Victoria Dorche
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Re: Victoria Dorche
Histoire : Marie-Ève de Grave
Calamity Jeanne
En voilà un album réjouissant.
C’est tout bon de transmettre un autre modèle aux jeunes filles.
En voici la petite sœur de Fifi Brindacier.
On a envie de partir avec elle exploiter le bois, grimper aux arbres et sauter dans les flaques.
En avant l’aventure et la bonne entente.
Côté histoire Marie-Ève de Grave m’a une fois de plus convaincue.
En ce qui concerne les illustrations, c’était une première rencontre avec Victoria Dorche, mais pas la dernière, je l’espère.
Calamity Jeanne
E-x-t-r-a !Présentation de l’éditeur
Calamity Jeanne n’est pas comme les autres petites filles. Elle déteste le rose, mais grimper aux arbres et faire le yéti, ça, c’est son affaire ! Et quand il faut se mettre sur son trente et un, elle enfile ses bottes de cow-boy sous sa jolie robe !
Mais aujourd’hui, c’est son anniversaire, et pour sa nouvelle amie Lily-Rose, habillée comme une fée, elle va se surpasser.
Un album sur l’acceptation de soi et des autres, pour celles et ceux qui en ont assez des « petites filles modèles » !
En voilà un album réjouissant.
C’est tout bon de transmettre un autre modèle aux jeunes filles.
En voici la petite sœur de Fifi Brindacier.
On a envie de partir avec elle exploiter le bois, grimper aux arbres et sauter dans les flaques.
En avant l’aventure et la bonne entente.
Côté histoire Marie-Ève de Grave m’a une fois de plus convaincue.
En ce qui concerne les illustrations, c’était une première rencontre avec Victoria Dorche, mais pas la dernière, je l’espère.
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Victoria Dorche
Texte : Delphine Lebrun
Mes apéros du monde
Je crois que j’ai entre-temps plus de livres de recettes avec des belles illustrations sur mes étagères que ceux avec des photos.
J’aime trop, souvent ils font parties du domaine de la jeunesse, mais les images sont extras et les recettes me donnent plein d’idées !
Retrouver le graphisme de Victoria Dorche était un plaisir… en plus d’avoir maintenant bon nombre d’arguments pour inviter des gens pour un graaaand apéro
Mes apéros du monde
Présentation de l’éditeur
Mezzé, zakouskis, tapas, antipasti... Le monde ne manque pas d'imagination quand il est question de manger en toute convivialité. Adieu chips, olives et cacahuètes... Voici 21 grignotages et cocktails colorés qui feront voyager tes papilles ! Tchin ! Tchin !
Je crois que j’ai entre-temps plus de livres de recettes avec des belles illustrations sur mes étagères que ceux avec des photos.
J’aime trop, souvent ils font parties du domaine de la jeunesse, mais les images sont extras et les recettes me donnent plein d’idées !
Retrouver le graphisme de Victoria Dorche était un plaisir… en plus d’avoir maintenant bon nombre d’arguments pour inviter des gens pour un graaaand apéro
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George Gershwin
Re: Victoria Dorche
Histoire : Daisy Bolter
Perdu ma langue
Mais parfois le volet ‘héritage’ n’est pas si clair pour les jeunes.
Cet album peut leur venir en aide.
Très belle histoire autour du sujet.
Et je suis ravie de retrouver Victoria Dorche et son graphisme.
Un album fort, utile et très beau.
Perdu ma langue
Je pense que de nos jours, c’est de plus en plus commun que les enfants parlent deux, voire plusieurs, langues.Présentation de l’éditeur
Mabo, né en France de parents immigrés, se retrouve incapable de parler avec ses grands-parents restés au pays. Tiraillé entre deux langues, il se cherche, entre le sindar et le français, et va de questionnements en colères, de cauchemars en fou-rires...
Si le sindar l’a abandonné, est-ce une partie de lui qui s’est envolée ? Les questions de Mabo sont mises à hauteur d’enfant, qui peut s’identifier grâce aux scènes de vie quotidiennes à la maison, mais aussi en classe ou dans la cour de récréation. Les amis de Mabo ne sont pas en reste pour aider leur copain, et vont même jusqu’à l’emmener voir un certain « marabout »…
Un album fort qui aborde les thèmes de l'immigration et de l'identité à travers des questions que de nombreux enfants peuvent se poser. La palette de gouache très colorée de Victoria Dorche et ses inspirations urbaines soulignent l’actualité du récit.
Perdu ma langue est adapté d’un spectacle musical jeune public interprété par Daisy Bolter au chant et à la narration.
Mais parfois le volet ‘héritage’ n’est pas si clair pour les jeunes.
Cet album peut leur venir en aide.
Très belle histoire autour du sujet.
Et je suis ravie de retrouver Victoria Dorche et son graphisme.
Un album fort, utile et très beau.
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