Karin Kalisa
Page 1 sur 1
Re: Karin Kalisa
/
Sungs Laden / La Mélodie familière de la boutique de Sung
Mais celui qui connaît le quarter du Prenzlauer Berg à Berlin, doit croire à un tel conte. C’est magique, c’est beau, c’est plein d’étincelles et on sort avec un grand sourire de cette lecture.
Et même si l’histoire que Karin Kalisa a inventé est loin d’une réalité à 100 %, il y a quand même des faits vrais dans ce roman.
La communauté vietnamienne dans l’ex-RFA n’est pas une invention. Et après la chute du mur, bon nombre d’eux sont restés à Berlin. Surtout que les enfants des premiers immigrants ne connaissent pas le Vietnam comme leur patrie.
Mais retrouver quelques traditions vietnamiennes dans ce quartier berlinois fait du bien.
Quel beau moment de lecture.
Barbara Lipinska et Werner Kogge on dédié le clip Berlin Vietnam au livre de Karin Kalisa
Sungs Laden / La Mélodie familière de la boutique de Sung
Le mot juste dans ce résumé est « conte ». C’est en effet cela… un très beau conte.Présentation de l'éditeur
Lorsque la grand-mère de Minh donne un spectacle de marionnette vietnamienne pour la fête de fin d'année de l'école, personne ne soupçonne que Prenzlauer Berg va en être bouleversé. Et pourtant, dans le quartier situé au cœur de Berlin, la part d'Asie – cette richesse culturelle enfouie –ressurgit, insufflant un nouveau sens de la communauté. L'effet papillon dans toute sa puissance. Bientôt, tous les habitants sont coiffés de chapeaux de paille pointus, des légumes méconnus apparaissent dans les assiettes, des ponts en bambou relient les maisons de toit en toit. De belles vibrations, une vraie révolution !
Ode à la diversité et à la différence,
La Mélodie familière de la boutique de Sung est un roman à l'optimisme contagieux, où l'on découvrira que l'histoire de l'Allemagne de l'Est et l'Ouest, n'est pas si éloignée de celle du Vietnam du Nord et du Sud.
Un conte qui cache derrière candeur et simplicité, une rare subtilité.
Mais celui qui connaît le quarter du Prenzlauer Berg à Berlin, doit croire à un tel conte. C’est magique, c’est beau, c’est plein d’étincelles et on sort avec un grand sourire de cette lecture.
Et même si l’histoire que Karin Kalisa a inventé est loin d’une réalité à 100 %, il y a quand même des faits vrais dans ce roman.
La communauté vietnamienne dans l’ex-RFA n’est pas une invention. Et après la chute du mur, bon nombre d’eux sont restés à Berlin. Surtout que les enfants des premiers immigrants ne connaissent pas le Vietnam comme leur patrie.
Mais retrouver quelques traditions vietnamiennes dans ce quartier berlinois fait du bien.
Quel beau moment de lecture.
Barbara Lipinska et Werner Kogge on dédié le clip Berlin Vietnam au livre de Karin Kalisa
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum