Marie Desplechin
4 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Marie Desplechin
Marie Desplechin, née le 7 janvier 1959 à Roubaix, est une journaliste et écrivain français auteur de livres pour enfants et pour adultes. Elle participe également à l'écriture de scénarios.
source et suite
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Verte
Des sorcières existent de nos jours ? Mais oui, certainement. Verte en est la bonne preuve. Et elle est une représentante des plus charmantes.Présentation de l’éditeur
A onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Elle semble aussi s'intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu'elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte, puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être.
Ensemble avec sa mère et sa grand-mère, elle fait partie d’un trio qui sait ensorceler le lecteur dès les premières pages.
J’étais conquise par ces personnages et cette histoire dès le début.
Un peu de magie ne fait pas de mal et les tours qu’on va découvrir dans ce premier tome sont adorables.
En plus Marie Desplechin décrit une petite famille qui va s’agrandir tout naturellement et on passe un très bon moment avec eux.
Il existe une belle adaptation en BD Jeunesse par Magali le Huche
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Pome
La famille autour de Verte qu’on a délaissée dans le livre d’avant s’agrandit.Présentation de l’éditeur
Souvenez-vous.
Nous avions laissé Verte, l'apprentie sorcière rebelle, rayonnante. Entourée de femmes, comme depuis toujours : sa mère Ursule et sa grand-mère Anastabotte. Mais aussi, c'était nouveau pour elle, d'hommes : Soufi, le garçon de sa classe grâce à qui elle avait retrouvé son père, et celui-ci, Gérard, l'entraîneur de foot.
Les choses pourraient être simples désormais.
Bien sûr, elles ne le seront pas.
Gérard a un père, lui aussi : Raymond, un ancien commissaire de police. Verte pleure, Verte rit, Verte est très entourée soudain, et pourtant elle se sent seule.
Heureusement, une fille vient d'emménager avec sa mère dans le bâtiment B. C'est Pome. Verte se dit que c'est un nom parfait pour une alter ego, une future meilleure amie, une pareille en tout.
En tout ? Même en sorcellerie ?
À part le père de Gérard qui va remplir son rôle de papi à merveille, la petite sorcière va rencontrer son âme sœur.
Pome devient sa meilleure amie et on suit avec grand plaisir leurs petites et grandes aventures.
Totalement sous le charme de cette jeune héroïne, j’avais hâte de découvrir la suite dans le prochain tome.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Mauve
Après deux tomes plein d’harmonie et de bons sentiments, il était temps de semer un peu de zizanie.Présentation de l’éditeur
Mais... mais qu'est-ce qui se passe, en ce moment ?
Pome est d'une humeur terrible, Verte va s'enfermer dans sa chambre. On les connaît pourtant, cela ne leur ressemble pas du tout. Une crise d'adolescence ? Ce serait trop facile. La fatigue ? Certainement pas.
Lorsque Pome revient des cours avec un bleu au visage, le doute n'est plus permis : quelque chose ne va pas. Depuis l'arrivée d'une nouvelle au collège, tout semble détraqué.
Une nouvelle... quelle nouvelle ? Verte et Pome ne veulent absolument pas en parler. Dès que l'on prononce son nom, une scolopendre surgit !
Et que fait la police dans ces cas-là ?
Et que font les sorcières ?
Mais quelle poisse va atterrir dans le monde de Verte et Pome!
Les deux sorcières, ensemble avec leur famille autour, vont devoir sortir plus d’un tour magique pour combattre le mal qui est venu les retrouver.
C’est effrayant et plein de suspens. Heureusement que les histoires de magie se terminent toujours bien
Quels beaux moments j’ai passé avec cette trilogie !
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Ah, merci, je n'avais pas su qu'il y avait eu une suite à Verte et Pome...
eXPie- Messages : 780
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: Marie Desplechin
Il faudrait que je prenne le temps de les lire. Ça me plairait carrément.
_________________
Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Marie Desplechin
Je n'avais lu que Verte, que j'avais beaucoup aimé et recommandé à de nombreux lecteurs ! Allez, 2 livres de plus à rajouter sur la liste...Je n'aurais jamais dû m'inscrire à ce forum
Liseron- Messages : 4304
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Marie Desplechin
ah oui, faut voir comment nos deux amies vont se battre contre les méchants...eXPie a écrit:Ah, merci, je n'avais pas su qu'il y avait eu une suite à Verte et Pome...
je le pense aussi...Queenie a écrit:Il faudrait que je prenne le temps de les lire. Ça me plairait carrément.
liseron a écrit:Je n'aurais jamais dû m'inscrire à ce forum
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
avec Jean-Michel Othoniel
Les Belles Danses
Je me rappelle d’avoir vu des images lors de l’installation de ces sculptures… et de mon enchantement pour cette œuvre.
