Virginia Woolf
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Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature de culture anglaise et gaëlique
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Re: Virginia Woolf
kenavo a écrit:non, dans le temps j'aimais bien lire les journaux intimes ou correpsondances d'auteurs...
j'ai complètement perdu ce goût
Tout au contraire, moi qui ne m'y intéressais pas, je crois que je suis en train de plonger dans le genre épistolaire !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
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Re: Virginia Woolf
puisque j'en raffolais dans le temps, je peux tout à fait comprendre ton intérêtQueenie a écrit:Tout au contraire, moi qui ne m'y intéressais pas, je crois que je suis en train de plonger dans le genre épistolaire !
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George Gershwin
Re: Virginia Woolf
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Between the Acts / Entre les actes
Et ben, c’est ce qui m’arrive à chaque essai avec des livres de Virginia Woolf. Je voudrais tellement y percer son «mystère» mais finalement tous ses écrits restent hermétique pour moi.
Une fois de plus une autre preuve qu’elle n’est pas un auteur pour moi.
J’ai passé un bon moment dans cette maison de campagne et j’ai bien aimé cette représentation dans le jardin… mais pour en dire plus… impossible, je suis resté complètement en dehors de ce récit.
Dommage, ce n’est pas par manque de volonté ou que je n’ai pas essayé plus d’une fois, mais ce sera maintenant en effet ma dernière lecture d’un de ses livres. Il ne faut pas lire TOUS les auteurs
Between the Acts / Entre les actes
Est-ce que cela vous arrive de lire un texte/un livre, vous comprenez bien tous les mots, il n’y a aucun mystère parmi les lignes… mais le tout reste quand même étranger.Présentation de l’éditeur
Une représentation théâtrale donnée à l'occasion d'une fête paroissiale un jour d'été 1939 dans la paisible campagne anglaise, révèle les tendances cachées, les penchants inavoués, les aspirations, les espoirs, les rêves de ceux que l'amitié rassemblés là, autour de la famille Olivier. Virginia Woolf glisse son regard à la surface de ces êtres, pour mieux capter ensuite, comme à leur insu, ces moments d'émotions brisées qu'elle arrache aux obscures profondeurs de leur conscience.
A la fin de la journée, que reste-t-il du spectacle et de ce qui s'est passé "entre les actes" ? Alors que chacun reprend ses occupations comme si de rien n'était; tout est plus secrètement remis en question. Isabelle, le double de Virginia Woolf, à la recherche inquiète de son identité, aspire au silence, à la tranquillité, au repos.
"Puisse l'eau me recouvrir", dit-elle. Ce souhait prémonitoire, Virginia Woolf le mettra à exécution quelques mois plus tard, le 28 mars 1941, en se noyant dans une rivière.
Entre les actes, dernier roman de Virginia Woolf offre sans doute la meilleure synthèse des techniques, des thèmes, et des recherches de la romancière anglaise. La compréhension poétique du monde qu'elle y manifeste l'apparente aux deux grands phares du XXème siècle. Proust et Joyce
Et ben, c’est ce qui m’arrive à chaque essai avec des livres de Virginia Woolf. Je voudrais tellement y percer son «mystère» mais finalement tous ses écrits restent hermétique pour moi.
Une fois de plus une autre preuve qu’elle n’est pas un auteur pour moi.
J’ai passé un bon moment dans cette maison de campagne et j’ai bien aimé cette représentation dans le jardin… mais pour en dire plus… impossible, je suis resté complètement en dehors de ce récit.
Dommage, ce n’est pas par manque de volonté ou que je n’ai pas essayé plus d’une fois, mais ce sera maintenant en effet ma dernière lecture d’un de ses livres. Il ne faut pas lire TOUS les auteurs
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Re: Virginia Woolf
Je suis environ au tiers de sa correspondance avec Vita Sackeville-West. J'aime beaucoup. Je le lis lentement, car je le garde pour certains moments spécifiques.
J'avais essayé un roman ou deux de Virginia Woolf, et j'avais aussi eu cette impression d'opacité. Comme s'il se cachait quelque chose derrière les mots que je n'arrive pas à atteindre.
Lisant sa correspondance, j'ai la sensation de la découvrir, de mieux la connaître, et d'avoir peut-être trouvé une porte qui me permettra de rentrer dans son univers (il y a peut-être aussi une question de "bon moment" pour la lire, ou tout simplement de sensibilité trop différente)
J'avais essayé un roman ou deux de Virginia Woolf, et j'avais aussi eu cette impression d'opacité. Comme s'il se cachait quelque chose derrière les mots que je n'arrive pas à atteindre.
Lisant sa correspondance, j'ai la sensation de la découvrir, de mieux la connaître, et d'avoir peut-être trouvé une porte qui me permettra de rentrer dans son univers (il y a peut-être aussi une question de "bon moment" pour la lire, ou tout simplement de sensibilité trop différente)
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Queenie- Messages : 7151
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Re: Virginia Woolf
contente de voir qu'il y a la possibilité d'avoir une autre entrée dans son oeuvre...Queenie a écrit:Lisant sa correspondance, j'ai la sensation de la découvrir, de mieux la connaître, et d'avoir peut-être trouvé une porte qui me permettra de rentrer dans son univers
en ce qui concerne 'le bon moment' je te suis à 100%, plus d'un auteur que je n'ai pas découvert au premier, voire même au deuxième essai, mais qui sont par la suite quand même devenus des auteurs préférés...Queenie a écrit:(il y a peut-être aussi une question de "bon moment" pour la lire, ou tout simplement de sensibilité trop différente)
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Re: Virginia Woolf
Y'a toujours de l'espoir (ce qui en soit est aussi une malédiction !)
