Anthony Berkeley
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Anthony Berkeley

Anthony Berkeley Cox (Watford, Hertfordshire, 5 juillet 1893 - Londres, 9 mars 1971), plus connu sous ses pseudonymes Anthony Berkeley et Francis Iles, est un écrivain britannique de roman policier.
source et suite
Série Roger Sheringham
1928 The Silk Stockings Murders / Le Mystère des bas de soie
1929 The Poisoned Chocolates Case / Le Club des détectives
1932 Murder in the Basement / La Morte gantée
1933 Jumping Jenny / Le Gibet imprévu
Dernière édition par kenavo le Lun 15 Nov - 2:23, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Anthony Berkeley


The Poisoned Chocolates Case / Le Club des détectives
Datant de 1929, ce livre peut être considéré comme un classique… c’est donc mon choix pour octobrePrésentation de l’éditeur
Graham et Joan Bendix ont apparemment réussi à faire cette huitième merveille du monde moderne : un mariage heureux. Et au milieu, une boîte de chocolats tombe comme un coup de tonnerre. Joan Bendix est tué par des chocolats à la liqueur qui ne peuvent lui être destinés.
L'enquête policière atteint rapidement une impasse. L'inspecteur en chef Moresby appelle Roger Sheringham et son groupe Crimes Circle - six détectives amateurs mais intrépides - à examiner l'affaire. Les preuves sont déposées devant le cercle et les membres se relayent pour proposer une solution. Chacune est plus convaincante que la dernière, remplissant lentement les pièces du puzzle jusqu'à la conclusion fulgurante.
Cette nouvelle édition inclut une fin alternative de l’écrivaine du Golden Age, Christianna Brand, ainsi qu’une toute nouvelle solution spécialement conçue pour la British Library par le romancier et expert Martin Edwards du Golden Age.

Le début est un peu laborieux. Je ne voyais pas comment ces « détectives » voulaient résoudre l’énigme sans jamais vraiment sortir de cette pièce où ils allaient se réunir chaque semaine pour discuter de ce cas qui semblait trop compliqué pour Scotland Yard
Mais après le premier chapitre c’est devenu un vrai tourne page et j’étais fascinée par sa façon de mener cette histoire.
À tour de rôle les différents membres de ce groupe prennent parole et chacun trouve une autre solution et à chaque fois on y croit vraiment que le coupable ne peut être celui qu’on présente au lecteur… jusqu’au moment où le prochain prend parole et démonte cette théorie pour en sortir une toute autre, tellement crédible qu’on y croit jusque…
Ainsi on partage toutes ces solutions qui pourraient être la bonne… et qui ne le sont quand même pas… jusqu’au dernier membre qui semble avoir trouvé le vrai coupable.
La fin est un peu… on va dire inhabituel pour un policier… mais c’était le choix de l’auteur et je peux vivre avec. J’ai passé un excellent moment en sa compagnie. Il se peut tout à fait que je vais y revenir vers lui pour d’autres aventures.
Je ne pense pas qu’il y a cet ajout dans la version française, mais en tout cas dans cette nouvelle édition anglaise on a ajouté deux fins alternatives, écrits par d’autres auteurs.
Selon mon avis, superflu et cela n’apporte aucun plus au roman initial. Si l’auteur a décidé de conclure son histoire de cette façon - laissons-lui son droit.
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Re: Anthony Berkeley

The Layton Court Mystery
Oui, aucun doute possible, j’ai découvert cet auteur à cause de la collection British Library Crime Classics.Présentation de l’éditeur
The renowned British crime writer’s classic locked-room Golden Age mystery that introduced amateur sleuth Roger Sheringham.
A party at Layton Court, the country house of Victor Stanworth, is disrupted when the host is found shot through the forehead in his own library, a suicide as far as the police are concerned. After all, the gun is found in his hand, a note has been left, and the room is locked from the inside.
But one of the guests, author Roger Sheringham, has his doubts. The bullet wound is not positioned where it could have been easily self-inflicted.
With a house full of partygoers and servants, suspects abound. It will take Sheringham’s sharp wit and fearless investigating to deduce who brought the festivities to a fatal end.
J’en ai gardé de bons souvenirs de Roger Sheringham, ainsi j’ai jeté un œil sur la série que Anthony Berkeley a écrit autour de lui. Il n’y en a pas mal et bon nombre même en français.
Mais pour l’instant il n’a pas la côte, ainsi c’est même pas évident de le trouver en version anglaise.
Envie de retrouver ce personnage, j’ai voulu le faire avec le premier tome, qui n’est malheureusement pas traduit. Mais par la suite j’ai choisi deux autres dont il y a aussi les versions françaises.
Je ne me souvenais pas que le bon Roger était si bavard… et surtout méticuleux.
Mais puisque je lis de toute façon un genre de policiers plus pour leurs aspects « cozy » que pour le côté « thrilling », cela me va à perfection !
Une fois de plus j’ai passé un bon moment avec cet auteur… et la solution est non seulement étonnant mais en plus très satisfaisante.
Envie de retrouver Roger Sheringham dans d’autres enquêtes…
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Re: Anthony Berkeley


Murder in the Basement / La Morte gantée
Après tout ce temps, j’avais envie de retrouver Roger Sheringham.Présentation de l’éditeur
Lorsque deux jeunes mariés découvrent qu'un cadavre a été enterré dans le sous-sol de leur nouvelle maison, une affaire épuisante commence pour retracer l'identité de la victime.
Alors que toutes les pistes d'enquête approchent de l'épuisement, un élément de preuve ténu offre une chance à l'inspecteur en chef Moresby et le mène au détective amateur Roger Sheringham, qui a récemment fourni un travail de couverture dans une école au sud de Londres.
Désespéré pour des preuves de quelque nature que ce soit sur l'affaire du sous-sol, Moresby commence à passer au crible le manuscrit d'un roman satirique que Sheringham avait écrit sur ses collègues de l'école, convaincu que parmi la distribution colorée d'enseignants se cache la victime - et peut-être leur meurtrier.
Un roman alliant humour noir et travail de détection intelligent, ce «whodunit» est un exemple de l'œuvre la plus inventive d'un célèbre auteur de l'âge d'or.
Connaissant aussi bien l’auteur que son personnage principal, j’étais contente pendant 90 % de ma lecture.
Et puis il y a eu cette fin… mais ça ne va pas !!! Il laisse échapper le meurtrier !
Il a bien élucidé toutes les pistes, si le lecteur n’a pas trouvé la solution, le cher Roger va bien expliquer toutes les astuces de l’intrigue… pour finalement conclure que le coupable ne pose plus de danger pour la société.
Une majeure partie du plaisir de lire des policiers est une bonne trame d’histoire qui cache bien toutes les pistes pour trouver le meurtrier et finalement il y a quand même aussi ce petit moment de satisfaction quand le coupable va être mis en prison.
Avec une fin pareille, cela a fait « plouf » et je vais mettre ce livre sur l’étagère avec mes lectures les plus pire

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