Trop contente de retrouver maintenant cet album de Marie Desplechin qui raconte de façon extraordinaire d’une façon personnelle l’histoire qui a abouti dans cet exploit.
Très beau texte avec tout plein d’images.
Le site de Jean-Michel Othoniel
Extrait
Mon Premier Versailles
J'ai trois ans. Mes parents m'ont emmené avec eux à Versailles. Je n'ai pas de souvenir précis de ce voyage. Je suis si petit. Sans doute suis-je très content de pouvoir courir dans un si grand jardin... Un tel espace, pour un enfant, c'est un merveilleux terrain d'aventure.
L'année de mes sept ans, pour les vacances d'été, mes parents ont décidé de retourner à Versailles. Nous sommes venus de Saint-Etienne en voiture. L'après-midi est bien avancée quand nous arrivons devant la grande grille dorée. Il est trop tard pour la visite du château. Mais pas pour le parc...
J'ai reçu en cadeau mon premier appareil photo. Je prends une photo de mes parents. Je suis maintenant assez grand pour conserver les souvenirs.
Le plus beau des châteaux
J'ai déjà vu des parcs, mais rien qui ressemble à ce que je vois devant moi. Tout me paraît énorme, la grande grille, la grande esplanade, le grand canal. De larges allées découpent le paysage, de petits sentiers s'enfoncent dans ses sous-bois. On dirait qu'on a changé de monde. Celui-ci est habité de promeneurs, de statues et de fontaines qui chantonnent dans la chaleur. J'ai l'impression que je suis entré dans un conte de fées. C'est étrange. C'est magique.
Les sculptures dans les jardins
Ici, je suis ailleurs mais je suis chez moi. Je reconnais ce pays de terre, d'arbres et de fleurs. Il ressemble à ce que j'aime, à ce qui m'intéresse. Avec mon oncle, nous avons commencé un cahier sur les fleurs où j'écris leurs noms et leurs qualités. Je n'ai jamais perdu mon goût pour les fleurs.
Ce que je découvre à Versailles l'année de mes sept ans, change peut-être mon regard pour toujours. Comment expliquer sinon que j'ai imaginé tant de sculptures pour les jardins ? J'ai accroché des colliers géants dans des arbres. J'ai planté des croix dans des allées. J'ai déposé des sphères dans des fontaines. J'ai installé un lit dans une clairière, une tombe au bord d'une prairie, une barque sur un bassin, un kiosque au milieu d'une place.
Toutes les oeuvres que j'ai imaginées sont en perles de verre. Elles jouent avec la lumière venue du ciel. Elles la partagent avec l'eau, les frondaisons, les massifs de fleurs. Elles ajoutent à l'enchantement des jardins qui sont des images du paradis.
Les Belles Danses
Présentation de l’éditeur
Le Bosquet du Théâtre d'Eau était l'un des plus beaux de Versailles.
Délaissé depuis la tempête de 1999, il est rénové par Louis Benech.
Pour rendre toute sa magie à ce bassin dédié à la danse, Jean-Michel Othoniel y a imaginé les « Belles Danses ».
Ces sculptures-fontaines reprennent différents pas de danses imaginés par Raoul-Auger Feuillet, chorégraphe du Roi, qu'il avait retranscrits en inventant une écriture du mouvement. De l'or pour le Roi Soleil : chaque fontaine reprend les mouvements d'une danse joyeuse et bondissante et les transforme en ricochets sublimes sur des miroirs d'eau.
Sous la plume de Marie Desplechin, délicate et majestueuse, que la genèse de ces fontaines se révèle dans un dialogue entre l'époque de Louis XIV et la nôtre. Tous les thèmes qui sont chers à Jean-Michel Othoniel apparaissent : l'enfance, la métamorphose, la lumière, et s'organisent en arabesques dans un récit aux frontières des genres.
Je me rappelle d’avoir vu des images lors de l’installation de ces sculptures… et de mon enchantement pour cette œuvre.
Trop contente de retrouver maintenant cet album de Marie Desplechin qui raconte de façon extraordinaire d’une façon personnelle l’histoire qui a abouti dans cet exploit.
Très beau texte avec tout plein d’images.
Le site de Jean-Michel Othoniel
Extrait
Mon Premier Versailles
J'ai trois ans. Mes parents m'ont emmené avec eux à Versailles. Je n'ai pas de souvenir précis de ce voyage. Je suis si petit. Sans doute suis-je très content de pouvoir courir dans un si grand jardin... Un tel espace, pour un enfant, c'est un merveilleux terrain d'aventure.
