Maeve Brennan
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Maeve Brennan
1945, photo par Nina Leen pour LIFE magazine
Maeve Brennan est née en 1917 en Irlande.
Fille du premier ambassadeur d’Irlande aux USA, elle s’y installe en 1934.
En 1949, elle rejoint l’équipe du New Yorker où durant 30 ans, sous le nom de plume The Long-Winded Lady, elle écrira une série de portraits sur la vie quotidienne, repris ultérieurement dans deux anthologies de nouvelles.
Le manuscrit de La visiteuse a été découvert après sa mort dans les archives de l’auteur disparue en 1993. Il semble que ce court roman écrit en 1940 soit sa première œuvre.
Cette écrivaine irlandaise a été encensée par des auteurs tels que John Updike, Nuala O’Faolain, Claire Messoud, Edna O’Brien, Mavis Gallant, Alice Munro.
Bibliographie
Fiction
1969 In and Out of Never-Never Land
1974 Christmas Eve
1997 The Springs of Affection: Stories of Dublin / Les origines de l’amour
2000 The Rose Garden: Short Stories
2000 The Visitor / La visiteuse
Non-Fiction
1969 The Long-Winded Lady: Notes from the New Yorker
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George Gershwin
Re: Maeve Brennan
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The Visitor / La visiteuse
Un très bon livre pour entrer dans le monde de cette auteure. Tout y est déjà présent comme dans ses nouvelles : l’Irlande, ou plutôt Dublin, donne toujours le fond de ses histoires.
Anastasia est un personnage qui ressemble à d’autres que Maeve Brennan a créé : jeune fille qui veut désespérément retrouver un peu de chaleur familiale, d’amour, auprès de sa grand-mère. À la recherche de se sentir ‘à la maison’ devient le centre de toutes ses préoccupations.
Très bonne lecture, écriture limpide et au point de Maeve Brennan donnent envie d’aller plus loin.
The Visitor / La visiteuse
Une nouvelle de Maeve Brennan qui a été retrouvée seulement après sa mort et qui représente probablement la première nouvelle qu’elle n’ait jamais écrite.Quatrième de couverture
Alors que sa mère vient de mourir, la jeune Anastasia part rejoindre sa grand-mère paternelle dans la maison familiale. Quelques années auparavant, la mère d'Anastasia avait fui cette maison en emmenant sa fille, abandonnant un mari qu'elle ne pouvait plus supporter. Celui-ci, délaissé, meurt sans revoir sa fille et sa femme. C'est ce drame que la grand-mère d'Anastasia ne pardonnera jamais aux deux femmes. Elle reçoit Anastasia comme s'il s'agissait d'une exilée et celle-ci cherchera en vain auprès de cette femme autoritaire la chaleur d'un amour familial.
Un très bon livre pour entrer dans le monde de cette auteure. Tout y est déjà présent comme dans ses nouvelles : l’Irlande, ou plutôt Dublin, donne toujours le fond de ses histoires.
Anastasia est un personnage qui ressemble à d’autres que Maeve Brennan a créé : jeune fille qui veut désespérément retrouver un peu de chaleur familiale, d’amour, auprès de sa grand-mère. À la recherche de se sentir ‘à la maison’ devient le centre de toutes ses préoccupations.
Très bonne lecture, écriture limpide et au point de Maeve Brennan donnent envie d’aller plus loin.
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Re: Maeve Brennan
The Long-Winded Lady: Notes from The New Yorker
Je veux bien croire qu’il y a des livres avec plus ou moins d’attrait pour des éditeurs étrangers.Présentation de l’éditeur
Discover a vivid, atmospheric portrait of mid-century Manhattan with this collection of “Talk of the Town” pieces from the pages of The New Yorker.
During the 1950s and 1960s, Maeve Brennan contributed numerous vignettes to the New Yorker’s ”Talk of the Town” department, under the pen name “The Long-Winded Lady.”
Her unforgettable sketches—prose snapshots of life in small restaurants, cheap hotels, and the crowded streets of Times Square and the Village—together form a timeless, bittersweet tribute to what she called the “most reckless, most ambitious, most confused, most comical, the saddest and coldest, and most human of cities.”
