyse des personnages, celui d'Helen tout particulièrement, d'une richesse et complexité étonnante. La société est aussi croquée de façon fine et impitoyable à la fois. Une certaine dose d'humour est toujours présente.

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Message par Aeriale Mer 24 Juil 2019, 8:50 am

Merci pour la présentation détaillée de l'auteur, @Domreader. Une vie riche et plutôt atypique.

Vous en parliez ailleurs et je ne connaissais pas. Mais je ne me souviens plus du roman conseillé à cette occasion.

C"était celui-ci @Arabella?
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Message par domreader Mer 24 Juil 2019, 9:12 am

Aeriale a écrit:Merci pour la présentation détaillée de l'auteur, @Domreader. Une vie riche et plutôt atypique.

Vous en parliez ailleurs et je ne connaissais pas. Mais je ne me souviens plus du roman conseillé à cette occasion.

C"était celui-ci @Arabella?


Je ne sais pas lequel était conseillé. Je vais poster un commentaire sur un autre livre tu auras peut-être envie de l'un plutôt que de l'autre.

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Message par domreader Mer 24 Juil 2019, 9:16 am

Le Char Des Elus
Riders in the Chariot
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Comment seulement commencer à vous faire partager cet incroyable et formidable roman, d’une densité et d’une richesse exceptionnelles.

Le récit part de Miss Hare, un petit bout de femme ratatinée à l’âge indéfini mais avancé qui vit seule dans une immense maison en décrépitude dans la banlieue de Sydney, à Salsaparilla. Cette propriété autrefois splendide a pour nom ‘Xanadu’ et fut construite par le père de Miss Hare, un héritier fort riche qui n’eut de cesse que de se faire construire un véritable palais et d’y donner des réceptions somptueuses. Xanadu est envahi par les plantes du jardin qui reprennent petit à petit le dessus et détruisent le ‘palais’ avec un certain panache.
Miss Hare est une âme simple, à demi-folle, proche de la nature et de ses êtres auxquels elle s’identifie parfois totalement ; elle a peu le sens des réalités pratiques et finit par engager une domestique, Mrs Jolley pour s’occuper des pièces encore habitables de la maison. Cette dernière, sous des dehors joviaux, est plutôt une incarnation du mal, de la bêtise et de la méchanceté, elle sera à l’origine d’actions malfaisantes.
Miss Hare est l’un des quatre personnages dont Patrick White va raconter l’histoire dans ce roman, elle est l’un des passagers symboliques du Char, le char des élus, ce char auréolé de feu qui est envoyé pour chercher les âmes pures au moment de leur mort. Il y a aussi Mme Godbold, une blanchisseuse aux nombreux enfants qui vit avec eux et son ivrogne de mari dans une grange minable un peu à l’écart, c’est une sorte d’ange qui vient au secours des plus démunis qu’elle comme Miss Hare et Mr. Himmelfarb, un vieux juif émigré rescapé des horreurs des camps. Il y a encore le pauvre Dubbo un métis aborigène, malade, rejeté de tous. Ces quatre êtres survivent avec grâce dans un monde cruel envahi par l’indifférence ou pire par le mal. Tous ont été abîmés et rejetés, mais tous ont eu la vision du Char à un moment donné et sous une forme différente ; c’est ce qui les relient, les réunit et leur laisse entrevoir la possibilité d’un monde meilleur.

Un livre dense, humain, passionnant, riche en symboles, avec de nombreuses références intertextuelles (souvent bibliques). Les personnages sont à la fois très humains et incroyablement emblématiques. La langue est belle, travaillée, riche en métaphores, en images poétiques qui s’appellent les unes et les autres. C’est tout simplement magnifique. Un vrai souffle lyrique, qui touche parfois au mystique nous emporte jusqu’au bout de ce livre. Pour moi il s’agit d’un chef d’œuvre et croyez-moi, j’emploie rarement ce terme.