L'année de mes sept ans, pour les vacances d'été, mes parents ont décidé de retourner à Versailles. Nous sommes venus de Saint-Etienne en voiture. L'après-midi est bien avancée quand nous arrivons devant la grande grille dorée. Il est trop tard pour la visite du château. Mais pas pour le parc...
J'ai reçu en cadeau mon premier appareil photo. Je prends une photo de mes parents. Je suis maintenant assez grand pour conserver les souvenirs.
Le plus beau des châteaux
J'ai déjà vu des parcs, mais rien qui ressemble à ce que je vois devant moi. Tout me paraît énorme, la grande grille, la grande esplanade, le grand canal. De larges allées découpent le paysage, de petits sentiers s'enfoncent dans ses sous-bois. On dirait qu'on a changé de monde. Celui-ci est habité de promeneurs, de statues et de fontaines qui chantonnent dans la chaleur. J'ai l'impression que je suis entré dans un conte de fées. C'est étrange. C'est magique.
Les sculptures dans les jardins
Ici, je suis ailleurs mais je suis chez moi. Je reconnais ce pays de terre, d'arbres et de fleurs. Il ressemble à ce que j'aime, à ce qui m'intéresse. Avec mon oncle, nous avons commencé un cahier sur les fleurs où j'écris leurs noms et leurs qualités. Je n'ai jamais perdu mon goût pour les fleurs.
Ce que je découvre à Versailles l'année de mes sept ans, change peut-être mon regard pour toujours. Comment expliquer sinon que j'ai imaginé tant de sculptures pour les jardins ? J'ai accroché des colliers géants dans des arbres. J'ai planté des croix dans des allées. J'ai déposé des sphères dans des fontaines. J'ai installé un lit dans une clairière, une tombe au bord d'une prairie, une barque sur un bassin, un kiosque au milieu d'une place.
Toutes les oeuvres que j'ai imaginées sont en perles de verre. Elles jouent avec la lumière venue du ciel. Elles la partagent avec l'eau, les frondaisons, les massifs de fleurs. Elles ajoutent à l'enchantement des jardins qui sont des images du paradis.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Illustrations : Glen Chapron
L’école de ma vie
Une belle lecture pour entamer la saison des vacances… le séjour à la campagne va apprendre bon nombre de choses à Fanta… surtout les petits plaisirs de la vie… la lecture va pouvoir attendre un peu
On peut voir un petit teaser pour ce livre sur Vimeo
L’école de ma vie
Fanta est une fille malicieuse et elle sait plus d’un tour pour cacher qu’elle ne sait pas bien lire…Présentation de l’éditeur
Ça y est, c'est les vacances. Fanta en a fini avec le CP, et Sylvie, une amie de sa maman, l'invite à la campagne. À elle les grandes découvertes ! Pour la première fois de sa vie, Fanta va monter dans un train, observer la nature et les animaux. Elle a bien l'intention de prendre du bon temps. Mais Sylvie veut aussi que Fanta lise tous les jours, et ça, c'est beaucoup moins drôle. Fanta fait tout pour esquiver l'épreuve quotidienne. Jusqu'au jour où elle va à la piscine. Et où l'on s'aperçoit qu’elle ne sait pas nager. Là, maintenant, elle est bien obligée d'apprendre.
Une belle lecture pour entamer la saison des vacances… le séjour à la campagne va apprendre bon nombre de choses à Fanta… surtout les petits plaisirs de la vie… la lecture va pouvoir attendre un peu
On peut voir un petit teaser pour ce livre sur Vimeo
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Illustrations : Glen Chapron
Ça va faire des histoires
Elle est un peu plus fatigante pour les gens autour d'elle que dans le tome d’avant. Plus d’une bêtise lui passe par la tête, même si elle n’est jamais méchante. Son imagination est tout simplement trop débordante.
J’adore cette petite et c’est un plaisir de la suivre dans ses aventures.
Ça va faire des histoires
On retrouve la petite Fanta dans un autre livre.Présentation de l’éditeur
Fanta est en vacances, ça ne va pas du tout. Elle se dispute avec son frère et sa sœur, ses parents sont fatigués. Par chance, elle peut aller quelques jours chez sa marraine Sylvie. Elle sera un peu forcée de lire le soir, mais à part ça elle adore. En plus, elle va pouvoir jouer avec la fille d'une voisine. Tout devrait donc se passer parfaitement. Sauf que les bêtises, ça arrive. Des fois exprès, des fois pas trop. Et Fanta, en ce moment, ça lui arrive souvent...