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Queenie- Messages : 7151
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Re: Virginia Woolf
Ses critiques littéraires valent aussi le détour, elle a un œil très sûr et très subtil sur la littérature. Je ne sais pas si elles sont regroupées en un seul volume. Pour ma part je les ai croisées au détour d'une œuvre d'autres auteurs lorsque les livres étaient accompagnés d'un appareil critique.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
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Re: Virginia Woolf
Illustrations: Magali Attiogbé
Le Rideau de Mrs Lugton
Retrouver Virginia Woolf dans ce domaine avec une telle histoire, quelle bonne suprise. Et je suis d‘accord avec la maison d‘édition - en voilà un texte qui va devenir un classique.
En plus accompagné par les jolies illustrations de Magali Attiogbé, un vrai bijou
Le Rideau de Mrs Lugton
Une autre pépite de la collection Seghers Jeunesse Bilingue.Présentation de l‘éditeur
« Les animaux dont elle était couverte attendirent que s’élève son cinquième ronflement avant d’esquisser le moindre mouvement. Un, deux, trois, quatre, cinq… Enfin la vieille femme dormait. »
Dans son fauteuil Windsor, Mrs Lugton coud un rideau, au coin du feu. Quand la gouvernante sombre soudain dans le sommeil, les animaux sauvages qui ornent le tissu ouvrent grand leurs yeux. Enfin libérés de toute surveillance, ils vont partir à l’aventure dans un monde exotique et secret. Mais attention, Mrs Lugton peut s’éveiller à tout instant, et les figer à nouveau dans les plis et replis de l’étoffe…
Un texte méconnu de la grande Virginia Woolf, appelé à devenir un classique.
Retrouver Virginia Woolf dans ce domaine avec une telle histoire, quelle bonne suprise. Et je suis d‘accord avec la maison d‘édition - en voilà un texte qui va devenir un classique.
En plus accompagné par les jolies illustrations de Magali Attiogbé, un vrai bijou
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Re: Virginia Woolf
Kew Gardens / Les Jardins de Kew et autres nouvelles
En quelque sorte la vidéo de Kew Gardens m’a fait découvrir ce livre.Présentation de l'éditeur
Dans Les Jardins de Kew, nouvelle située dans le fameux jardin botanique londonien, Woolf semble traduire en mots un tableau impressionniste.
L'errance d'un escargot parmi les fleurs, la forme et la couleur d'un pétale ou les fragments de conversations des flâneurs constituent un ensemble de boîtes chinoises où chaque élément s'intègre dans un autre, depuis le détail le plus minuscule jusqu'au "murmure" de la grande ville qui les contient tous.
Les autres nouvelles sont :
- Une maison hantée
- La Duchesse et le Bijoutier
- La Robe neuve
Après avoir vu les images somptueuses de cet endroit, je me suis dit qu’il devrait y avoir aussi des auteurs qui l’ont choisi pour toile de fond.
Mes recherches m’ont amené en premier lieu vers cette nouvelle de Virginia Woolf.
En version anglaise elle est disponible individuellement, c’est donc seulement ce texte que j’ai lu.
Après les images il y a ses mots… et elle emmène en effet son lecteur dans ces jardins.
En principe j’adore les nouvelles mais celle-ci était trop courte.
Quelle merveille.
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George Gershwin
Re: Virginia Woolf
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To the Lighthouse / Vers le phare
Bien qu’il n’y a quasi seulement le titre qui porte témoin de l’édifice.
Naturellement la famille dont parle le livre habitent une maison qui a une vue sur l’île avec le phare et ils vont même le visiter dans le dernier chapitre du livre… mais je le perçois comme tout sauf un roman qui traite le sujet.
Reste néanmoins que j’ai fait une bonne lecture.
Je ne vais jamais citer Virginia Woolf parmi mes auteurs favoris, mais une rencontre avec un de ses textes ne fait pas de mal. Surtout qu’ici un titre m’a amené vers un livre qui sort du lot mais qui était réjouissant à lire.
To the Lighthouse / Vers le phare
Avec autant de lectures autour du sujet des phares, je ne pouvais pas laisser de côté ce fameux roman de Virginia Woolf.Présentation de l’éditeur
Une soirée d'été sur une île au large de l'Écosse. Pôle de convergence des regards et des pensées, Mrs Ramsay exerce sur famille et amis un pouvoir de séduction quasi irrésistible. Un enfant rêve d'aller au Phare. L'expédition aura lieu un beau matin d'été, dix ans plus tard. Entre-temps, mort et violence envahissent l'espace du récit. Au bouleversement de la famille Ramsay répond le chaos de la Première Guerre mondiale. La paix revenue, il ne reste plus aux survivants désemparés, désunis, qu'à reconstruire sur les ruines.
Des bonheurs et des déchirements de son enfance, Virginia Woolf a fait la trame d'une œuvre poétique, lumineuse et poignante qui dit encore le long tourment de l'écriture et la brièveté de ses joies : visions fragiles, illuminations fugaces, «allumettes craquées à l'improviste dans le noir.»
Bien qu’il n’y a quasi seulement le titre qui porte témoin de l’édifice.
Naturellement la famille dont parle le livre habitent une maison qui a une vue sur l’île avec le phare et ils vont même le visiter dans le dernier chapitre du livre… mais je le perçois comme tout sauf un roman qui traite le sujet.
Reste néanmoins que j’ai fait une bonne lecture.
Je ne vais jamais citer Virginia Woolf parmi mes auteurs favoris, mais une rencontre avec un de ses textes ne fait pas de mal. Surtout qu’ici un titre m’a amené vers un livre qui sort du lot mais qui était réjouissant à lire.
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