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Message par domreader Mer 24 Juil 2019, 9:20 am

Un ajout que j'avais fait au premier commentaire du Char des Elus:

Quand je parlais de symboles, les noms des personnages sont parlants, par exemple Miss Hare – cette vieille femme à demi-folle qui s’identifie à la nature et aux animaux qui l’entourent : en anglais ‘hare’ c’est un lièvre, une expression commune est ‘as mad as a March hare’ aussi fou qu’un lièvre de mars. En mars, c’est la période des amours et les lièvres sautillent sur place en tous sens comme pris de folie. On pourrait en dire autant sur Mme Godbold : ‘bold’ ou intrépide, audacieux et c’est bien ce qu’est Mme Godbold, celle qui sans peur des préjugés porte secours et aide, presque une envoyée divine. On peut dire la même chose sur le nom de tous les personnages du livre. Même les noms de lieux sont chargés de sens : comme Xanadu déjà bien connu, ou Salsaparilla, le nom de la banlieue (la salsepareille, un liseron envahissant et épineux) – ce nom à la fois représentatif des plantes qui envahissent Xanadu et de la ville de Sydney tentaculaire qui vient petit à petit grignoter ces banlieues paisibles.

Un petit extrait, pris au hasard, que je ne me permettrais pas de traduire car la langue est riche et délicate, pour vous donner un aperçu (je le massacrerais c’est quasi sûr) :


Citation :‘Then, suddenly, the people waiting at the crossing leaped forward in one surge, and Mrs Godbold was carried with them. How the others were hurrying to resume their always importunate lives. But the woman in the black hat drifted when she was not pushed. For the first moment in her life, and no doubt only briefly, she remained above and impervious to the stream of time. So she coasted along for a little after she had reached the opposite side. Although her tears were all run, her eyes still glittered into the distance of their sockets. Fingers of green and crimson neon grappled for possession of her ordinarily suetty face, almost as if it had been a prize, and at moments the strife between light and darkness wrung out a royal purple, which drenched the slow figure in black.’

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Message par Aeriale Jeu 25 Juil 2019, 7:08 pm

domreader a écrit:Je ne sais pas lequel était conseillé. Je vais poster un commentaire sur un autre livre tu auras peut-être envie de l'un plutôt que de l'autre.
 
Je ne sais plus s'il s'agissait de celui ci, mais tu m'as convaincue sur Le char des élus, c'est certain..

Et comme tu dis, il est rare de te lire aussi enthousiaste sur un livre. Noté doublement, merci Dom!
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Message par domreader Ven 26 Juil 2019, 8:48 am

Aeriale a écrit:
domreader a écrit:Je ne sais pas lequel était conseillé. Je vais poster un commentaire sur un autre livre tu auras peut-être envie de l'un plutôt que de l'autre.
 
Je ne sais plus s'il s'agissait de celui ci, mais tu m'as convaincue sur Le char des élus, c'est certain..

Et comme tu dis, il est rare de te lire aussi enthousiaste sur un livre. Noté doublement, merci Dom!

Attention @Aeriale celui-là est un pavé si je me souviens bien. Regarde le nombre de pages avant d'attaquer cet auteur. Il y a sûrement d'autres romans plus courts si celui-là te paraît long je sais que tu n'aimes guère les pavés.

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Message par Arabella Ven 26 Juil 2019, 11:05 am

C'est l'aspect pavé qui retarde ma lecture, j'attends d'avoir du temps.
Une ceinture de feuilles est beaucoup plus court.

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Message par Aeriale Sam 27 Juil 2019, 8:45 am

domreader a écrit:
Attention @Aeriale celui-là est un pavé si je me souviens bien. Regarde le nombre de pages avant d'attaquer cet auteur. Il y a sûrement d'autres romans plus courts si celui-là te paraît long je sais que tu n'aimes guère les pavés.
Ah d'accord... Je verifierai , merci :-)

Arabella a écrit:C'est l'aspect pavé qui retarde ma lecture, j'attends d'avoir du temps.
Une ceinture de feuilles est beaucoup plus court.
Ok, noté!
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Message par Liseron Sam 27 Juil 2019, 4:53 pm

C'est bien du Char des élus dont tu parlais sur FB, ton commentaire donne vraiment envie ! Je le note !

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