Elle est un peu plus fatigante pour les gens autour d'elle que dans le tome d’avant. Plus d’une bêtise lui passe par la tête, même si elle n’est jamais méchante. Son imagination est tout simplement trop débordante.
J’adore cette petite et c’est un plaisir de la suivre dans ses aventures.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Ma vie d’artiste
Marie Desplechin fait partie des auteurs que j’aime bien. En voilà une autre aventure qu’elle s’est imaginée et j’ai adoré autant que les autres livres que j’ai lu d’elle.Présentation de l’éditeur
Anne vient d'emménager avec sa mère dans un nouveau quartier. Elle se sent seule et déracinée. Heureusement, elle fait la connaissance de Pierre, leur voisin peintre, et passe bientôt toutes ses soirées dans son atelier. Lorsque Pierre lui demande de l'aider à préparer sa prochaine exposition, Anne est très flattée. Ne serait-elle pas un peu amoureuse ?
Les premiers sentiments d’amour… voilà ce qui fait partie de la vie. Faut seulement voir si la « cible » est toujours très bien choisie.
Anne va trouver son chemin de façon très sympa et on la suit avec plaisir.
Un autre très bon moment en compagnie de cette auteure.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Satine grenadine
Présentation de l’éditeur
Lucie est persuadée qu'au XXe siècle, les demoiselles de la bonne bourgeoisie parisienne auront le droit de courir toutes nues, d'aller à la messe en cheveux, de parler à table et même, qui sait ? de s'instruire et de ne pas se marier. À quoi bon vieillir, sinon ? Le problème, c'est que nous ne sommes qu'en 1885 et qu'à treize ans, la seule éducation qu'une jeune fille comme Lucie est censée recevoir consiste à savoir tenir une maison pour devenir une épouse accomplie. Hygiène, lessive, cuisine : Lucie est envoyée faire son apprentissage avec Annette, Fanny et Marceline. Si ses parents savaient... Il se passe parfois des choses étranges, dans les communs des maisons bourgeoises. Les domestiques peuvent s'y révéler plus passionnants et subversifs que des livres...
Une trilogie qui se trouve déjà depuis un moment sur mes étagères, en voici enfin le bon moment.
Et après ce premier tome je suis enthousiaste et ne pense qu’à continuer avec la suite.
Marie Desplechin a le don d’emmener son lecteur dans cette année 1885 et on suit les aventures de Lucie avec curiosité.
Une jeune fille pleine de ressources et qui a la chance de se retrouver encadrée par bon nombre de femmes fortes.
J’en ressors conquise, quel beau début pour cette trilogie.
Dernière édition par kenavo le Sam 4 Mar - 2:14, édité 1 fois
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Séraphine
Présentation de l’éditeur
Que faire de sa vie quand on a treize ans et qu'on est une fille pauvre, pas laide, sachant lire, sans autre protection que celle d'un vieux curé, d'une tante prostituée et d'une veuve ronchon ? Nonne ? Jamais. Séraphine est trop insolente. Couturière ? Non plus. Elle a trop envie de parler et de voir du monde. Peut-être qu'un jour les femmes pourront devenir juges, gendarmes ou avocats et faire de la politique... Peut-être même qu'un jour Dieu Lui-même sera une femme. Mais, pour l'instant, nous sommes en 1885, à Paris, ou plutôt à Montmartre. Le souvenir de la Commune est encore vif chez les uns. Les autres s'occupent de l'enterrer définitivement en bâtissant, là-haut sur la butte, le Sacré-Cœur. Et Séraphine ne voit qu'une solution pour mener la vie libre et sans misère dont elle rêve : s'en remettre à sainte Rita, la patronne des causes désespérées...
Dans le deuxième volet de cette trilogie on ne change pas le temps, mais la classe sociale.
Séraphine se retrouve dans une toute autre situation que celle décrite dans Satine grenadine.
Mais elle est pleine de ressources, tout comme Lucie. Et surtout elle est une jeune fille adorable avec un cœur en or.
Ainsi elle sait se faire des amies qui vont l’aider à trouver son chemin… un chemin bien à elle…
Dernière édition par kenavo le Sam 4 Mar - 2:14, édité 1 fois
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Marie Desplechin
Sans avoir lu cette collection, je la trouve chouette. Je suis contente de voir qu'elle est à la hauteur de ce que je pensais !
Merci pour le retour
Merci pour le retour
_________________
Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Page 1 sur 2 • 1, 2
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum