Fabienne Cinquin

J’ai toujours aimé les livres.

C’est en lisant pour la première fois la réplique d’Alice “À quoi peut bien servir un livre sans images?” que j’ai décidé de créer des images pour accompagner des textes et c’est comme ça que je suis devenue illustratrice, puisant mon inspiration dans l’imaginaire.

Depuis, je continue de passer mon temps au milieu des livres d’images qui me donnent toujours et encore une envie intarrissable de dessiner.


Source : Editeur



son site

Histoire : Elsa Valentin


Zette et Zotte à l'uzine

Présentation de l’éditeur
“Deux sœurettes zouvrilleuses zouvrillaient dans une uzine qui fabricolait des zabits de louxe. Elles gagnaient des miettes et des légumes.” Lorsqu’est décidée une “grave généreule”.

Parler de l’usine est important, de grèves certainement.

Montrant cette jolie solidarité est extra et la découverte du graphisme de Fabienne Cinquin un vrai tour de chance.

Donc, tout y était pour en faire de cet album un coup de cœur ?!

Hélas, non… je suis bien d’accord qu’on peut aussi montrer aux jeunes une autre langue que toujours celle « des classiques » mais le français est une si belle langue, pourquoi la massacrer de cette sorte ?

Je vois l’intention de l’auteur… reste quand même que je n’adhère pas à ce genre.

Dommage, un album qui aurait sinon eu que des louanges de ma part

Je vais me garder de parler de « style » mais bon...

kenavo a écrit:Hélas, non… je suis bien d’accord qu’on peut aussi montrer aux jeunes une autre langue que toujours celle « des classiques » mais le français est une si belle langue, pourquoi la massacrer de cette sorte ?

Complètement d'accord avec vous deux! C'est fou cette manie de "faire parler comme...". Même tôt, les enfants ne sont pas des imbéciles et comprennent sans en rajouter des tonnes. En plus pour de jeunes lecteurs, cela déforme la langue alors qu'ils devraient être en âge de l'améliorer, au contraire!