“Of all the incomparable stable of journalists who wrote for The New Yorker during its glory days in the Fifties and Sixties . . . the most distinctive was Irish-born Maeve Brennan. Her keen-eyed observation of the minutiae of New York life has been compared to Turgenev, but a closer parallel is Edward Hopper. . . .
Anyone familiar with New York will enjoy a transporting jolt of recognition from these pages. Looking back from our own time, when it seems that every column has to be loaded with hectoring opinion and egotistical preening, Brennan’s stylish scrutiny of minor embarrassments and small pleasures is as welcome as a Dry Martini.” —The Independent
Et je peux tout à fait comprendre si un éditeur français ne voie pas d’intérêt d’investir dans la traduction de textes qui datent… de beaucoup d’années. Surtout il ne s’agit pas d’écrits qu’on pourrait classer sous ‘roman’ ni ‘nouvelle’ mais probablement plus comme ‘chroniques’ (j’adore le mot « vignettes » que la maison d’édition leurs a donné).
Je trouve tout cela très dommage parce qu’il s’agit ici d’un recueil avec tout plein de très bons récits. Quelques-uns sont naturellement daté mais cela ne nuit en aucun cas ni au charme ni à l’intérêt de ce qu’elle écrit.
J’ai adoré tous ces petits bouts de vie de New York entre 1954 et 1981. Il s’agit de petites observations du quotidien, parfois ce sont des réflexions sur la vie en ville, des moments au restaurant, dans des librairies.
Rien de renversant, mais quand même si bien écrit qu’on a envie de faire durer le plaisir.
J’ai lu ces « bonbons » avec plaisir, n’importe la période de temps, je me suis sentie très bien en sa compagnie.
Quel délice de faire un tel séjour à New York… grand coup de cœur.
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Re: Maeve Brennan
ah oui, il ne faut pas hésiter, pour faire un beau voyage du New York des anciens temps, rien de mieux
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Re: Maeve Brennan
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The Springs of Affection: Stories of Dublin / Les origines de l’amour
Maeve Brennan était une magicienne et elle emporte son lecteur dans cette banlieue de Dublin… on y est après quelques pages.
Ce qu’on peut considérer comme un plus : les mêmes personnes ne se limitent pas à un épisode. On va les retrouver pendant plusieurs nouvelles et cela donne un autre aspect à ces histoires.
J’ai en tout cas beaucoup aimé. Et bien que ceci ne soit pas ma première rencontre avec son écriture, il s’agit certainement de mon plus grand coup de cœur pour cette auteure.
The Springs of Affection: Stories of Dublin / Les origines de l’amour
Si vous ne voudriez tenter qu’un recueil de nouvelles – choisissez celui-ci !Présentation de l’éditeur
Les vingt et une nouvelles rassemblées ici racontent l'histoire de trois familles qui vivent dans une banlieue calme de Dublin.
Maeve Brennan utilise ses propres souvenirs d'enfance irlandaise, avant de décrire précisément l'amour, la frustration ou la solitude de ses personnages : l'amour entre mari et femme qui commence joyeusement, perd son pouvoir, puis disparaît à jamais : l'amour fraternel ou l'amour filial qui se transforment en soif de possession...
Maeve Brennan était une magicienne et elle emporte son lecteur dans cette banlieue de Dublin… on y est après quelques pages.
Ce qu’on peut considérer comme un plus : les mêmes personnes ne se limitent pas à un épisode. On va les retrouver pendant plusieurs nouvelles et cela donne un autre aspect à ces histoires.
J’ai en tout cas beaucoup aimé. Et bien que ceci ne soit pas ma première rencontre avec son écriture, il s’agit certainement de mon plus grand coup de cœur pour cette auteure.
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Re: Maeve Brennan
Décidément, des thèmes qui attirent à chaque fois. D'autant qu'en ce moment je suis plutôt versée dans des nouvelles
il faudra que je tente cette auteure. Merci Kenavo ;-)
il faudra que je tente cette auteure. Merci Kenavo ;-)
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