José Muñoz
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José Muñoz
José Muñoz est un dessinateur argentin de bande dessinée, né le 10 juillet 1942, à Buenos Aires, et lauréat en 2007 du grand prix de la ville d'Angoulême.
source et suite
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: José Muñoz
Selon mon avis, José Muñoz est plus qu’un « simple » BDiste, il est un vrai artiste, ses images vont plus loin que celles qu’on connaît du monde de la BD. Il crée de vrai chefs-d ’œuvres.
J’ai surtout beaucoup aimé ses deux collaborations avec Carlos Sampayo, côté scénario :
Billie Holiday
Carlos Gardel
Des romans graphiques qui montrent toutes les qualités du genre… époustouflant !
On peut retrouver la même qualité d'images du côté des romans illustrés, de ce genre, j’ai adoré
L’Etranger d’Albert Camus
L’homme à l’affût de Julio Cortzár
J’ai surtout beaucoup aimé ses deux collaborations avec Carlos Sampayo, côté scénario :
Billie Holiday
Carlos Gardel
Des romans graphiques qui montrent toutes les qualités du genre… époustouflant !
On peut retrouver la même qualité d'images du côté des romans illustrés, de ce genre, j’ai adoré
L’Etranger d’Albert Camus
L’homme à l’affût de Julio Cortzár
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Re: José Muñoz
Textes: Alejandro García Schnetzer
Faubourg sentimental
Des souvenirs, des personnages croisés, entraperçus, vivant dans ce faubourg dont Alejandro García Schnetzer donne une voix via des textes forts et par moment très poétique. De ce côté, on vit déjà une belle aventure.
Le tout mis en image par José Muñoz qui donne du corps à tous ces ‘étrangers’, ces gens qui vivent côte à côte et qui partagent la vie dans ce quartier.
Un des moments les plus forts que j’ai vécu aux côtés de cet artiste hors norme…
Faubourg sentimental
Un vrai tour de force !Présentation de l’éditeur
Des hommes, des femmes, des danseurs, des musiciens. Des corps de toutes dimensions et portant des costumes tendus. Des rues pavés, des balcons et des façades. Autant de personnages comme des masques qui habiteraient un décor. Dans le quartier, au plus proche des sujets
José Muñoz se souvient de son quartier d’enfance, en Argentine, à Buenos Aires. C’est son berceau natal qu’il dessine, les rues et les habitants d’alors. Muñoz est habité par ses souvenirs, lui qui a fui son pays en 1972, alors âgé de 30 ans. La dictature a forcé son exil. Muñoz révèle ses souvenirs et donne un livre nostalgique, mélancolique et crépusculaire. Il a demandé à son jeune ami le poète argentin Alejandro Garcia Schnetzer d’écrire des textes qui illustreraient ses dessins. Ainsi, se dessine le portrait sensible d’un quartier modeste de Buenos Aires, qui prend vie par la force de ses encres.Retour ligne automatique Son graphisme traduit l’atmosphère et les émotions de la ville. Entre pointillisme et grand éclat de noir, Muñoz révèle l’âme de la capitale argentine ; les jeux d’ombre et de lumière rappellent tant les décors que ses habitants. Les textes de Garcia Schnetzer révèlent automatique aussi le souffle des dessins et enracinent une réalité passée. Poème et dessins consignent une mémoire.
Des souvenirs, des personnages croisés, entraperçus, vivant dans ce faubourg dont Alejandro García Schnetzer donne une voix via des textes forts et par moment très poétique. De ce côté, on vit déjà une belle aventure.
Le tout mis en image par José Muñoz qui donne du corps à tous ces ‘étrangers’, ces gens qui vivent côte à côte et qui partagent la vie dans ce quartier.
Un des moments les plus forts que j’ai vécu aux côtés de cet artiste hors norme…
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