Kees Vanderheyden
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Re: Kees Vanderheyden
La guerre dans ma cour
Présentation de l’éditeur
« Frustré, l’officier allemand arrache brutalement l’affiche que mon père avait clouée sur la porte de la maison. Il se met à cogner vivement en hurlant
«Öffnen Sie, sofort! Ouvrez! Ouvrez immédiatement!» Ainsi commence une longue suite d’événements que je n’oublierai jamais. Cela commence par l’occupation de notre propre maison à Oisterwijk, en Hollande, en juin 1944. J’avais onze ans. »
Pour un enfant insouciant, la guerre ressemble parfois à un jeu.
Mais ce livre est aussi une prise de conscience des drames effrayants que les conflits entrainent.
Un témoignage important en cette époque où, aux quatre coins du monde, les enfants innocents côtoient quotidiennement la guerre et la mort.
- Auf Wiedersehen !
Nous restons de glace, mais ma mère a l’incroyable audace de répondre :
- J’espère que non.
Nous restons de glace, mais ma mère a l’incroyable audace de répondre :
- J’espère que non.
Une autre « découverte canadienne » à cause de Louise Penny… et oui, des recherches du côté littérature québécoise m’ont amené dans différents genres
On peut retrouver des souvenirs d’enfances en temps de guerre dans plus d’un livre et celui-ci n’a probablement rien d’exceptionnel.
Mais c’est très bien écrit et on sent le vécu dans toute l’histoire.
Un très bon moment de lecture.
Cette Libération que j’attends depuis si longtemps est enfin arrivée avec ses célébrations et victoire et de joie. Mais la mort, ce trouble-fête qui fait son entrée sournoisement et qui fauche impitoyablement ceux qui nous aimons, l’accompagne.
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
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